D58-2
T1C-12/17
(notes: 18/22)

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Traduction JJP, AJH
Dernière Modification: 06/07/2020
format non encore vérifié
Titre de la lettre : Les bases biogénétiques du Cosmos
Date : 03/04/1967
Destinataires : Madame Alicia Araujo
Langue d'origine : Espagnol
Notes : Lettre 2 sur un total de 25 pages

Le classement des lettres n'est pas garanti et il est possible qu'il en manque une.

UMMOAELEWE
Langue espagnole
Nombre de copies : 1
ALICIA ARAUJO
MADRID

LES BASES BIOGÉNÉTIQUES DES ÊTRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE WAAM (COSMOS)

Souvent des hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale. Présente-t-elle les caractéristiques d'un état démocratique de droit ? Est-elle peut-être un Etat Social de droit ? S'agit-il d'une structure socialiste particulière ? Présente-t-elle les aspects classiques d'une Société libérale ou, au contraire, son "échafaudage" rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l'Allemagne d'Hitler, l'Union Soviétique de Staline, l'Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ? S'il n'en est pas ainsi, pourrait-elle ressembler à l'ancien État théocratique du Tibet ou peut-être que le fait que UMMO soit régi par quatre OEMII vous donnera à penser qu'il s'agit là d'une forme particulière d'Oligocratie ou de Polycratie.

Dans un autre ordre d'idées, les questions peuvent s'orienter vers le niveau d'intelligence que nous avons atteint sur notre OYAA (ASTRE FROID) c'est-à-dire le degré de développement qu'atteint notre neuroencéphale dans la phase actuelle du développement évolutif de notre réseau social.

Ces deux séries de questions peuvent à première vue n'avoir rien en commun. Mais une analyse objective et systématique apporterait non seulement un éclairage suffisant sur leur mutuelle interdépendance mais aussi, pour leur interprétation correcte, nous devons réaliser une étude préalable sur les véritables racines des développements sociopolitiques, psychosociaux et encéphaliques de l'Humanité d'UMMO. Ces racines ne sont ni plus ni moins que les bases biogénétiques de l'évolution de tous les êtres vivants dans notre WAAM (univers). C'est pour cela qu'avant de pénétrer dans un thème aussi prolixe que notre organisation politique ou que l'analyse de la capacité intellectuelle qui commence à se développer dans l'embryon de l'OEMII au sein de l'utérus maternel, il faut absolument recourir à une vision globale (quoique vulgarisée) de l'ensemble des mécanismes qui régissent l'évolution.

Dans les paragraphes suivants nous vous informerons sur une série de questions qui nous paraissent fondamentales. Dans certains cas nous reviendrons sur des concepts qui sont presque familiers aux biophysiciens de la TERRE, comme la structure des chromosomes nucléaires, situés dans le noyau de la cellule les mutations génétiques et la base du code génétique ou de la vie. Mais à coté de ces concepts que vous tous, même non spécialisés en Biologie, devez connaître, nous allons vous faire toute une série de révélations transcendantes pour vous car les spécialistes terrestres en Biochimie ignorent leur existence même. Cela vous aidera à compléter quelques lacunes qui faisaient que certains mécanismes d'évolution étaient incompréhensibles (par exemple : les mutations internes qui, au lieu de provoquer une dégénérescence ou une régression de l'être vivant, donnent un perfectionnement des structures somatiques). Nous jugeons toutes ces révélations d'une telle importance que nous vous invitons à en faire part à vos frères Biologistes de la TERRE. Ce paragraphe peut leur servir pour orienter et planifier leurs recherches dans la recherche du BAAYIODIXAA (facteur extrêmement important que nous allons expliquer).

Avant de planter ces bases biogénétiques, vous pourriez formuler une dernière question :

Serait-il possible que les constitutions nationales de la Terre se modifient en calquant sur leurs structures la forme de Gouvernement d'UMMO, les bases sociales de notre Humanité, nos coutumes, notre genre de vie, notre industrialisation et autres facteurs qui caractérisent l'espèce OEMII de UMMO ?

Notre réponse objective et parfaitement analysée est celle-ci : Sans discussion, PAS MAINTENANT. D'ailleurs, il n'est pas nécessaire d'en préciser les raisons puisque n'importe quel homme intelligent de la Terre serait capable de parvenir à la même conclusion.

D'autre part, la question est aussi naïve que si l'on envisageait la possibilité pour un enfant de bas âge chronologique d'élaborer un projet de missile téléguidé.

Cette affirmation pourrait être gênante pour la sensibilité et l'amour propre des Terriens. Elle semble signifier que vos frères originaires de UMMO ont une conception méprisante de l'Homo Sapiens de la Planète OYAGAA (TERRE), que les hommes d'UMMO vous considèrent comme de simples UUGEEYIE (ENFANTS) par comparaison à nous.

Mais ce trait de susceptibilité n'est ni rationnel ni justifié, étant donné que notre attitude envers vous n'est en aucun cas dépréciative mais imprégnée d'un profond respect prenant en compte que vous êtes dans une phase du processus évolutif moins avancée dans le temps que nous.

Quand nous nous référons à la maturité psychique d'un OEMII (corps) c'est-à-dire à l'état que vous appelez période adulte, vous ne devez pas oublier que nous nous référons au cadre de référence d'un macrogroupe planétaire. Il s'agit donc d'une RÉFÉRENCE RELATIVE. L'adulte possède indubitablement un psychisme différent de celui de l'UUGEEYIE ou de l'adolescent de ce groupe. Indubitablement, les réactions primaires d'une panthère adulte sont différentes de celles de son petit; mais n'oubliez pas que l'homme terrestre actuel, tout comme l'OEMII (HOMME) d'UMMO, sont des êtres en continuel processus évolutif. Les cadres PHYSIQUES et HISTORIQUES que nous avons vécu sur UMMO et sur TERRE sont très différents. Ceci est naturel si vous tenez compte du Milieu Géologique, atmosphérique, radioactif, gravitationnel, magnéto-électrostatique et chimique qui présente sur UMMO des différences quelques fois importantes par rapport à votre Planète.

N'oubliez pas, par exemple, qu'une plus grande protection atmosphérique nous a protégé de l'action dégradante des mutations extérieures provoquées par la radiation cosmique, le degré de dégénérescence de certains phylums à été moindre et les variations raciales presque inexistantes.

Tous ces facteurs donnent des caractéristiques particulières à chaque macrogroupe social planétaire car le milieu écologique à été différent même si la structure somatique des hommes est similaire sur toutes les planètes habitées par des êtres rationnels.

Mais de plus, la période comprise entre l'hominisation des anthropoïdes précurseurs et l'époque présente est beaucoup plus importante sur notre UMMO que la période similaire terrestre. Dans ces conditions il n'y a rien de surprenant à ce que notre degré de civilisation soit plus avancé que celui de la Terre.

Vous savez que les organismes se développent progressivement grâce à une série de facteurs que vous connaissez en partie. Les biologistes terrestres attribuent ces changement évolutifs capables de transformer un anthropoïde en un homme, aux radiations extérieures et à la sélection du milieu. Toute mutation d'un gène donnera lieu ensuite à un changement structural de l'organisme.

Mais ceci est une vérité incomplète avec certains éléments erronés. Nous avons découverts les lois biogénétiques et les vrais facteurs qui régissent l'évolution de la vie dans le WAAM.

PORTEZ UNE GRANDE ATTENTION

Vous savez que tous les tissus animaux et végétaux sont formés de millions de cellules. En employant la terminologie de la Terre, nous vous rappelons que dans ces cellules il y a quatre éléments ou parties importantes. Voir IMAGE 1

Une masse complexe appelée PROTOPLASME.
Une masse centrale appelée NOYAU.
Une membrane qui entoure la cellule.
Une membrane qui entoure le NOYAU.

Un modèle didactique de cellule peut être représenté par l'oeuf d'un oiseau. Le blanc représenterait le PROTOPLASME, le jaune le NOYAU et la membrane serait représentée par la coquille.

Ce modèle est cependant très grossier car, par exemple, la MEMBRANE cellulaire est beaucoup plus complexe qu'une simple coquille.

Vous avez tous étudié qu'au sein du NOYAU cellulaire il y a des structures filamenteuses appelées CHROMOSOMES. Ces filaments complexes revêtent une grande importance car ils détiennent une partie du mystère de la vie. Mystère que nous avons éclairci il y a bien longtemps.

En effet, chaque fibre chromosomique est porteuse de modules capables d'emmagasiner les CARACTÈRES de L'HÉRÉDITÉ que nous appelons IGOOA ENMEE et vous: GÈNES.

Une comparaison grossière pour les profanes en biophysique pourrait consister à comparer les XAAXADOO (chromosomes) avec une bande de papier perforé contenant un message secret. Chaque séquence de trous ou perforations symbolise une lettre. L'ensemble de la bande perforée porteuse de ce code représenterait le texte complet de ce message.

Le message porté dans le XAAXADO (chromosome) n'est rien d'autre que les instructions pour que le foetus contenu dans la matrice posséde des traits qui le différencient de ses autres frères. Le chromosome dicte les ordres par lesquels l'être vivant porteur des gènes adéquats sera différent d'une colombe ou d'un reptile.

Chaque IGOOA ou GÈNE représente un caractère défini : La couleur bleue de l'iris de l'oeil, la forme de l'intestin grèle ou la pigmentation noire de la peau d'un Hottentot terrestre.

Indubitablement, si un agent étranger, un plomb de chasse par exemple, faisait une nouvelle perforation sur la bande de papier, une de ses lettres serait altérée. Il se peut alors que tout le sens de son message en soit sensiblement altéré. De même un faisceau de radiations (rayons X, neutrons rapides, électrons, etc ...) tombant sur le CHROMOSOME pourrait l'altérer jusqu'à un point tel que le nouvel enfant de cet être vivant naisse avec les yeux sombres ou même transformé en monstre.

Les spécialistes de la terre savent tout cela et ils connaissent la structure intime du code génétique d'ailleurs beaucoup plus complexe que notre exemple de bande perforée avec le message.

Avant de continuer, il est nécessaire de vous résumer la structure interne du XAAXADOO (chromosome). Nous ajoutons, pour le cas où vous ne trouveriez pas un texte approprié analysant ces importants filaments, un APPENDICE NUMÉRO UN où nous développons brièvement le thème. Les conclusions des biologistes terrestres sur les chromosomes ne différent guère du concept que nous avons, depuis de nombreux XEE (UNITÉ DE TEMPS ÉQUIVALANT À LA TRANSLATION D'UMMO AUTOUR DE NOTRE ASTRE CHAUD IUMMA), au sujet du XAAXADOO (chromosome) sauf en ce qui concerne les chaînes protidiques et leur fonction dans le chromosome, domaine où vous commettez quelques erreurs.

Commentez le texte et reposez vous., texte manuscrit

(LISEZ L'APPENDICE 1)

Appendice 1

Un XAAXADOO (chromosome) est une structure en forme de filament qui se trouve dans le noyau de la cellule à partir de l'une de ses phases de reproduction et à partir d'un composant que vous appelez chromatine.

La structure du XAAXADOO (chromosome) est complexe; agrandie convenablement par nos équipements de visualisation gravitationnelle, elle se présente comme un long régime d'atomes. Nous utiliserons votre nomenclature car les véritables composants sont connus par les biologistes terrestres.
IXOUURAA - Acide désoxyribonucléique (ADN)
UOUORAA - Acide ribonucléique (ARN)
NOI OULOO - Histones
DOA DOEE - Protamine
IXIMOO - Protéines essentielles.

L'acide désoxyribonucléique (ADN) porteur du programme codé des IGOOA (gènes) est très important. Ses informations symbolisées en lui "dictent" réellement les ordres qui serviront à matérialiser les traits caractéristiques de chaque animal ou plante. Voyons quel est ce mécanisme de programmation et de réalisation.

L' IXOUURAA (ADN) présente une structure spatiale de forme hélicoïdale (DOUBLE HÉLICE).

D58-2-A
(D58-2-A)

Ses composants les plus importants sont :
o IOGAARAA - Acide phosphorique
o UUDUAGOO - Sucre désoxyribose
o IXOIAROO - Adénine (nucléotide)
o IUAGAROO - Thymine (nucléotide)
o IDUIROO - CYTOSINE (NUCLÉOTIDE)
o IVOOROO - GUANINE (NUCLÉOTIDE)

Ses composants basiques sont enlacés de la manière suivante :

D58-2-B
(D58-2-B)

et forment une fraction élémentaire de la double hélice précitée.

Vous pouvez remarquer que les situations relatives des quatre derniers composants (adénine, thymine, cytosine et guanine) s'alternent d'une façon apparemment capricieuse. Mais c'est précisément cette distribution des quatre IGOOMII (facteurs symboliques du CODE) qui permet de porter le message. Chaque série de quatre bandes ou paires peut représenter un symbole ou IGOOA D58-2-1 (D58-2-1) (Gêne D58-2-1 (D58-2-1)) programmateur de protéines. (ce n'est qu'un symbole génétique parmi tant d'autres.)

Comment cette programmation traduit-elle en fabrication des protéines ? Le processus n'est pas tout à fait ignoré de vous : deux chaînes de (UOUORAA) acide ribonucléique (ARN) dont la structure ressemble à celle du désoxyribonucléique, bien que moins complexe.

D58-2-C
(D58-2-C)

O Ce rond a sans doute un rapport avec la figure précédente symbolise la liaison (UUDUINOO) RIBOSE qui le distingue du DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE.

Elles accomplissent des fonctions différentes.

Premièrement il faut distinguer deux types de chaînes (UOUOURAA) ribonucléique:
La première B ARNmessager est un calque du message chiffré A de l'acide désoxyribonucléique.
La seconde C ARN de transfert est porteuse d'un ( I X I ) aminoacide (souvenez-vous que les aminoacides sont de véritables modules ou liaison de PROTEINES).

En fait le processus est beaucoup plus complexe car y interviennent aussi des RIBOSOMES, des ENZYMES et un facteur que vous ne connaissez pas facteur complémentaire aux ribosomes et aux enzymes, intervenant dans la réplication de l'ADN et que nous appelons AIGOOXAADA, nous essaierons de le schématiser en employant des métaphores ou images plus compréhensibles pour les novices en chimie biologique.

1ère Phase :

Dans le chromosome préexiste (depuis la dernière mutation) une séquence de symboles codés en fonction de la situation des nucléotides dans l'acide désoxyribonucléique. Nous symbolisons ceci avec une bande codifiée en MORSE TERRESTRE. (Conservée dans le bureau d'un directeur d'usine). Métaphore précitée

D58-2-D
(D58-2-D)

2ème Phase :

Dans le noyau de la cellule se forme une chaîne d'ACIDE RIBONUCLEIQUE; calque de l'antérieure ADN. Cette chaîne passe du NOYAU au protoplasme de la cellule en portant le message. Vous pouvez imaginer qu'il s'agit d'une copie de la bande précédente qu'un ingénieur a décalqué dans le bureau précédemment cité et qu'il amène dans l'atelier de fabrication. Suite de la métaphore

D58-2-E
(D58-2-E)

3 ème Phase :

Dans le cytoplasme existe en plus une série d'aminoacides différents types 21 connus de nous. Il ne faut pas oublier qu'une molécule protéinique est composée par un ensemble de différents types de composants. Une chaîne protéinique se distinguera d'une autre précisément par les types et l'ordre de ces acides aminés entrelacés.

Chaque aminoacide mot souligné et flèche renvoyant sur l'a partie du dessin "aminoacide" de la figure ci-dessous) est codé par un symbole clef de trois signes mot souligné et flèche renvoyant sur la partie du dessin indiqué "clef de trois signes" de la figure ci-dessous. Il s'agit des 3 des 4 bases ACTG dans un ordre ad hoc pour chaque acide aminé) (qui correspond au code enfermé dans l'acide désoxiribonucléïque). Ensuite sur la chaîne ou moule acidoribonucléique, se disposeront SEULEMENT LES AMINOACIDES dont le chiffre de code correspond au message .

D58-2-F
(D58-2-F)

Les chaînes protéiques ainsi composées donnent forme à la structure de chaque être vivant. Chaque animal ou plante a été "fabriqué" en obéissant aux ordres codés dans le (XAAXADOO) CHROMOSOME MATRICE.


Nous avons réalisé une incise pour vous expliquer un processus qui est presque connu par vous. Il reste donc à analyser comment s'encodent les ordres dans le XAAXADOO (CHROMOSOME) lui-même.

Nous avons vu que les permutations mathématiques des quatre nucléotides: (IXOI AROO) ADÉNINE, (IUAGAROO) THYMINE (CYTOSINE) et (IUOOROO) GUANINE suffisent en partie (Nous avons expliqué brièvement d'autres aspects du codage) pour coder les caractères héréditaires.

Que se passe-t-il si un faisceau de radiation (par exemple des neutrons) "tombe" sur une chaîne d'acide désoxyribonucléique bihélicoïdal.

D58-2-G
(D58-2-G)

L'impact, s'il n'y a pas destruction ou rupture du chromosome, peut produire au minimum une altération de l'ordre des nucléotides. Il change alors le sens d'interprétation de ceux-ci et on dit que s'est produit une IDUGOO (MUTATION).


Mais toutes les IDUGOO (mutations) ne sont pas provoquées par radiation incontrôlée venant de l'extérieur (rayons cosmiques, explosion d'arme nucléaire, etc...).Au contraire, de nombreuses mutations sont provoquées dans l'individu même par un mécanisme inconnu de vous. Ainsi, par exemple, une espèce de reptiles, comme les lézards peut vivre des milliards d'années dans une zone marécageuse jusqu'à ce qu'un jour se produise une mutation par laquelle la nouvelle espèce de lézards naît pourvue de grandes membranes palmées qui lui permettent de nager commodément dans l'eau. Que s'est-il passé ?

Nous vous conseillons de suivre dans les paragraphes suivants cette passionnante explication consistant à spécifier la fonction qu'adopte dans ce processus la série de 86 paires d'atomes de KRYPTON découverte par nous sous le nom de BAAYIODUU.

SE REPOSER manuscrit

Aucune dose de radiation, aussi faible soit-elle, n'est pas sans produire des effets et présenter un degré de probabilité de provoquer une MUTATION, souvent mortelle, et c'est pour cette raison que nous ne comprenons pas l'inconscience de certains gynécologues terrestres qui soumettent les femmes enceintes à un procédé de radioscopie ou de radiographie sans prendre la moindre précaution. en 1967

Si dans les XAAXADOO (chromosomes) il ne se produisait jamais de MUTATIONS, les êtres vivants continueraient à perpétuer leur structure durant des millions d'années. L'ÉVOLUTION NE SERAIT PAS POSSIBLE SUR AUCUNE PLANÈTE. Un mollusque répéterait sa morphologie de génération en génération sans jamais se transformer.

Mais les biochimistes terrestres se posent la question : comment les mutations, ces phénomènes accidentels qui modifient le code de la vie, font-elles pour se produire toujours dans un sens positif (orthogenèse), en perfectionnant les espèces, en faisant progresser leur morphologie, leur organes des sens ou organes capteurs des stimulus, en perfectionnant de plus en plus parfaitement leurs mécanismes organiques complexes de génération en génération, chaque fois qu'une mutation se produit ?

Prenons une comparaison : si les radiations et leur action génétique peuvent être comparées aux effets de balles sur une cible (la cible étant le chromosome), nous pouvons imaginer un tireur faisant feu sur les colonnes du Parthénon en GRÈCE. Pouvons nous supposer (à moins qu'il ne s'agisse d'un tireur très adroit) que les impacts des balles, au lieu d'enlaidir la sveltesse des péristyles, fassent au contraire dans la pierre de belles collerettes et d'élégantes caryatides sur les chapiteaux ?

Comment est-il possible que le processus d'encéphalisation de l'homme aille en s'améliorant et que de futures générations d'hommes jouissent d'une écorce cérébrale plus perfectionnée, que notre esprit soit capable de résoudre des problèmes mathématiques mentalement sans recourir à des algorithmes auxiliaires comme nos ancêtres ?

Seulement à cause d'un bombardement, au hasard, de neutrons ou de "deuterones" ? Seulement parce qu'un Hélium ou plus précisément "noyau d'Hélium"? agit sur l'IXOOURAA (ADN) et altère la position d'une molécule de thymine ou de guanine ? Quand dans ce cas ils devraient surtout provoquer une aberration génétique et donc créer un être monstrueux aux bras atrophiés ou sans poumons !

On doit à notre scientifique AOYOO 221, fils d'AOYOO 217 d'avoir découvert le mystère de ce processus biogénétique.

On avait découvert depuis longtemps que dans l'encéphale de l'homme il y avait des atomes de krypton (un gaz noble que vous connaissez) et il parvint à révéler la transcendance de cette découverte. Il s'agissait tout simplement de l'OEMBUAW, TROISIÈME FACTEUR DE L'HOMME, que vous ne connaissez pas et qui exerce la fonction de trait d'union entre l'ÂME et le CORPS (BUAWAA et OEMII).

69 XEE auparavant, 18 mois terrestres environ INNAI 3, fils d'INNAI 2, en réalisant des expériences de fécondation en laboratoire avec des spermatozoïdes d'AAGA IEGOSAA (antropoïde ressemblant aux singes terrestres) sur des ovules de YIE (femelle humaine), avait pu vérifier la position spatiale des atomes composant un sucre que les chimistes terrestres appellent désoxyribose et que nous connaissons comme UUDUA GOO . Les molécules de ce sucre se trouvaient à l'intérieur du noyau de l'ovule de la femme. Il fut stupéfait de découvrir la présence de nombreux atomes de KRYPTON

D58-2-H
(D58-2-H)

Ceux-ci se trouvaient aux extrémités de la chaîne hélicoïde de l'acide DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE en formant plusieurs paires (au total 86 ensembles bi-atomiques) qui tournaient sur des orbites communes. Les plans orbitaux, sensiblement parallèles, jouissaient d'un AXE commun (l'axe A-B sur la figure 58-2f8). Cet axe décrivait en même temps un mouvement vibratoire harmonique dont la FRÉQUENCE ET L'AMPLITUDE étaient fonction de la TEMPÉRATURE (0,2 Mégacycles pour une température de 35° centigrades terrestres).

On n'avait pu jusqu'à présent détecter de telles séries ordonnées d'atomes de gaz KRYPTON que dans les cellules germinales de l'homme et chez les animaux pluricellulaires; mais plus tard la découverte fut étendue au reste des cellules.

Comment se fait-il que nous n'ayons pas découvert plus tôt ces atomes ? Il faut tenir compte du fait que même s'il s'agit de groupes intégrés de 86 atomes, ces chiffres sont infimes pour pouvoir être facilement contrôlés et détectés. Souvenez-vous que dans un millimètre cube de gaz KRYPTON très raréfié on peut compter statistiquement jusqu'à un chiffre de l'ordre de mille millions d'atomes libres.

La première hypothèse de notre scientifique fut d'identifier ce krypton avec l'OEMBUAWW (TROISIEME FACTEUR DE L'HOMME déjà cité) mais à sa grande surprise il ne trouva aucun symptôme de codage électronique dans ses niveaux énergétiques subatomique.

Les travaux durèrent 9 XEE jusqu'à ce que AOYOO 221 commence ses recherches.

Lui-même avait formulé au début une première hypothèse qui s'écroula piteusement, mais il eut la gloire de découvrir enfin le vrai sens de la fonction du BAAYIODUU, comme nous appelons la série des 86 atomes de KRYPTON.

LA FONCTION BIOGÉNÉTIQUE DU BAAYIODUU (SÉRIE D'ATOMES DE KRYPTON)

Au début AYOO 221 était convaincu que ces atomes de krypton étaient inactifs dans les cellules sexuelles de tous les êtres vivants. Il pensait que ces atomes formaient un dépot d'où ils migraient, dans les futures générations, vers l'encéphale ou cerveau pour former l'OEMBUAW (troisième facteur de l'homme).

Pour démontrer la viabilité de son hypothèse il prit des cellules germinales masculines (spermatozoïdes) de 134 espèces de vertébré pour effectuer une analyse détaillée.

La stupeur des spécialistes qui aidaient AYOO 221 fut extraordinaire quand ils réalisèrent une analyse de la répartition électronique de ces atomes de KRYPTON.

Comme vous le savez, les électrons occupent à chaque niveau sousatomique des positions instantanées dont la fonction est régie par le hasard. Il existe un principe d'indétermination suivant lequel chaque électron se situe en des points distincts sans être régi par aucune loi (nous appelons ces positions IBOZOO WOO et il ne faut pas les confondre avec le concept de point mathématique dans un espace tridimensionnel.

Mais dans les atomes en question, les positions étaient de toute évidence régies par un synchronisme déconcertant. Les atomes homologues dans les chaînes du BAAYIODUU des différents spermatozoïdes présentaient une répartition semblable et synchrone. Ils ressemblaient à des pendules qui fonctionnaient à l'unisson, comme s'ils étaient liés par d'occultes émissions de radiation qui stimulaient un tel comportement ou comme si un mystérieux phénomène de résonance obligeait tous les électrons à être régis par le même modèle. On pouvait peut-être penser que la proximité des cellules étudiées était responsable de cet effet de résonance. Mais par la suite on découvrit que tous les êtres vivants d'UMMO se comportaient de la même manière dans leur BAAYIODUU.

Beaucoup plus tard nous avons dû reconnaître que ce phénomène est cosmologique. La théorie et l'expérience l'ont définitivement confirmé. Ainsi, par exemple, des êtres vivants sur d'autres Planètes présentaient le même phénomène. En 1951 nous avons pu vérifier une fois de plus l'universalité du principe, par l'étude des cellules humaines des OEMII de la Terre. Le synchronisme avec les atomes du BAAYIODUU de UMMO et d'autres Planètes était parfait.

Mais vous ne devez pas être surpris qu'il en soit ainsi. Au contraire cela vous paraîtra logique quand nous vous expliquerons dans le texte suivant la véritable fonction du BAAYIODUU. Vous comprendrez alors que vous êtes encore très loin d'avoir atteint la compréhension complète des intimes mécanismes qui régissent la vie. Et nous-mêmes n'y sommes pas encore arrivés malgré cette découverte TRANSCENDANTALE. Vous comprendrez que le code génétique enfermé dans l'acide désoxyribonucléique n'est qu'un maillon de cette chaîne de facteurs qui expliquent le comportement de la matière animée par la vie, insufflée à son extrémité par WOA (DIEU).