Site UMMO-SCIENCES - ANALYSE 18
|
Les phrases ou mots en gras sont une sélection de ceux qui nous semblent importants dans cette analyse. Les avis de différents intervenants sur la question de cette analyse sont reportés en bas de page. |
||
D 731 (1)
L'Univers réel se compose d'une famille de paires de Cosmos. Dans chaque paire d'UNIVERS-ANTIUNIVERS, prédomine un type de masse + M et - M (les signes sont conventionnels). De plus, chaque couple se caractérise par la vitesse qu'atteint dans le vide un quanton ou photon d'énergie électromagnétique. Nous appelons WAAM-WAAM cette gerbe d'Univers. Nous soupçonnons qu'il existe réellement une infinité de paires de Cosmos (nous n'en connaissons vraiment que quelques-uns), une partie d'entre eux accessibles dans nos voyages entre deux points de notre Galaxie. NOTES: [ AJH1]: La vitesse de la lumière
est identique dans chaque couple WAAM-UWAAM [JP] : Pour les ummites, le transfert hyperspatial (la « oawooleaidaa ») ne concerne que des espaces à 3D. Il est clair que pour décrire une séquence d'évènements, on doit avoir recours à une coordonnée supplémentaire qui est le temps. Aussi, dans notre physique actuelle (et la mieux établie.), il y a également une infinité d'univers 3D différents chacun se distinguant des autres par une valeur spécifique de la coordonnée temporelle [FP1]:J’ajoute
: [PAZ1] Je corrige un peu suivant
ma lecture :-) |
||
D 731 (2)
Nous savons que les différents Univers ont des interactions entre eux. Les singularités de l'un d'eux ( masses ± Ö - m concentrées) influencent les Univers adjacents (sans masse ± Ö - m). NOTES: [AJH1]-
Les différents univers [FP1] J’ajoute :
|
||
D 731 (3)
Quatre de ces Univers nous intéressent spécialement, vous et nous, c'est-à-dire OYAGAA (Terre) et OYAUMMO (Astre froid Ummo). En premier lieu, notre propre anti-Cosmos. En lui prédomine ce que vous appelez Antimatière (Masse # - M). Il y a aussi en lui de petites quantités de + M. Notre Cosmos jumeau provoque dans le nôtre des perturbations qui se traduisent par des plissements dans notre "continu" espace temps. Ce sont ces plis qui nous permettent d'effectuer des voyages entre OYAA (Astres planétaires non brûlants) en moins de temps qu'il faudrait en suivant une trajectoire photonique. NOTES: [AJH1]
[FP1] - Ici on parle spécifiquement de notre waam et de son uwaam. Il n’est fait aucune référence à la masse imaginaire…alors qu’on mentionne pourtant la nature des masses qui sont présentes dans ces espaces. Voir également [FP1] du paragraphe D731-4 (suivant). Conclusion : la masse imaginaire n’est surement pas localisée dans les paires de waams jumeaux. [PAZ1] J'ai l'original en espagnol sous
les yeux. Il y a une différence avec la traduction : |
||
D
731 (4)
Les perturbations entre Cosmos sont produites parce que dans l'un d'entre eux se trouve un type de masse que vous qualifiriez mathématiquement d' IMAGINAIRE (dans un autre cadre du faisceau tridimensionnel). Cette masse imaginaire a comme vitesse "au repos" (énergie maximale) la vitesse d'un paquet d'énergie électromagnétique (photon) ± Ö - m. L'existence de cette masse permet l'interaction ou action mutuelle, entre Univers, bien que la masse imaginaire mentionnée se localise seulement dans un des membres du couple. L'interaction ne serait pas possible si la matière se trouvait distribuée isotropiquement (uniformément), ce qui évidemment n'arrive pas. (la phrase suivante est rajoutée à la main: Sauf à l'instant initial du Cosmos). NOTES [AJH] [FP1] [PAZ1] Ici il est clairement fait référence à notre anti-cosmos (UWAAM). Ils s'agit donc des perturbations entre le WAAM et le UWAAM (les nôtres). La notion de "vitesse au repos (energie maximale)" est assez contradictoire. Cela voudrait dire que l'accélération de la masse imaginaire diminuerait son énergie (???). Dans notre WAAM on parle de "masse au repos" dont l'énergie s'accroît lorsqu'on l'accélère (énergie cinétique). Où alors cette "masse imaginaire" ne peut aller "moins vite" que la vitesse de la lumière ? On retrouverait alors la théorie des tachyons que Benedictus Servant à ébauché il y a quelques temps ? Je pense qu'il y a des infos à prendre dans ce paragraphe ! Autre info hyper importante : l'univers (chaque WAAM en fait) est fondamentalement anisotrope. Cela vient donc donner un coup de pied dans le fondement de la théorie de la relativité einsteinienne qui prend pour principe que l'Univers est Isotrope et Uniforme. Il y a d'autres théories (je crois) qui n'ont pas présupposé cela et qui ont abouti à des modèles d'univers à "constantes" fluctuantes. |
||
D
731 (5)
Il existe une infinité de paires d'Univers (beaucoup d'entre elles en phase terminale) avec une masse sous-critique. Ces Univers (comme les autres) naquirent avec un rayon infini et une répartition de masse isotrope (cristal cosmique) et une densité nulle. Le rayon allait en diminuant (la direction ou sens du temps était négative par rapport à l'actuelle). Mais la perturbation des Cosmos adjacents fit que se produisirent des Singularités de masse (c'est-à-dire : d'abord des Nébuleuses de gaz et de poussières, futures galaxies), cessant d'être isotropes ou cristaux cosmiques. (Nous appelons cristal cosmique un Univers dont la densité de masse est constante en n'importe quel point et qui présente les mêmes propriétés dans n'importe quel axe ou direction). NOTES: [AJH] [PAZ1] Au départ on se trouve avec une infinité de feuillets "plans" qui, en interagissant par l'action de la masse imaginaire se "courbent" mutuellement. Après les pulsations primitives chaque WAAM s'est trouvé plus ou moins courbé avec un "rayon" propre. D 731 [6] Le WAAM "U" (dans la famille des univers existants) est un réseau d'IBOZSOO UHU qui est dépourvu de singularités ou de plissements. Il n'existe donc pas de possibilité qu'il subisse une interaction avec un flux "d'énergie" quelconque. C'est un univers dont le rayon est constant (il ne subit ni expansion ni compression). Cela n'a pas de sens de parler dans celui-ci, de poussière cosmique, de gaz, d'atomes ou de particules subatomiques. Il n'existe ni galaxies, ni astres planétaires, ni par conséquent de soleils. Si nous mesurons sa masse globale, nous trouvons avec surprise qu'elle est nulle (c'est la raison pour laquelle il est impossible de lui apporter de l'énergie). Dans celui-ci il n'existe ni photon ni quanton d'autre type de champ, ce qui revient au même que de dire que l'existence de champ n'a pas de sens ; ou dit autrement, la vitesse d'un quanton de lumière serait nulle (s'il pouvait exister des photons). Il pourrait sembler que nous sommes en train de décrire le concept de "rien". Pour un physicien d'OYAAGAA, un tel univers n'a pas de sens, il est synonyme de ce QUI-N'EST-PAS. [FP1] - Aucune masse d’aucune sorte dans cet autre espace limite (+M, -M). Pas de masse imaginaire non plus puisque une vitesse de la lumière nulle signifie que l’énergie d’une masse imaginaire dans cet espace serait infinie (c’est impossible). Cela justifie l’utilisation du singulier «… dans l’UN deux… » dans le paragraphe (D731-4). D 731 [7] Le WAAM "OU" a une masse infinie qui se divise en parties égales en MASSE DE MATIÈRE et MASSE d'ANTIMATIÈRE . Son rayon est constant et il ne possède pas de masse imaginaire. La vitesse du photon en son sein est infinie. (Le concept de masse infinie se réfère à la totalité de cet univers; cela ne veut pas dire que les singularités massiques en ce WAAM soient hyperdenses). C'est l'unique univers, avec le WAAM "U" , où le concept d'AYUUBAAYII (réseau vivant) n'a aucun sens. (Exprimé en termes courants : ici il n'existe aucune galaxie, planète, animal ou végétal, roche ou poussière. [FP1] - Ici on dit clairement que l’univers limite OU n’a pas de masse imaginaire en son sein. C’est une info intéressante. En effet, la vitesse du photon étant infinie dans cet espace, il devrait constituer normalement un lieu privilégié « de repos » pour la masse imaginaire (son énergie y étant minimale). Je me demande si l’auteur n’a pas joué sur les mots dans ce paragraphe. Une interprétation possible est : Les masses réelles +M et –M de l’univers OU apparaissent dans les autres univers comme des masses imaginaires.
|
||
§6
- D 57-1
En premier lieu la Distance mesurée dans l'espace temps tridimensionnel classique est si énorme que dès le départ on rejette toute tentative de réaliser le voyage sur l'axe "droit" qui sépare les deux planètes. Un vaisseau qui atteindrait même cent dix huit mille kilomètres seconde (vitesse maximum conseillée pour ces déplacements) et qui se dirigerait sur la trajectoire supposée droite que suit la lumière jusqu'à cette Planète, mettrait plus de trente cinq ans à arriver. [PAZ] - Ce paragraphe parle de lui-même. Toute avancée technologique visant à développer la propulsion classique ne nous servira que dans le cadre de l'exploraton de notre système solaire. Au mieux on pourrait espérer lancer une sonde vers Alpha du Centaure et la voir arriver dans l'espace d'une vie humaine avec les vitesses qui peuvent raisonnablement être atteintes (n'oubliez pas la phase de freinage à l'arrivée..). 57-1 [2] Et même si l'on pouvait résoudre le problème ardu qui consiste à posséder une source énergétique suffisamment puissante pour accélérer le vaisseau jusqu'à une vitesse proche de celle de la lumière, dans laquelle le véhicule augmenterait sa masse relative jusqu'à une valeur fabuleuse, quatorze ans de voyage représentent une durée excessive pour un groupe d'explorateurs. [PAZ] - No comment. A noter la confirmation de la distance de 14 ans par la voie tridimensionnelle classique entre Ummo et la Terre à la vitesse de la lumière. Donc 14 années lumière de distance. 57-1 [3] Il est très difficile de vous expliquer le
système utilisé par notre Science et Technique pour résoudre le problème,
mais nous allons essayer de vous le résumer en quelques paragraphes. Bien que vous puissiez imaginer que nos sens ont seulement accès à TROIS de ces dimensions (ESPACE PSYCHOLOGIQUE) et au Temps, ceci obéit à une simple évaluation faussée du concept psychologique de PERCEPTION. Le monde extérieur que nous connaissons est une illusion élaborée par notre Cerveau. Quand une fréquence électromagnétique nous apparaît comme une belle couleur, si sa valeur baisse (exprimé en cycles/seconde), elle est alors captée par nos organes nerveux en reproduisant une sensation totalement différente: "LA CHALEUR". Ainsi l es différentes dimensions de la Nature apparaissent camouflées avec des perceptions différentes (Ainsi ce que nous appelons masse est en réalité la perception illusoire d'un autre groupe de dimensions). [PAZ] -Juste pour noter les 10 dimensions du WAAM (notre Univers à nous où c = 299 792 458 m/s) connues par les oummites La masse n'est qu'une représentation mentale d'un ensemble de phénomènes ondulatoires au même titre que le son, la couleur ou la chaleur en sont d'autres. Ce sont des interprétations que fait notre cerveau des perceptions que nos sens vue, toucher, organes propriocepteurs... captent.. |
||
§7 - D57-1 En étudiant la véritable nature des corpuscules ou entités que vous appelez PROTONS, MÉSONS, NEUTRINO, ÉLECTRONS, etc, , nous avons découvert qu'en réalité il s'agissait de petites déformations de l'Espace appelé à tort Tridimentionnel, dans l'axe d'autres dimensions. Imaginez un drap étendu; ceci serait la comparaison de l'Espace Tridimentionnel que nous appellerions vide. Si maintenant nous faisons un petit creux ou déformation dans le drap, ce creux pourra représenter la masse du proton ou parfois du MUON en fonction de l'axe dans lequel s'est exercée la déformation, comme la grandeur ou profondeur du creux. Ainsi, si vous vous situez en regardant le drap par une face, vous verrez une concavité (PROTON) mais si vous le regardez à l'envers, vous l'interprèterez comme une convexité ou protubérance (ANTIPROTON). De plus si vous situez vos axes à partir de différentes perspectives, cette déformation peut vous paraître plus ou moins oblique, c'est à dire exercée en différents axes ou dimensions, vous semblant être telle fois un "NEUTRON" et telle autre fois ce que vous appelez Particules subatomiques. En un mot l'interprétation d'une telle particule dépendra du système de référence dans lequel se situe l'observateur. C'est bien la permutation d'un corpuscule en un autre, chose que vous avez déjà observé selon nos informations, mais que vous ne savez pas encore contrôler. Ce n'est ni plus ni moins qu'un "CHANGEMENT D'AXE" c'est à dire UN CHANGEMENT DE DIMENSION. Quand la MASSE d'un PROTON par exemple disparaît devant vous pour se convertir en ÉNERGIE, ce qui est arrivé en réalité c'est que son AXE a subi un tour de 90 degrés AXIALEMENT à une dimension classique de l'Espace. Mais ceci est valable pour VOUS et votre SYSTEME de RÉFÉRENCE car pour un autre observateur situé depuis la perspective de la Quatrième, Cinquième ou Sixième dimension, ce qu'il observera est précisément le phénomène contraire, que l'Énergie se concentre pour former une particule qu'il appellera aussi "PROTON" [PAZ] - En fait c'est un tour de passe-passe angulaire, un simple changement d'angle de vue. Ce n'est pas que la particule a changé d'univers (de WAAM) mais que les relations angulaires de ses axes ont changé et que nos "capteurs" les percoivent différemment (ou même ne les perçoivent plus). Il faut vous expliquer un troisième concept pour que vous puissiez comprendre le principe de nos VOYAGES à travers la Galaxie. L'espace qui sépare les différentes accumulations galactiques du WAAM (COSMOS) ne doit pas être interprété avec la comparaison simpliste d'un drap étendu et plat, mais plutôt avec ce même drap ondulant au vent, ondulations qui, si nous sommes logiques avec cette image didactique, se produisent dans une quatrième, cinquième, etc. ..dimension. (L'origine de telles ondulations est EXTRA COSMOLOGIQUE, produite par un WAAM (COSMOS) jumeau, mais ceci est le moins important dans cette explication. Ce qui est sûr, c'est qu'elles se produisent et qu'elles facilitent les voyages extra planétaires, même si cela peut vous paraître étonnant. Imaginez deux tâches d'encre situées sur le drap à 10 cm de distance. Ceci serait la trajectoire que devrait suivre un astronef, ou la lumière, qui partirait de la première tâche jusqu'à la seconde.
Si maintenant je plie le drap suivant un axe qui coupe perpendiculairement le plan médian de la distance qui sépare les deux tâches, il est certain qu'en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l'espace aérien qui sépare ces deux points. [PAZ] -D'où mon "feeling" fort qu'ils ne passent pas par le jumeau pour voyager. Le jumeau produit simplement les ondulations et les vaisseaux spatiaux traversent le "drap" du WAAM comme une "aiguille" plutôt que de suivre les ondulations. Là mon interprétation serait de dire qu'ils ne changent pas de WAAM mais de système de référence pour certains axes qui sont orientés dans un sens qui n'est pas celui qui nous est familier... ils se transforment en une sorte de matière "fantôme" (fantôme pour nous mais matière dans l'autre système de référence) qui serait capable de passer au travers de la trame tridimensionnelle de la matière "classique" du WAAM. Mais bon, ce n'est pas clair dans mon esprit. |
||
§8 - D
57-1
De plus vous pouvez observer qu'une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l'Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L'unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d'exemple, sera d'orienter nos propres corpuscules subatomiques vers un axe différent; exprimé en langage physique de la TERRE: permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux. Pour des raisons évidentes, nous ne pouvons vous expliquer aucun aspect technique de ce procédé que d'autre part vous n'êtes pas loin d'atteindre bien que nous souhaitions ardemment qu'il soit appliqué beaucoup plus raisonnablement que l'énergie nucléaire. Dans ces conditions un voyage interstellaire n'est pas quelque chose que nous puissions faire à notre guise. Il dépend, comme vous avez pu le comprendre, de ce que nous appelons les CONDITIONS "USAAGIXOO" (isodynamiques) de l'espace. Exprimés sous une forme compréhensible pour vous, que les Plis de l'Espace permettent le rapprochement de deux astres de manière telle que le voyage soit possible. [PAZ] -Courage ! Nous y sommes presque d'après eux. |
||
§9- D 57-1
Mais ces ondulations ou plis de l'espace
sont apériodiques, ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut
les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d'erreur. Par
exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l'un de ces intervalles
favorables approche; (la marge d'erreur s'étend de décembre à mars des
deux années 1966-1967). NOTE: [AJH] [PAZ] - Là je comprends que ce n'est pas le UWAAM qui n'est pas accessible dans l'absolu (pour rester cohérent avec d'autres lettres où ils disent y envoyer des nefs). C'est le phénomène source de ces ondulations situé dans l'UWAAM qui n'est pas accessible. Pourquoi ? HYPOTHESE : Parce que rien ne permet de savoir "quand" et "où" il se produit dans ce WAAM vu que les dimensions espace-temps de l'UWAAM et du WAAM sont totalement décorréllées. Si on saute dans l'UWAAM le 10 novembre 2003 à partir de Paris on arrive en un point quelconque de l'espace-temps de l'UWAAM (et qu'on en profite pour y déposer un chronomètre) peut-on dire pour autant que si on resaute dans l'UWAAM le 11 novembre 2003 toujours depuis Paris (en appliquant le même type d'OAWOOLEIDA) on sera au même endroit de l'UWAAM (ou presque) et que l'on retrouvera le chronomètre indiquant approximativement 24 heures de plus (et que dire si que la flèche du temps de l'UWAAM est inverse ? Du coup on n'aurait pas encore fait le premier voyage pour placer le fameux chronomètre...). Rien n'est moins sûr...
|
||
§10 - D 45 Le cosmos est un continuum espace-temps décadimensionnel, courbé en son ensemble et formant une Hypersphère inverse (c'est-à-dire avec deux rayons de même longueur mais inversés). Mais, en plus de cette immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures. Voyons ce qu'elles sont: S45-A L'image A l'indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un "fragment" de l'ESPACE qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne ROUGE (en pointillés) représente l'apparent chemin le plus court, c'est-à-dire celui que suivra un RAYON de lumière, c'est-à-dire un faisceau d'IBOAAAYA OU (PHOTONS) ou bien l'un de vos projectiles téléguidés. L'image B suggère comment peut être courbé ce même espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses "plis" de l'espace varient constamment, comme le vent peut plisser l'un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus à l'influence de l'UWAAN (Notre Cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document). Il existe cependant d'autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l'on peut identifier avec ce que nos sens perçoivent comme MASSES. Les Galaxies, et en elles les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits "creux" ou courbures de l'espace à travers un quatrième axe dimensionnel (axe orange dans l'image B). Observez que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l'ESPACE et ces petites courbures-MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner en second lieu. Comme vous le voyez, la ligne verte continue de l'image B ou C représentera donc l'AUTHENTIQUE DISTANCE LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétradimensionnel. Quand le rayon de cette courbure est grand, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les voyages spatiaux se feront encore dans un temps très long même en se déplaçant à des vitesses proches de celle de la lumière. Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne isochrone verte (ligne continue) sera sensiblement plus courte que la rouge (ligne en pointillés), ligne de la propagation de la LUMIERE.
S45-B2 Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales. LIGNES ISOCHRONES ( vert, bleu et orange) qui représentent la véritable ligne la plus courte (vert), celle de la trajectoire de la LUMIERE (rouge), et d'autres intermédiaires (violet). Les IISUIW (lignes isochrones) se caractérisent ainsi pour que dans cette même ligne deux observateurs 1 et 2 vérifient que le TEMPS est synchrone. Par contre pour 1 et 3 situés dans des IISUIW différents, le TEMP s'écoule d'une manière différente. LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) de couleur orange. Observez que dans l'image D elles sont divergentes et que dans l'image E elles sont PARALLELES. (....). C'est seulement quand les lignes USDOUOO ou isodynamiques ne convergent ni ne divergent, c'est-à-dire qu'elles sont parallèles (image E), que nos scientifiques peuvent prendre conscience que la distance à l'autre astre est minime et qu'ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques). Mais cette courbure de l'espace subit des modifications périodiques engendrées par l'influence de l'UWAAM. Aujourd'hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que l'étoile ALPHA DU CENTAURE et en fait cela s'est produit quelques fois.
S45-C L'image F aidera à comprendre cela. Dans des conditions normales, IMAGE F, la distance apparente Alpha du Centaure à la Terre sera de quelques 4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) sont distants de plus de 14 années-lumière (de la Terre ndt). (ligne rouge) Mais si, comme l'indique l'image G, l'espace se courbe, il peut se produire que les distances réelles (vert et bleu) varient en faveur de l'espace qui nous sépare de UMMO. Si la trajectoire de la LUMIÈRE n'a pas varié, pour les astronomes et pour les éventuels voyageurs de l'une de vos fusées qui voudraient se déplacer jusqu'à UMMO, le temps du voyage leur paraîtrait plus long pour WOLF 424 que pour ce que vous considérez comme l'étoile la plus proche: Alpha du Centaure. |
||
§11
- D 357-2
Vous acceptez - dans votre version de la science - l'existence d'un seul Univers, bien que les auteurs de science-fiction de la Terre soient familiarisés avec la notion "fantastique" d'autres mondes et univers. Pour nous, la vision d'un cosmos multiface ou d'un multi-univers n'est pas qu'une simple spéculation mais, bien au contraire, est prouvée jusqu'à satiété. A tel point que nous réalisons nos voyages intragalactiques au sein du cosmos le plus voisin du nôtre. Permettez-nous de nous étendre sur ce point. Nous appellons WAAM-WAAM le faisceau ou ensemble d'univers existants que nous estimons en nombre infini (bien que nous n'ayons pu le constater, n'ayant détecté qu'une partie d'entre eux). La caractéristique primaire qui les distingue chacun est la vitesse d'un quanton ou unité discrète d'énergie électromagnétique en leur sein. En réalité, il s'agit d'une famille de paires de cosmos, de WAAM. Chaque paire sera formée de "matière prédominante" ou "d'antimatière prédominante", sans que cela implique que dans un waam ne puisse exister en plus d'une masse positive, une masse négative, et dans un des deux membres du couple : une masse "imaginaire" dont la vitesse minimale est la vitesse limite du quanton E-M (électro-magnétique). De cette façon est invariant, dans les deux WAAM cosmiques, tant la tridimensionnalité du système (longueur, largeur, hauteur) que l'existence de quatre types de masse : + m, - m, (+ Ö - 1) m, (- Ö - 1) m. Observons cependant que: tandis que dans les deux se manifestent les dimensions de longueur et de temps et que les deux types de masse réelle peuvent s'isoler dans les deux WAAM, avec une prédominance élevée dans chacun d'eux de signes respectifs de masse, la "M - non - réelle" (Le terme "non" réel doit s'entendre sémantiquement sur Terre dans le langage mathématique, c'est-à-dire NON REEL, il ne faut pas l'interpréter comme NON EXISTANT, mais comme "situé dans un autre cadre"). Il est clair qu'il peut exister autant de couples de cosmos que de vitesses du quanton électromagnétique (cosmos et anticosmos gémellaire). Anticosmos gémellaire (Ndt: UWAAM) ne veut pas dire que sa configuration galactique soit similaire à celle du nôtre. Dans notre anticosmos, il n'existe pas un Anti-UMMO ni une Anti-Terre jumeaux. Dans la pratique, les scientifiques d'Ummo et également en partie nos voyageurs explorateurs (moi-même ai voyagé par un autre WAAM) connaissons une "vingtaine" de WAAM. Les uns par simple détection, les autres parce que nous les avons visité dans nos voyages et deux autres par inférence scientifique. Nous sommes convaincus qu'il en existe beaucoup plus et rien ne s'oppose à ce que leur nombre soit ¥ (infini). Deux de ces plans ou Waam (univers) nous sont inaccessibles physiquement. NOTE: AJH: |
||
§12 - D-59 En particulier, cette grandeur TEMPS revêt pour nous une importance singulière. Dans les prochaines pages dactylographiées que nous vous remettrons, nous vous renseignerons sur cette particularité. Nous vous indiquerons par exemple qu'on peut assimiler le Temps à une série d'IBOZOO UU dont les axes sont orientés orthogonalement par rapport aux OAWOO (RAYONS VECTEURS) qui impliquent des distances, pouvant donner le cas, si l'inversion de ses axes est idoine, qu'un observateur dans son nouveau cadre de référence apprécie comme distance ce qui, dans l'ancien système référentiel, était mesuré comme intervalle de temps. NOTE: § 5 - NR-13 Le renouvellement de nos groupes expéditionnaires posait alors problème à cause des mauvaises conditions isodynamiques de l'espace dont les plissements, engendrés par notre OUWAAM, permettent d'effectuer nos voyages avec des durées de parcours acceptables. NOTE:
|
||
CONCLUSIONS de divers intervenants: [C-A B] Premier point: Lettre D69-5: Le nouveau cadre , la nouvelle perspective du cosmos (VOUS NE DEVEZ PAS INTERPRETER CE CHANGEMENT COMME LE PASSAGE A UN SECOND WAAM mais comme une nouvelle PERCEPTION de celui ci .
La vitesse est donnée identique pour les deux éléments waam-uwaam ; où est l' intérêt de passer dans le jumeau ? Il y en a un : quand on passe dans le conjugué les éléments (protons , PHOTONS , etc) changent de nature ---------désolé , pas retrouvé la lettre----- l' inversion est totale ,,,,mais PAR RAPPORT A QUOI ? ; ce que je veux dire , c' est que je SAIS ce qu' est une symétrie dans un espace tridimensionnel .... seulement !! . En fait , pour le moment , je considère que l' inversion de la nef ne l' envoie ni dans l' uwaam ni dans un autre waam , elle rend compatible la nef avec un autre "point de vue " de NOTRE univers ; cet autre point de vue plus fonctionnel est peut être " de l' autre côté" , dans l' uwaam , pour des raisons techniques ( p.e. une conservation des structures de la nef ). L' utilisation du terme "accessibles" ( et non "utilisés" ou "indispensables" ou "accédés") est à considérer avec attention . Jansen Doe (voir aussi le fichier pdf: wuwt.pdf - 70 ko) En premier lieu, l’univers est un ensemble constitué d’une infinité de paires d’univers. Chaque paire étant constituée d’un univers comportant une majorité de matière et un autre comportant une majorité d’antimatière. Ainsi, notre propre univers possède un « anti-univers ». Chaque paire est caractérisée par une valeur donnée de la vitesse de la lumière. Je pense qu’il n’est pas nécessaire de rappeler les références nombreuses à ce sujet. Tout d’abord je voudrais siter un passage de la D357-2 : « Dans la pratique, les scientifiques d'Ummo et également en partie nos voyageurs explorateurs (moi-même ai voyagé par un autre WAAM) connaissons une "vingtaine" de WAAM. Les uns par simple détection, les autres parce que nous les avons visité dans nos voyages et deux autres par inférence scientifique. Nous sommes convaincus qu'il en existe beaucoup plus et rien ne s'oppose à ce que leur nombre soit infini…Deux de ces plans ou Waam (univers) nous sont inaccessibles physiquement. Ceci veut dire qu'aucune civilisation, aussi avancée soit-elle, ne pourrait les visiter avec ses UUAUUA (nefs d'exploration). » Ceci indique de manière claire que l’existence d’une infinité d’univers est une hypothèse à leurs yeux, dans la mesure où un certains nombre d’entre eux ont étés mis en évidence, et que rien ne s’oppose dans leur vision des choses à ce qu’il y en ait un nombre limité. Toutefois, on constate effectivement qu’ils doivent être en mesure de se transférer dans un certains nombre d’entre eux. Parmi les univers qu’ils connaissent, les transferts doivent être plus ou moins difficiles à effectuer selon l’univers qu’ils veulent atteindre au point que certains de ces univers ne leur sont pas accessibles. Les autres doivent avoir une influence qui doit se traduire par des effets faibles mais mesurables dans notre univers. Deux de ces univers ne sont physiquement pas possibles à atteindre. On pourrait comparer ceci à la possibilité d’atteindre une vitesse donnée. Plus on veut aller vite, plus il faut fournir de l’énergie. Plus une civilisation sera avancée, plus elle sera susceptible d’avoir accès à de grandes quantités d’énergie, plus sera susceptible d’atteindre une vitesse proche de celle de la lumière. Toutefois, aucune civilisation ne peut atteindre rigoureusement la vitesse de la lumière car cela nécessiterait de fournir une quantité d’énergie infinie. Pour travailler sur ce sujet, et disposer d’un modèle physique et mathématique de la question des effets liés à l’existence d’autres univers, je peux soutenir les éléments suivants. Mon propre modèle sous sa forme actuelle, inclus l’existence d’un seul univers en plus du notre. Toutefois il peut se généraliser très facilement à un nombre N quelconque d’univers. Cette généralisation apparaît grosso modo comme une somme problèmes à 2 univers. En fait, les différents univers sont plus ou moins « distants » du notre. Nous pourrions dire qu’ils sont plus ou moins liés ou connectés au notre. Moins ils sont connectés au notre, plus il faut fournir d’énergie (et de puissance) pour s’y rendre. Par ailleurs, l’existence d’autres univers implique l’existence d’effets mesurables dans notre univers, effets qui n’ont pas forcément quelque chose à voir avec le transfert. De ces effets, nous pourrions dire qu’ils sont les effets frontières annoncés. Il ressort de mes analyses que les transferts entre univers quels qu’ils soient (univers ou anti-univers) relèvent du même phénomène, des mêmes bases physiques. Seul le couplage entre les univers change, et ainsi l’énergie à mettre en œuvre pour si rendre. Ce qui doit distinguer une certaine forme d’avancement technologique entre civilisations, c’est leur aptitude à mettre en jeu, entre autres, plus ou moins d’énergie (et de puissance) dans leurs transferts, et ainsi à avoir accès à un nombre plus ou moins grand d’univers. Dans cette idée, il semble que notre espace jumeau (ou anti-univers) soit le plus facile à atteindre, car le plus couplé à nous. A ce sujet, je site le passage de la D357-2 : « …. A tel point que nous réalisons nos voyages intragalactiques au sein du cosmos le plus voisin du nôtre. » et aussi le passage de la D731 : « Notre anti-cosmos nous est bien connu. Il est constitué de masse d'antimatière. Si nos UEWUA (nefs) n'invertissaient pas leurs IBOZSOO UHU dans le sens (-M), elles pourraient se désintégrer par un impact avec n'importe quelle quantité de gaz ou de poussière cosmique en libérant une immense quantité d'énergie. L'interaction entre nos deux cosmos est très grande, de grands plissements s'observant dans les deux Univers dans leur surface tétradimensionnelle dus à cette cause mutuelle. » Il me semble clair à la lecture de ces deux extraits, même pris en compte dans leur contexte, ainsi qu’à la lecture des autres lettres, que notre anti-univers est bien celui qui à le plus fort couplage avec nous. Mais également, et en conséquence, que ce soit ce même univers qui soit utilisé de manière USUELLE par les gens de Ummo pour leurs déplacements interstellaires. Je souligne « USUELLE » car cela ne veut pas dire qu’en certaines circonstances ils n’utilisent pas d’autres univers en solutions de rechange extrême. En tout cas, il me paraît clair que d’autres univers, autres que notre univers jumeau, ont étés visités par eux, au moins à titre exploratoire, et pas forcément comme raccourcit. Enfin, je vous renvoie
à la D731 et à la D357-2 pour l’indication selon laquelle l’existence
d’une masse imaginaire dans un des deux couples univers est nécessaire
pour espérer avoir des effets d’interdépendance. Et j’ajoute que j’ai trouvé récemment que l’on pouvait reformuler mes calculs (à la manière d’un changement de référentiel) de manière à voir apparaître notre univers et son jumeau sous un autre aspect où il apparaît effectivement que dans l’un des univers doit apparaître des masses imaginaires (positives et négatives) directement liées au paramètre de couplage entre univers. En conclusion : Différents univers sont accessibles. Le nombre d’univers accessibles dépend des moyens mis en œuvre. Notre univers jumeau est celui utilisé usuellement pour leurs déplacements interstellaires. Ils en ont déjà visité d’autres que celui-ci, peut être les utilisent ils occasionnellement pour leurs déplacements interstellaires. Vincent
Morin Norman Molhant Ils nous disent aussi que l'univers que nous percevons
3D + temps est une construction de notre cerveau correspondant Ils nous disent enfin qu'une rotation (présumément autour d'un des autres axes non perçus comme dimensions dans ce repère 3D) permet de changer de repère 3D tout en restant dans le même WAAM 10D, c-à-d: permet de changer de feuillet 3D tout en restant dans le même univers 10D. A ce moment, pour un témoin extérieur,
la nef effectuant une telle rotation disparaît (parce qu'elle quitte
le feuillet 3D dans laquelle sont confinés le témoin ainsi que les
photons perçus par le témoin). Ce qui n'empêche pas nos amis d'utiliser
aussi des moyens pour changer de WAAM (les WAAM ont tous 10D sauf
les deux WAAM à la limite) et peut-être (ce n'est pas dit dans les
lettres, que je sache) profiter ainsi de l'effet des différentes valeurs
de c (vitesse de la lumière). - il existe une famille (possiblement infinie) de paires WAAM-UWAAM (chaque WAAM et UWAAM est décadimensionnel) différenciées entre elles par la valeur de la vitesse de la lumière (c); cette famille s'appelle WAAM-WAAM. - l'UWAAM n'est *pas* un feuillet 3D CPT symétrique au nôtre, c'est un WAAM 10D CPT symétrique au nôtre (c-à-d: formé de matière "négative", d'énergie "négative" et de temps "négatif", où les charges sont inversées: c'est de l'antimatière de Feynman, *pas* de l'antimatière de Dirac); cet UWAAM contient aussi des amas de matière imaginaire (c-à-d: tachyonique) qui provoquent des plis tant dans notre WAAM que dans l'UWAAM. - les plis variables de notre WAAM (dûs à la matière imaginaire située dans notre UWAAM) font varier la distance 10D entre nos planètes. - lorsque les conditions isodynamiques sont favorables, cette distance 10D est notablement plus petite que la distance 3D que suit la lumière à l'intérieur de notre feuillet 3D. - les nefs oummaines sortent de notre feuillet 3D pour pouvoir circuler dans notre WAAM le long de la direction de cette distance 10D inférieure à la distance 3D (les nefs circulent alors dans un feuillet 3D différent du nôtre, mais c'est dans le même WAAM 10D). - il peut arriver que cette direction soit telle de la dimension que nous percevons dans notre feuillet 3D comme le temps soit perçue comme une dimension spatiale (longueur, largeur, hauteur) dans le feuillet 3D dans lequel circule une nef oummaine. - cette distance 10 D étant encore trop longue pour un voyage à vitesse subluminique, les nefs oummaines peuvent se transférer dans un autre WAAM où la vitesse de la lumière est telle que ces nefs voyageant à vitesse c/n font le trajet en un temps raisonnable. Comme dit plus haut: hautement spéculatif - caveat emptor |
||
Décembre 2006 : |
Accueil > Activités > Analyses > analyse 17 > analyse 18 > analyse 19
Information
complémentaire: toutes les pages de ce site sont en COPYRIGHT UMMO-SCIENCES
.
La diffusion n'est autorisée qu'avec l'accord du webmestre, et sous
réserve d'en indiquer l'origine