Mr D. Ignacio Darnaúde |
(E43-1) |
Cher ami :
Depuis ma généreuse confession effectuée il y a maintenant de nombreuses années (aux
environ de quinze, si ma mémoire est bonne), dans laquelle je
m'auto-imputais
sic d'être l'auteur de l'affaire
(H)UMMO,
Le mot "Humo" avec un H veut dire "fumée" en espagnol. Peña a souvent dit qu'il avait choisi ce nom UMMO pour cette affaire, parce qu'il faisait référence à ce mot fumée, indiquant ainsi que toute cette affaire n'était qu'une vaste fumisterie je dois la compléter, après maintenant
un temps prudent, par amitié envers les chers amis que j'ai inévitablement cultivés et pour ceux envers lesquels
je souhaite maintenant être totalement honnête.
Rmq JP : Pourquoi le croire aujourd’hui, alors qu’il a revendiqué mélanger le vrai et le faux dans le dossier Ummo ?
Je pourrais m'être enrichi avec l' "affaire", et la preuve
de ma bonne foi c'est que je ne l'ai pas fait,
Rmq JP : Cette pétition de principe, auto-déclarative, ne démontre évidemment rien ! Mais bon ! il prend le lecteur pour moins qu’il n’est, comme d’habitude.
bien que je doive reconnaître que les professeurs se sont
très généreusement comportés avec moi en termes pécuniaires.
Rmq JP : En l’absence d’éléments vérifiables à cet égard, cette déclaration est gratuite.
C’est la parole d’un homme qui s’est déclaré précédemment « menteur ».
C'est toi que j'ai choisi pour compléter mon autoconfession
parce que, outre que je te considère comme un homme honnête et un ami, je dois considérer ton
travail de l'ummocat comme exceptionnellement correct.
L'affaire ummo, comme elle a été maladroitement appelée par
les "ovni-journalistes" de pacotille, a été en effet mon œuvre, mais pas dans sa totalité.
Des écrits comme celui de l' "Ummowoa",
Rmq JP : Reçu en 01-88
"La guerre en Iraq",
Rmq JP : Reçu le 8-01-1990. Il ne peut physiquement l’avoir écrit, par suite de son AVC.
"le waam-waam",
Rmq JP : Apparemment le D731, reçu en mars 1987, par J. Barrenechea et R. Farriols.
le rapport de biologie
Rmq JP : Plusieurs documents reçus en 1967,
D58a, b, c, d.
On observera que ces rapports sont ceux qui mentionnent le krypton chromosomique
BAAYIODUU et son rôle, dont Peña déclarait à la réunion de Madrid en
2005 qu’il était son invention, qu’il n’existait pas et que le nombre 172 était
une pure fantaisie. Nous avons les enregistrements sonores. Il a donc changé d’avis en 5 ans... Encore une fois ?
de la prématurément disparue Alicia, et
les lettres postérieures à 1988,
Rmq JP : Et pour cause. Ici Peña doit prendre les devants de possibles critiques : il est
établi que son Accident Vasculaire Cérébral de mars 1988 l’a laissé très
largement handicapé et aphasique pour 2 années au cours desquelles il a dû se consacrer entièrement à sa rééducation.
y compris celles de mes admirateurs, (bien que naïfs) voisins
gaulois, N'ONT PAS ETE DE MA FABRICATION(1).
Ils imitaient, c'est vrai, mon style mais,
Rmq JP : On observera que les lettres reçues en France depuis 2003 (« voisins
gaulois ») n’imitent pas spécialement le style, ni surtout la présentation, des
lettres du corpus espagnol que Peña revendique implicitement ici. Ce qu’il écrit ne tient pas !
à l'examen c'était qu'il s'agissait de simples imitations de quelque(s) plaisantin ou
plaisantins, dont l'identité m'est encore inconnue, au jour d'aujourd'hui.
J'ai eu quelques collaborateurs étrangers, qui étaient ceux qui m'envoyaient les lettres depuis
des points distants du globe terrestre... Des noms ?... je suis
seulement autorisé à vous en donner quelques-uns : Vicente Ortuño (+), Norman West,
John Child,
Rmq JP : On observera que l’orthographe de John est ici correcte.
M. Carrascosa,
Alberto Borrás,
Rmq JP : Celui-ci fait partie de la liste de destinataires espagnols
incluse dans de nombreux courriers, donc très étonnant ! Encore plus étonnant : il a été
destinataire d’une lettre (D97)
qui l’informe de l’action investigatrice des agents de la CIA à l’égard du groupe..
La CIA se tirait une balle dans le pied ?
T. Pastrami, Sean O'Connelly (+) , Iker J. (lui qui a
tant de succès grâce à moi).
Je reconnais que j'ai réussi à instiller mes connaissances à travers la personne (fictive) de
Jhon
sic. Apparemment Peña ne sait plus épeller John correctement, le pseudo qu'il a pourtant choisi AXEE.
La solide culture qu'année après année j'ai
réussi à accumuler dans mon cerveau s'est aussi manifestée là. (Je demande pardon avec humilité pour mes excès concernant
Jhon
sic axee,
mes correspondants ont exigé de moi ce pardon,
Rmq JP : Un peu curieux de demander pardon en référence à une personne déclarée
fictive dans la phrase précédente, non ? D’autre part, il est censé ne plus
avoir eu de contact avec ces américains depuis 1988, puisqu’il n’a plus eu
d’activité dans le dossier depuis cette date (revendiqué plus haut). A quoi
rime d’y faire référence maintenant, en 2010 ? En outre, qu’est-ce que des
gens travaillant soit disant pour une agence nationale américaine (CIA
implicite) peuvent éprouver pour un personnage fictif dont ils ne sont pas les
auteurs ? Peña voudrait nous faire croire qu’il est donc encore sous influence
directive, après 22 ans d’interruption ?
que comme catholique pratiquant, je livre avec onction).
J'ai gardé pour moi, en fait, la partie la meilleure de
l'histoire, des précisions que, pour des motifs qui me sont propres, je désire maintenant extérioriser, face à
l'apparition de tant de sottise de tant de gens comme il y en a eu.
Ces faussaires croyaient-ils vraiment que j'allais assister
impassible à l'usurpation de mon génie sans dire un mot ?... Je répète, je ne me suis pas enrichi outre
mesure avec cette histoire, c'était seulement une expérience au nom de la Science, et pour le bien
de l'Humanité, soutenu, cela oui, par un puissant groupe étranger dont
tu devines l'identité.
Rmq JP : Procédé dialectique classique de suggestion : rien n’est dit,
mais chacun est sûr d’y trouver son compte !
Je préfère une confession écrite dans ce cas, pour les raisons évidentes que tu closes le cycle
du catalogue ummo, avec une broche d'or. D'autre part, c'est ce que
mes correspondants exigent de moi.
Rmq JP : Amusant, cette référence à cette exigence, réitérée, de ses correspondants,
dont selon ce qu’il dit plus bas, il ne reste qu’un seul de vivant ! Et après 22
ans d’interruption ! Mais bon ! il est censé s’exprimer au nom de l’Officine
américaine, n’est-ce pas ? Déjà en avril 1993 en réponse au téléphone à
Farriols, sauf qu’à l’époque il avait attribué l’exigence aux Oummains. cf
« Le Mystère des Ummites »" (ISBN-13: 9782226078452), JP Petit, page 227
Mais l'existence des textes bâtards cités,
m'obligent
sic
à ces niveaux, à dénoncer ceux qui, protégés par l'anonymat, ont abusé de mon travail en rédigeant de faux
textes, qui, ça oui,
s'inspirent de mon travail original.
Rmq JP : Il peut toujours marteler : il n’apporte évidemment pas la moindre preuve,
mais on sait bien, en pédagogie en particulier, que la répétition finit pas créer
une manière de vérité ou de certitude dans l’esprit des lecteurs/auditeurs...
Prends note :
Deux citoyens américains des noms du Docteur Jonathan F. Mac
Guirre (+) et son assistant le Professeur Arnold J. Lebotski, qui travaillaient pour un Organisme
Officiel, m'ont contacté il y a maintenant de nombreuses années, à Alicante, et m'ont demandé de
les aider à effectuer une expérience sociologique pour
le bien de la Culture Occidentale.
Rmq JP : Cet aspect « missionnaire » de l’affaire Ummo est nouveau dans la bouche
de Peña. Et il espère faire gober que la CIA a besoin d’un ancien petit prof
espagnol de physique pour faire le « bien de la Culture Occidentale » à
travers une fiction destinée à faire perdre la face à ses quelques « adhérents » ?
Etant donné mon anticommunisme guerrier, encore très chaud à cette époque, j'ai
accepté, et ils m'ont récompensé d'une manière telle que même encore aujourd'hui je vis de
cette rétribution que, pour des raisons évidentes, j'ai réussi à cacher à la voracité de
l'Agence de Perception (Finances) qui maintenant, pour la risée de la stupide démocratie
instaurée, NE PEUT RIEN CONTRE MOI par déchéance de l'action, puisque eux sont des moutons sans
âme et moi un être rationnel qui sait prendre la mesure des temps et des esprits.
Mon salaire, à ces époques, bien que digne, ne permettait pas beaucoup.
Ils m'ont toujours payé en dollars billets (le $ était alors
à environ soixante pesetas), et moi, billet après billet, j'allais les changer aux succursales d'Alicante,
Madrid et Albacete. En échange, tout ce que je devais faire, c'était inventer un monde
d'imagination (bien qu'inspiré par leurs suggestions), et le divulguer avec une totale
liberté parmi mes amis et connaissances. J'ai aussi employé parfois, en qualité de scientifique
indépendant, le hasard, en écrivant à des personnes que
je ne connaissais pas et prises dans l'annuaire téléphonique.
Rmq JP : Et pour les destinataires étrangers, différents pays d’Europe, Etats Unis,
Amérique du Sud, Russie... ? J’ai personnellement recensé 36 destinataires
hors Espagne, de 1969 à 1992 dont 13 vérifiés positifs, dans 12 autres pays,
par exemple. Les amis et connaissances ? L’annuaire téléphonique ? Bidon, tout ça !!
De la Compagnie Nationale Espagnole (CTNE).
Mon imagination et de solides connaissances scientifiques ont fait le reste.
Le surplus est de l'histoire connue.
Jusqu'ici ma confession. Je t'autorise par la présente à la
divulguer de façon modérée, toujours inspiré comme tu l'es par la bonne foi que tu estimes.
Je sais que, en homme bon et
docile que tu es, tu m'obéiras.
Rmq JP : J’ai hésité à souligner ce point qui montre combien il a de mépris
condescendant pour les lecteurs intéressés par Ummo.
Rien d'autre, cher ami, reçois et transmets à nos bons et
crédules amis ce nouvel apport de ma part au devenir des personnes.
Une accolade pleine d'émotion de ton ami,
(E43-2)
(1) ..et quelques autres, de facture encore pire, que maintenant même je ne me rappelle pas
PS : Je nierai (à toi le premier) avoir fait cet écrit. J'ai confiance en ton honnêteté pour ne pas le divulguer, sauf dans l'ummocat, et avec des réserves. Mon téléphone et mon courrier sont sur écoutes par « eux » et d'autres... Rmq JP : Ce PS est un modèle du genre de l’auto-contradiction factuelle. La preuve que Peña prend tous ses destinataires pour des demeurés, idiots, et je pèse mes mots... Scientifiquement, ce document est absolument zéro, inexploitable. Autre question, s’il dit ici la vérité, pourquoi les « américians » mettraient Peña sur écoute, après 22 ans d’inactivité, puisqu’il ne pourra jamais remonter à eux ? Se rend-il compte du caractère schizophrénique de ce mélange ? S’il vit effectivement qu’il est sur écoutes, pourquoi de vrais américains ? Toutes ses affirmations sur des contacts anciens ou récents (« professeurs »,« à la demande de mes correspondants », etc..) ne s’imposent absolument pas à la revendication de paternité du dossier, même « partielle » : on peut légitimement s’interroger sur la nécessité qu’il éprouve à en faire état. La sensation est nette que ces revendications sont autant de tentatives d’expression d’irresponsabilité « ce n’est pas moi, ce sont « eux » ». Une seule conclusion pour moi : il est manifestement très mal à l’aise dans son mensonge !