Site UMMO-SCIENCES - SEMANTIQUE 2 - contre argumentation J. Pollion

Contre argumentation de "Compléments sur la sémantique" (2/3)

( semantique-1p )

1.     Introduction.

2.     Une nouvelle méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites.
2.1.      Le principe de la méthode de lecture et de transcription.
a)     Définition.
b)     Le graphe de la méthode.
c)     Une possibilité de développement vectoriel de la méthode.
d)     Une possibilité de développement angulaire de la méthode
.
2.2.      La pratique de la méthode de lecture et de transcription.
2.3.      L’exemple des soncepts « U » et « UU ».
2.4.      Exemple de transcription pour BUUAWAA..
2.4.1.       L’algorithme de la méthode.
2.4.2.       le tableau de transcription.
2.4.3.       Le graphe de BUUAWAA..

2.5.      La portée de la méthode.

(semantique-2p )

3.     Un complément important sur le soncept « I ».
3.1.      Principe du complément sur le soncept « I ».
3.2.      L’application de la transcription des soncepts « I » et « II ».
3.3.      Exemple de transcription du vocable OEMMII
3.4.      Exemple de transcription pour l’effet LEEIIYO.

4.     Divers exemples de transcription avec le soncept « I ».
4.1.      La transcription de IBOZOO UU.
4.2.      La transcription de IBOZOO UU avec le dictionnaire idéophonémique.
4.3.      La transcription de UUWUUA IES.
4.4.      La transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »
4.5.      Conclusion sur la transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »

( semantique-3p )

5.     Conclusion sur les éléments complémentaires pour la compréhension de la sémantique UMMITE  
Mémento des soncepts révisés
.
1.     Introduction.
2.     Tableau des soncepts révisés.

 

Concernant l’origine de ce complément sur le soncept « I », j’ai été conduit à m’interroger fortement sur le sens précis du soncept « I » pour 2 raisons. En effet, en travaillant sur des hypothèses sur l’émergence de BB et du Vivant, j’ai voulu vérifier d’une manière très précise si je retrouvais à travers les vocables UMMITE, les éléments fondamentaux de mes hypothèses.

Pour ce faire, je suis revenu sur la description des IBOZOO UU donnée par Jean Pollion (p 299 – 309), sur sa description du soncept « I » (p 364-365) et sur la définition Ummite de la lettre D59. J’ai alors été frappé par le décalage entre la propriété fonctionnelle fondamentale de l’IBOZOO UU qui est l’unicité de tout IBOZOO UU, et le concept de « différence-altérité » donné par Jean Pollion.

Le concept de « différence-altérité » m’est apparu plus proche du soncept « W » d’information que de la propriété fondamentale d’unicité des IBOZOO UU. Il fallait donc nécessairement que la « différence-altérité » marque aussi cette unicité d’une manière précise pour fonctionner.

Nous sommes ici dans un problème d'expression et de compréhension. Mon écrit est le reflet de ma compréhension à l'époque 2000-2001, et ma compréhension s'est affinée. Mon expression aussi, je l'espère.

Dans mon point de vue (résultant de toutes mes lectures), l'unicité, le caractère "sans identique" de l'IBOZOO UU est une réalité qui n'est pas exprimée par le vocable qui nous a été donné.

Il est clair que si on veut le lui faire dire, il faut changer le sens d'un ou plusieurs soncepts et remouliner ces changements dans tous les autres soncepts pour tester l'adéquation. C'est ce genre de remise en cause, à plusieurs reprises, qui a conduit à un travail de 5.000 heures !   

J’ai donc testé le concept d’unicité (NB : unicité, mais dépendance par paire d’IBOZOO) dans le cas où il s’agit d’une limite « II ». J’ai malheureusement constaté que le concept d’unicité n’était pas suffisant non plus.

Finalement, ceci m’a conduit à penser qu’il fallait compléter la définition du concept général associé au soncept « I » pour qu’il inclue l’ensemble des idées de différence et d’unicité.

Le concept général qui inclue toutes ces idées est le concept d’identification et sa forme appliquée dans la terminologie française de : Système identifiant

Je ne partage pas cette distinction fonctionnelle.

En effet, le concept d'altérité exprimé par le phonème I, dans la logique ummite, mais dans la logique tout court, implique l'unicité et ça se démontre par l'absurde. Si deux objets sont strictement identiques, comment pouvez-vous déclarer l'un différent de l'autre ? Lorsque vous avez deux objets apparemment identiques devant vous, vous oubliez que pour les différencier vous leur assignez une position différente, seul critère différenciateur en cas d'identité réelle.

L'altérité implique l'unicité qui n'a pas besoin d'être formulée. 

Quant au concept d'identification, il ne saurait se rattacher à une pensée fonctionnelle. L'identification est un concept de pensée "objet". Dans une logique fonctionnelle, on ne peut "identifier" (en fait décrire une classe) que par définition d'un ensemble de propriétés, fonctions rattachées, ensemble suffisamment descriptif pour ne pas avoir d'équivalent, assurant l'unicité de l'identification (obsession aristotélicienne) à un objet, déclaré à identifier. C'est le cas rarissime de la réduction de la classe à un seul objet.

La pensée ummite, fonctionnelle, décrit et explique des comportements par des fonctions sans désigner des objets.

Le concept d'identification est en contradiction avec la pensée fonctionnelle.

 

Schéma de positionnement des concepts :

 Je rappelle et précise ma lecture :

-        le soncept I  exprime l'idée d'altérité, convertible dans tous nos mots qui incluent cette idée. La différence exprimée ici est celle de l' "autre", avec comme base logique que chaque être, chose ne peut être déclarée autre qu'elle même. Principe d'identité (et non d'identification) reconnu par les ummites.

-  Le soncept W  exprime l'idée de variation, c'est à dire de différence (d'état) pour une même réalité : vous étiez heureux, vous êtes maintenant grognon : vous avez varié, changé d'état. Logiquement, c'est toujours vous et il n'y a pas d'altérité. J'ai largement expliqué ce soncept dans mon livre en y ajoutant la notion de nouveauté ou d'information, du fait du caractère informatif de toute variation. Cela a une résonance forte et primordiale sur la théorie des Ibozoo uu, en particulier sur les relations différentielles (au sens mathématique).

Autrement dit, le concept véhiculé par I est le résultat d'une comparaison entre deux réalités dimensionnelles, alors que le concept véhiculé par W est le résultat d'une comparaison entre deux états d'une même réalité dimensionnelle.

Une différence qui n’est pas "identifiante" de manière unique, est dans ce cas une différence qui est de nature simplement « informationnelle », c’est à dire relative au soncept « W ».

3.2.     L’application de la transcription des soncepts « I » et « II »

< début modification 1 - le 2/09/03 >

Voici donc le tableau de définition et de transcription suivant ma méthode pour le soncept « I » et pour le délicat « II »...

Phonème

Concept fonctionnel général

Quelques applications du concept suivant la terminologie française

I

concept d’identification

(l’unicité de l’identification est implicite, sinon il n’y pas d’identification !)

a)       Système identifiant ou système d’identification, identification,  Structure identifiante (NB : il est préférable d’utiliser le terme système pour éviter une confusion avec le soncept « G » « structure, organisation, agencement »)

b)       Identifiant (unique) (codé, structurel, chimique, etc.)

c)       Différence strictement identifiante de manière unique ou spécifique (sinon, il s’agira du phonème « W »)

d)       Unicité, quand c’est une identification de manière unique

II

concept d’identification

« a » concept d’identification

concept d’identification stable, permanente, continuité

a)       Système identifiant stable, permanent

b)       système identifiant commun à 2 référentiels

Pourquoi cette différence sémantique brutale ? D'où vient l'idée de deux et le mot de référentiel ? N'est-ce pas pour parvenir doucement à la traduction du c) assez proche de la mienne ? 

c)       identification commune entre 2 référentiels

d)       Limite, frontière, membrane, etc. Le même  identifiant identifie une chose d’un « côté » et autre chose de l’autre « côté ». Il y a une identification commune de chaque coté de la limite, une permanence de l’identification. "Le même  identifiant identifie une chose d’un « côté » et autre chose de l’autre « côté »" exprime clairement qu'il n'y a pas de différence entre les deux choses : elles ont le même identifiant !  Pourquoi les deux référentiels que vous évoquez sont-ils de part et d'autre ? C'est une idée ajoutée qui détruit la continuité OBLIGATOIRE de toutes les formulations faites dans cette colonne pour un même soncept. Si vous n'avez pas cette rigueur, vous pouvez faire dire à votre système tout ce que vous voulez…. Sera-ce ce que les ummites voulaient exprimer ?

La limite peut être une « différence » "identifiante" entre ce qui est à l’intérieur et ce qui est à l’extérieur. Au sens systémique de Ludwig Von Bertalanffy (2), un système fermé ou semi-ouvert est identifié par sa limite. Les systèmes permettent les échanges de flux (avec les soncepts "L" et "N").

Dans un « effet frontière » LEEIIYO, de chaque coté de « II » les flux sont de nature distincte. L’ « identification » est commune aux deux côtés. La continuité des flux est assurée par « l’identifiant » commun, qui est en quelque sorte le pivot d’un isomorphisme.

Avec le soncept « II » défini comme concept d’identification stable, on vérifie bien l’application à une limite, une frontière, une membrane.

 

Dans la cosmologie Ummite le LEEIIYO est : « Une pression critique de valeur supérieure à quinze millions d'atmosphères en synchronisme avec un champ magnétique intense OXAAIUYU provoque un LEEIIYO (changement d'axes des I.U.), ce qui explique la OAUOOLE IBOZOO (Inversion corpusculaire qui permet à nos nefs de voyager par l'intermédiaire d'un autre WAAM (Cosmos))."

< fin modification 1 - le 2/09/03 >

3.3.      Exemple de transcription du vocable OEMMII

Cette orthographe est la plus homogène. Selon quels critères ? Que veut dire homogène pour vous dans le contexte présent ? Suivant la méthode nous avons la construction fonctionnelle et conceptuelle : ((« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale ») « a »  « jointure permanente ») « a » « système identifiant commun à 2 référentiels »

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale »

a)       entité dimensionnelle qui a des représentations mentales

b)       entité pensante

OE “a” MM

«entité pensante »  « a »  « jointure permanente »

entité pensante qui a une jointure permanente avec…

OEMM “a” II

«entité pensante qui a une jointure permanente avec… »  « a » « système identifiant commun à 2 référentiels »

a)       entité pensante qui a une jointure permanente avec un système identifiant commun à 2 référentiels

b)       entité pensante qui a une jointure permanente avec une limite entre 2 milieux

c)       entité pensante qui a une limite corporelle

d)       entité pensante qui a une enveloppe corporelle

e)       entité pensante qui a un corps
Le corps est donc l'équivalent sémantique d'un
 "système identifiant commun à 2 référentiels". Il doit y avoir continuité des reformulations, en termes de contenu sémantique.

Avec « entité pensante qui a un corps » la transcription est peut-être encore perfectible, mais elle a un côté humain qui nous est familier !

Peut-être, mais elle est obtenue par des torsions consécutives des principes logiques de toute sémantique.

Par ailleurs, la transcription d'une pensée "exoplanétaire" doit- elle être familière pour être juste ?

A rapprocher de ma lecture :

Le doublement répété de MMII invite à la lecture de "MI multiple ou nombreux"(voir mon livre sur les pluriels).

O = entité,

E = (avec) l'image mentale

M = relation

I = (aux) différents, autres

Ce qui donne OEMMII = Entité avec l'image mentale de ses nombreuses relations aux autres.

Il n'est pas question ici de "corps", idée fondamentalement objet. Cette lecture justifie pleinement la différence d'orthographe avec OEMII que l'on trouve aussi très souvent.

Le système de lecture qui nous est présenté ici doit faire intervenir le "corps" aussi dans OEMII….

Essayons de lire le mot UMMO par la méthode proposée ici :

- U            dépendance

- MM       dépendance qui a une jointure permanente

- O            avec les créatures.

La planète UMMO est donc une planète "de la dépendance qui a une jointure permanente avec les créatures" ….  Ca veut dire quoi ?

Pas convainquante ici, cette méthode. 

3.4.      Exemple de transcription pour l’effet LEEIIYO

 

Relations entres les soncepts

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

L « a » EE

« Correspondance, équivalence » « a » image mentale permanente, modèle mental

Correspondance, équivalence a un modèle mental

a)       Correspondance de modèle

b)      isomorphisme

LEE « a » II

« isomorphisme» « a » identification commune (entre 2 référentiels)…

a)       L’isomorphisme a une identification commune (entre 2 référentiels)…

LEEII « a » Y

« L’isomorphisme a une identification commune (entre 2 référentiels)…»  « a » assemblage

L’isomorphisme a une identification commune entre 2 ensembles de…

LEEIIY « a » O

« L’isomorphisme a une identification commune entre 2 ensembles de…» « a » entité dimensionnelle

a)       L’isomorphisme a une identification commune entre 2 ensembles d’entités dimensionnelles

b)       Identification isomorphique entre 2 ensembles d’entités dimensionnelles

c)       Identification isomorphique entre 2 milieux

Suivant la transcription l’effet LEEIIYO est donc :  « l’effet de l’identification isomorphique entre 2 milieux ».

Je ne reprends pas le détail de mon argumentation et des approximations, voire des défauts logiques ou de rigueur de la progression de la transcription.

Je ne propose que ma lecture :

La répétition du redoublement dans EEII invite à la lecture "EI multiple ou nombreux" (voir mon livre sur les pluriels)

On lit donc:

L = équivalence, correspondance

E = (aux) images mentales, perceptions

I = différence, altérité  

Répétition = multiples, nombreuses

Y= (de l') ensemble , groupe

O= entités, réalités dimensionnelles

Ce qui donne : "[effet] correspondant à de multiples perceptions différentes de l'ensemble des réalités dimensionnelles" (il s'agit des entités, réalités dimensionnelles incluses dans la IITOA voir le document sur les nefs . D69 )

C’est typiquement ce qu’il se passe lorsque l’on change d’axes : « un LEEIIYO (changement d'axes des I.U.), ce qui explique la OAUOOLE IBOZOO (Inversion corpusculaire qui permet à nos nefs de voyager par l'intermédiaire d'un autre WAAM ».

On pourra comparer la richesse informative (descriptive) de la lecture selon mon système :

Toutes les entités (incluses dans la IITOA) subissent une inversion corpusculaire par un effet "correspondant à de multiples perceptions différentes de l'ensemble des réalités dimensionnelles". Il n'est plus le moins du monde question d'isomorphisme, ni de transfert. En revanche on comprend mieux, avec cette lecture, qu'une dimension d'espace puisse être perçue comme du temps, etc…, ce qui est clairement exprimé dans une lettre.

Comment justifier ainsi l'isomorphisme qui est justement le contraire ?

Toutes les entités corpusculaires du WAAM sont transférées de manière isomorphique dans le UWAAM.

En conclusion, il faut donc compléter le concept général de « I » au sens d’un concept d’identification et sa forme appliquée dans la terminologie française de : Système identifiant ou système d’identification

On a vu que je suis en opposition avec cette exigence, en justifiant ma position.

Un soncept ne peut, dans une vision fonctionnelle, exprimer à lui seul l'idée de système qui est une idée de base en elle-même (soncept G), et l'idée d'identification qui est incompatible avec la pensée fonctionnelle. Double incohérence, donc. 

Ceci impacte de très nombreux vocables dont la compréhension peut-être plus ou moins fortement changée.

Ces changements dans la compréhension fine des vocables risquent d’être particulièrement importants pour ce qui concerne les vocables fondamentaux des textes Ummites. Ce constat est incontestable. Le vrai problème est : cette nouvelle méthode conduit-elle à une compréhension plus vraie du langage ummite, ou est-elle une méthode, soit-disant simple, pour obtenir d'autres significations, plus commodes pour asseoir un modèle métaphysique ? 

4.       Divers exemples de transcription avec le soncept « I »

Voici donc à la suite, quelques exemples de transcriptions qui permettront d’éclairer sous un jour nouveau la compréhension de ce que nous disent les Ummites, et dans les documents suivants où je formule diverses hypothèses.

4.1.     La transcription de IBOZOO UU

Comme il est dit dans la lettre D59-2 : « IL N'EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS LE MÊME IBOZOO UU un système référentiel. Un tel SYSTÈME RÉFÉRENTIEL DOIT ÊTRE APPORTÉ PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. » et  « C'est précisément cet IOAWOO Thêta (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l'IBOZOO UU tout son sens transcendant ».

Un IBOZOO est donc identifié par son ANGLE-DIMENSION. NON ! Un IBOZOO UU est défini par l'angle thêta (dans l'exemple) qui le différencie DE L'AUTRE IBOZOO UU pris comme référence ou comme "système référentiel". Cet IOAWOO est l'angle de différence de la dimension considérée [toujours implicitement rapporté au temps].

Suivant l’utilisation de la méthode que j’ai décris précédemment nous avons IBOZOO UU :

[ ((((Identification « a » Contribution) « a » « entité dimensionnelle ») « a » « forme ») « a » « cyclicité ») « a » entité dimensionnelle permanente ] « a » [« dépendance permanente » ]

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

I « a » B

Identification « a » Contribution

a)       Le Système identifiant  (l’ANGLE-DIMENSION) a une contribution (facteur, apport externe)

b)       L’ANGLE-DIMENSION  a un apport externe

Il y a ici littéralement "escroquerie" par substitution d'une transcription fonctionnelle "système identifiant" (même si je la trouve incongrue) par une valeur arbitraire "d'angle-dimension", concept objet ainsi dénommé pour des raisons pédagogiques. Pourquoi pas le NOM qui est aussi un système identifiant ?  Une seule citation n'autorise évidemment pas cette gymnastique trop facile 

IB « a » O

« L’ANGLE-DIMENSION  a un apport externe » « a » une entité dimensionnelle

a)       L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle

IBO  « a » D (car Z=DS)

« L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle » « a » une forme de …

L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle. Elle se manifeste sous la forme de …

IBOD « a » S

« L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle. Elle se manifeste sous la forme de… » « a » une cyclicité

L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle. Elle se manifeste sous une forme cyclique

IBODS « a » OO

« L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle. Elle se manifeste sous une forme cyclique » « a » une entité dimensionnelle permanente

a)       L’ANGLE-DIMENSION  qui a un apport externe, a une entité dimensionnelle. Elle se manifeste sous une forme cyclique. Le tout rend permanente l’entité dimensionnelle.

b)       L’ANGLE-DIMENSION  a un apport externe dimensionnel que la cyclicité rend permanent.

     

IBOZOO « a » UU

L’IBOZOO « a » une dépendance permanente

L ’IBOZOO a une dépendance permanente (avec un autre IBOZOO, car il n’existe pas seul).

En résumé, on a donc pour IBOZOO  une possibilité de traduction méthodique simple d’utilisation, stable dans la transcription. Cette transcription issue de la méthode est cohérente par rapport à la description des textes Ummites, de la D59 en particulier et des pages  (p 299 – 309) de l’ouvrage de Jean Pollion, et le vocable décrit parfaitement le processus fonctionnel  :

-          Le Système identifiant  (l’ANGLE-DIMENSION) a un apport externe dimensionnel que la cyclicité rend permanent.

Le vocable ainsi transcrit décrit le processus fonctionnel de l’IBOZOO et si l’on respecte bien rigoureusement la transcription relationnelle pas à pas, avec précautions, il reste possible de faire quelques légères variantes pour des besoins de formulations plus littéraires  :

-          L’ANGLE-DIMENSION  a un apport externe dimensionnel dont la permanence émerge par un phénomène de nature cyclique.

-          L’ANGLE-DIMENSION) a un apport externe d’entité dimensionnelle qu’une onde stationnaire rend permanent

-          L’ANGLE-DIMENSION permet l’émergence de la matière, des forces, etc.

Pour mémoire, ici la cyclicité est une onde gravitationnelle stationnaire entre les axes de même orientation de 2 IBOZOO fait émerger une entité permanente : matière, forces, etc.). Le « half-shadow-point », « le demi-point-ombre » déca dimensionnel, (si l’on peut dire !) l’IBOZOO a une dépendance permanente (avec un autre IBOZOO, car il n’existe pas seul).

Ne nous laissons pas impressionner par cette littérature sans équivalent mathématiquement modélisable.

Ma lecture actuelle est la suivante :

I = altérité, différence,

B= contribution,

O= réalité dimensionnelle

Ce qui donne IBO = "réalité dimensionnelle à contribution différente", c'est la définition d'une portion ponctuelle d'espace qui est "séparable" de sa voisine par sa "différence de contribution" à l'ourdissage de l'Univers, conformément à la définition ummite du point ou du nœud de réseau que l'on trouve dans d'autres contextes,

Z = DS , c'est-à-dire

D= manifestation, forme,

S = cyclicité, circularité

O = réalité dimensionnelle

Doublement = permanent, stable

Soit "(avec) forme circulaire des réalités dimensionnelles permanentes". Dans un modèle, les seules réalités dimensionnelles permanentes ( dont l'existence est stable) sont les dimensions elles-mêmes.

UU = dépendance stable, permanente

Dans ma lecture, l' IBOZOO UU est ainsi :

"une réalité dimensionnelle à contribution différente avec forme circulaire des réalités dimensionnelles permanentes et en permanence dépendant".

Cela exprime tout simplement que le système global est angulaire (par le S de Z=DS), que l'IBOZOO UU est assimilable à un point, et qu'il est en permanence sous dépendance. (ne peut être considéré seul)

4.2.     La transcription de IBOZOO UU avec le dictionnaire idéophonémique

Le segment IBO exprime "différence, autre, distinct, séparé, varié (I) contribution (B) entité, créature, être, existence, réalité dimensionnelle (O)", c'est-à-dire "entité à contribution séparée" ou encore "réalité dimensionnelle à participation distincte". Il s'agit de la définition du "point" dans la perspective Ummite, la plus petite partie d'espace, caractérisée par une contribution (B) distincte (I). Le segment ZOO, qui doit être lu DSOO (Z=DS, voir phonétique) exprime "manifestation, forme (D) rond, cercle, tour, cycle, répétition (S) entité, existence, être, créature, constituant, composant (O) en symétrie, en équilibre, à égalité, en équité, en réciprocité (O)", c'est-à-dire "un équilibre de constituants de forme circulaire".

Le vocable complet désigne "une réalité dimensionnelle à participation distincte [point] avec une forme circulaire d'égalité des entités".

Explications complètes données par Jean Pollion dans le dictionnaire idéophonémique :

IBOZOO           Il s'agit là d'un des vocables les plus couramment cités (presque à l'égal de OEMII et WOA), surtout dans l'expression IBOZOO UU. Cité par Moya, en ref 133 "Point ou nœud d'un réseau", en ref 135 dans l'expression IBOZOO  DAO "Nœud", en ref 137 dans l'expression IBOZOO WOO "Positions instantanées qu'occupent les électrons à chaque niveau subatomique", et en ref 136 dans l'expression IBOZOO UU "Modèle d'entité physique élémentaire". La très grande majorité provient du texte D59, qui tente de présenter le concept que ce vocable recouvre en matière de "physique fondamentale" de l'espace-temps universel et les implications générales qui lui sont rattachées. Le segment IBO exprime "différence, autre, distinct, séparé, varié (I) contribution (B) entité, créature, être, existence, réalité dimensionnelle (O)", c'est-à-dire "entité à contribution séparée" ou encore "réalité dimensionnelle à participation distincte". Il s'agit de la définition du "point" dans la perspective Ummite, la plus petite partie d'espace, caractérisée par une contribution (B) distincte (I). Le segment ZOO, qui doit être lu DSOO (Z=DS, voir phonétique) exprime "manifestation, forme (D) rond, cercle, tour, cycle, répétition (S) entité, existence, être, créature, constituant, composant (O) en symétrie, en équilibre, à égalité, en équité, en réciprocité (O)", c'est-à-dire "un équilibre de constituants de forme circulaire". L'IBOZOO UU étant l'expression subatomique de plus bas niveau, les constituants sont les "axes dimensionnels" eux-mêmes. Le vocable complet désigne "une réalité dimensionnelle à participation distincte [point] avec une forme circulaire d'égalité des entités". Ces constituants de la "trame" ultime constitutive de l'Univers "communiquent", se manifestent les uns aux autres, dans des relations "par paires". L'IBOZOO ne crée pas d'énergie, ni ne la stocke: il la transmet. Toutes les variations dimensionnelles sont ainsi "répercutées" soit sous forme stationnaire, soit sous forme "ouverte", en tout cas "à l'identique", sous forme "constante" ou "comparable". C'est ce qu'exprime le segment OO. C'est la partie dynamique de la dénomination. Il faut deux IB pour toute manifestation dans l'Univers. Chaque paire (IB conjugués) peut matérialiser une particule. La prise en compte "par paire" les désigne comme UU interdépendants, conjugués, corrélés, etc.. L'adjectif utilisé par les Ummites "adjacent" est extraordinairement évocateur et nécessiterait un développement à lui seul.

Cette première transcription était novatrice, mais elle nécessitait impérativement des explications poussées faites par Jean Pollion pour retrouver globalement la description des pages 299 à 309 de son ouvrage.

Par ailleurs, ni dans la transcription, ni dans l’explication de Jean Pollion la nature fondamentalement « identifiante » de l’ANGLE-DIMENSION d’un IBOZOO UU n’apparaissait explicitement.

C'est normal et je le revendique encore aujourd'hui : rien dans le vocable IBOZOO UU n'évoque un quelconque concept d' "angle-dimension". Il n'a rien d'identifiant : si je vous donne un angle de pi/8 entre les deux valeurs du temps de deux IBOZOO UU connexes (angle-dimension temps selon la lecture proposée ici), ça vous permet d'identifier quoi ? Sûrement pas de dire desquels il s'agit, ce qui serait, là, une véritable identification. 

Ce que l'on peut trouver, en revanche, c'est l'expression d'évaluation d'une différence dimensionnelle selon un angle "IOAWOO", qui permet d'ailleurs de bien définir le concept porté par I (rien n'est directement mesurable, puisque les axes ne se coupent pas, et la différence dépasse largement le simple "écart" !) en le comparant à ce que nous appelons couramment un angle.

Le concept d'angle entre axes dimensionnels, appelé "angle-dimension" dans la lecture qui est présentée ici, est une idée à visée pédagogique dans les textes ummites, sans incidence sur la consistance du modèle.

 

4.3.     La transcription de UUWUUA IES

Grosso modo, il s’agit des mathématiques Ummites. On doit retrouver dans la transcription des vocables quelque chose de cet ordre. Suivant la méthode nous avons la construction fonctionnelle et conceptuelle : [((( « dépendance, stable, permanent » « a » « information ») « a » ( « dépendance, stable, permanent ») « a » « effectivité »)] « a » [(« concept d’identification » « a » « représentaion mentale ») « a » « cyclicité »]

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

UU « a » W

« dépendance, stable, permanent » « a » « information »

Une dépendance permanente a une nature informative

a)       Une dépendance permanente informative

b)       Information de type « algorithme », « calculable », « loi » (dépendance permanente)

c)       Information calculable
La progression de la mise en forme est spectaculaire, non au sens de la simplicité, mais pour passer de "dépendance permanente a information à "information calculable". Avec cette méthode on fait dire ce que l'on veut à ce que l'on trouve… Non seulement c'est indéfendable logiquement, mais en plus ce n'est pas plus simple que mon système d'expression, car il faut trois étapes, quand bien même elles seraient justifiées, ce qui est contestable. 

UUW « a » UU

« Information calculable» « a » « dépendance, stable, permanent » 

L’information calculable a une dépendance permanente 

UUWUU « a » A

« L’information calculable a une dépendance permanente » « a » « effectivité »

a)       L’information calculable qui a une dépendance permanente  a une effectivité

b)       L’information calculable qui a une dépendance permanente est vérifiable

Une transcription de UUWUUA est :

-          L’information calculable qui a une dépendance permanente est vérifiable
Et qu'est-ce que ça veut dire ? Ca ressemble à une évidence de Lapalice, quoique…. ?

La françisation :

-          Information calculable et vérifiable
On a perdu l'expression de la dépendance permanente et de la condition de "vérifiabilité" qui lui était attachée dans la définition "non francisée". Cette méthode de lecture est la garantie de la perte d'information…et de la possibilité de faire dire tout ce que l'on veut à n'importe quoi. Enthousiasmant ?

Pour IES :

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

I « a » E

« concept d’identification » « a » « représentaion mentale »

a)       concept d’identification qui a une représentaion mentatale

b)       identification

IE « a » S

« Identification » « a » « cyclicité »

c)       identification à une cyclicité
On a perdu ici complètement l'idée de représentation mentale. Pourquoi celle-ci plutôt que celle de l'identification qui a d'ailleurs perdu elle-même sa qualité de système, encombrante ici ?

d)       identification par récurrence
Il y aurait aussi beaucoup à dire sur la différence conceptuelle entre cyclicité et récurrence….

Une transcription de IES est :

-          identification par récurrence
Vous avez raison : UNE transcription…est . Mais le problème posé : est-ce LA transcription de la pensée des auteurs ? Car c'est bien cela que nous recherchons, non ?

Le tableau de transcription complet est donc :

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

UUWUUA « a » IES

Information calculable et vérifiable» « a » « identification par récurrence»

a)       Information calculable et vérifiable qui a une identification par récurrence

b)       Information calculable et vérifiable qui une valeur identifiante par récurrence

c)       Information calculable et vérifiable, instanciable par récurrence
 Ah ! bon. Voilà que "a"  peut se transcrire par "instanciable" maintenant !

Une transcription de UUWUUA  IES est :

-          Information calculable et vérifiable, instanciable par récurrence
Pourriez-vous nous donner une définition de ce que vous mettez dans le mot "instanciable" qui n'existe pas dans mon dictionnaire ?

Rappel : l’univers est constitué d’IBOZOO. Il est discontinu, discret,  donc les fonctions dites transcendantales (comme les mathématiques) sont applicables par récurrence sur l’ensemble des IBOZOO.

 

Restons aux choses simples et compréhensibles.

L'expression UUWUUA IES est utilisée dans le D59 pour désigner la logique mathématique de la tétravalence:

"Dans notre WUUA WAAM ce postulat doit être rejeté. On a alors recours à un type de Logique Multivalente que nos spécialistes appellent UUWUUA IES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) selon laquelle toute proposition adoptera indistinctement quatre valeurs :…"

Je lis aujourd'hui que la répétition du segment UU invite à la lecture d'attribut multiple (voir mon livre) selon UU-(W & A), c'est-à-dire :

UU = dépendance permanente,

W= variations,

A = effectivité,

Soit "la dépendance permanente des variations effectives"

I= différence, altérité,

E= image mentale, perception, idées

S= cycle, rotation, alternance, et nous avons des contextes pour lesquels IES désigne la valeur numérique quatre.

IES désigne "l'alternance des idées différentes" et elles sont quatre, celles qui suivent dans le texte.

L'expression UUWUUA IES désigne maintenant pour moi "[La logique de] dépendance permanente des variations effectives selon l'alternance des différentes idées"..

Cette transcription rend d'abord compte du contexte tétravalent par la liste d'idées annoncées et est cohérente avec l'autre vocable WUUA pour les mathématiques. 

4.4.     La transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »

< début modification 1 - le 2/09/03 >

Comme je l’ai déjà fortement souligné, on doit retrouver dans la transcription des vocables, l’idée fonctionnelle exprimée par les descriptions Ummites.

Voici une phrase contenant « II » dans « IIAS IBOZOO II AIOOYEDOO » à la suite dans la lettre D59 sur les IBOZOO UU :

« Mais vous pouvez observer que ce système de référence a été choisi arbitrairement au sein de l'Espace euclidien que vous avez imaginé. IL EST TRÈS IMPORTANT QUE VOUS VOUS RENDIEZ COMPTE DE CETTE DIFFÉRENCE par rapport à

L'IBOZOO UU. IL N'EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS LE MÊME IBOZOO UU un système référentiel. Un tel SYSTÈME RÉFÉRENTIEL DOIT ÊTRE APPORTÉ PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. Ainsi (dans la figure 11, à droite), si nous supposons deux IBOZOO UU (P) et (H), ce serait un non-sens de se référer aux cosinus directeurs cos(Alpha) - cos(Bêta) - cos(Gamma) que l'OAWOO UU formerait avec un trièdre idéal, dont l'origine serait le "CENTRE" de L'HYPERSPHÈRE . Ainsi nous pouvons seulement nous référer à l'ANGLE Thêta IOAWOO que U r (U fléché) de H forme avec l'OAWOO (RAYON VECTEUR) U a de P.

C'est précisément cet IOAWOO Thêta (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l'IBOZOO UU tout son sens transcendant. Il faudra dès maintenant que vous fassiez un effort mental pour réaliser une translation psychologique de telle manière que

chaque fois qu'en physique nous parlons de GRANDEUR, l'image d'un SCALAIRE n'effleure pas votre conscience au lieu de l'IOAWOO (ANGLE que les rayons vecteurs hypothétiques de DEUX IBOZOO UU forment entre eux).

C'est un non-sens d'ISOLER, dans un effort d'abstraction mentale, un IBOZOO UU pour l'étudier. Nous POUVIONS L'EXPRIMER EN ESPAGNOL, en traduisant le POSTULAT connu de nos physiciens :

IIAS IBOZOO II AIOOYEDOO (IL N'EXISTE EN ABSOLU AUCUN IBOZOO UU ISOLÉ) »

Désolé, mais ma citation du texte n'est pas celle-ci. La véritable phrase de l'original, que j'ai citée, est "IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO", que vous avez d'ailleurs convenablement citée "en titre". D'où pouvez-vous avoir extrait cette citation ?

C’est un postula fondamental de la physique Ummite. Il a été transcrit par les Ummites, puis traduit en français par : « IL N'EXISTE  ABSOLUMENT  PAS  UN  SEUL IBOZOO UU ISOLE » ou « IL N'EXISTE PAS DANS L’ ABSOLU  UN  SEUL IBOZOO UU ISOLE ». Il paraîtrait plus logique de dire simplement qu’ « IL N'EXISTE PAS D’IBOZOO SEUL». Dans tous les cas l’on doit retrouver cette idée dans la transcription.

C'est vrai, à ceci près que les Ummites n'ont pas transcrit mais dicté la petite phrase dans leur langue, et qu'ils ont dicté le contexte directement en espagnol.  

Dans le dictionnaire idéphonémique Jean Pollion transcrit directement le « II » par « isolé » :

EA: "(IL N'EXISTE  ABSOLUMENT  PAS  UN  SEUL IBOZOO UU ISOLE)". D59.17

ST: isolé effectif d'une série [tout seul] (IIAS)

une réalité dimensionnelle à participation distincte [point] avec une forme circulaire, angulaire d'égalité des entités (IBOZOO)

à dépendance égale ou réciproque, ou continue ou stable (UU)

un sous-ensemble, image mentale d'une forme stable, des divers équilibres dimensionnels (AIOOYEDOO)

Je ne renie pas cette citation, mais elle est globale (extraite du dictionnaire des expressions qui renvoie pour chaque terme à celui des vocables) et il eut mieux valu se référer à la transcription détaillée de chaque vocable qu'offre ce dernier. 

Voyons ce que donne la méthode pour IIAS qui est un segment court, mais apparemment difficile à transcrire en détail :

Suivant la méthode nous avons la construction fonctionnelle et conceptuelle : {[((« concept d’identification stable» « a » effectivité») « a »  cyclicité») ] « a » [IBOZOO UU] } « a » [AIOOYEEDOO]

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

I « a » I

concept d’identification stable

a)       système identifiant stable, permanent  (entre 2 milieux ou référentiels)

b)       système identifiant commun à 2 choses distinctes

II « a » A

« système identifiant commun à 2 choses distinctes » « a » effectivité

Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable

IIA « a » S

« Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable » « a » une cyclicité

a)       Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable de manière cyclique

b)       Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable de manière répétée

c)       Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable par récurrence

Une transcription de IIAS est :

-          Le système identifiant commun à 2 choses distinctes est vérifiable par récurrence

Dans le cas appliqué à l’IBOZOO, c’est l’identifiant « ANGLE-DIMENSION » qui est commun.

 

On a vu plus haut que la notion "d'angle-identifiant" n'a absolument rien d'identifiant, concept "objet" qui n'existe pas dans la pensée fonctionnelle.  Cette expression n'est d'ailleurs pas utilisée comme telle par les Ummites. Au contraire, ils expriment (extrait de la citation ci-dessus) :

"…l'IOAWOO (ANGLE que les rayons vecteurs hypothétiques de DEUX IBOZOO UU forment entre eux)."

Cet angle n'a rien d'identifiant, comme c'était prévisible..

En réalité, on semble être ici, à l'occasion de l'IBOZOO UU dans une interprétation du texte ( il faudrait faire un sondage de l'exégèse du texte) qui conduit à l'intégration d'idées erronées dans les soncepts.

Nous sommes là, face à une nouvelle formulation issue de la modification du soncept « I ». Revenons donc alors un peu sur le postula et le concept même de l’IBOZOO. Ceci  pour comprendre bien clairement pourquoi un «système identifiant commun à 2 choses distinctes » est  un IBOZOO seul, isolé.

Comme déjà cité pour la transcription de IBOZOO UU, il est dit dans la lettre D59-2 : « IL N'EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS LE MÊME IBOZOO UU un système référentiel. Un tel SYSTÈME RÉFÉRENTIEL DOIT ÊTRE APPORTÉ PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. » et  « C'est précisément cet IOAWOO Thêta (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l'IBOZOO UU tout son sens transcendant ».

Un IBOZOO est donc identifié par son ANGLE-DIMENSION.

Le sens transcendant apporté est celui d'un autre système de modélisation "relative par nature", exprimé ici par le vocable I-OAWOO soit "différence-axe dimensionnel". C'est la définition d'un concept fondamental, mais pas de son expression.

Prenons I0 un IBOZOO de référence et I1 un IBOZOO qui est identifié par un ANGLE-DIMENSION  A.

Prenons I0 un IBOZOO de référence et I2 un IBOZOO qui est aussi identifié par un ANGLE-DIMENSION  A.

Donc I1 et I2 ont le même système identifiant angulaire, le système identifiant est commun aux 2 IBOZOO, il s‘agit donc d’un même et unique IBOZOO.

L’IBOZOO est isolé, seul.

On peut vérifier par récurrence pour tous les IBOZOO, que s’il existe un système identifiant commun à 2 IBOZOO, c’est nécessairement qu’il s‘agit d’un même et unique IBOZOO.

Difficile d’être plus seul !

Donc si le système identifiant est celui d’un IBOZOO, on a :

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

IIAS « a » IBOZOO

« Le système identifiant commun à 2 choses est vérifiable par récurrence » « a » IBOZOO

b)       Le système identifiant angulaire est commun à 2 IBOZOO est vérifiable par récurrence

c)       Un IBOZOO isolé, seul est vérifiable par récurrence.

d)       Un IBOZOO isolé

IBOZOO « a » UU

« Un IBOZOO isolé » « a » une dépendance permanente

e)       Un IBOZOO isolé a une dépendance permanente

f)        un IBOZOO UU isolé

Une transcription de IIAS IBOZOO UU est :

-          un IBOZOO UU isolé

 

Dans ma lecture aujourd'hui, le vocable IIAS est de construction semblable à IAS qui veut dire "un, unité" :

I = autre, différent, séparé

IAS = un, unité 

Soit : [une] unité séparée, que l'on peut rendre par "isolé"

J'arrive à la même transcription directement, sans deux pages d'explications sur les "angle-dimension" qui me paraissent un détour destiné à intégrer une  vision personnelle.

Vraiment plus simple la méthode ?

Concernant le vocable AIOOYEEDOO dans le dictionnaire idéphonémique la lecture brute sans explications donne :

 "importance, vérité, action, effectivité (A) [avec OA possible pour sous-jacent, permanent] différent, autre, distinct, varié, séparé, (I), inter entités, entités en réciprocité ou sans distinction, en équilibre (OO) paquet, ensemble, groupe (Y) codification, modèle, construction mentale (EE) manifestation, forme (D) inter entités, entités en réciprocité ou sans distinction, en équilibre (OO). Qui conduit à "ensemble à texture différenciée d'entités en équilibre (OAIOOY) modèles (EE) de formes d'entités en équilibre (DOO)".

Que je reformule par "il y a des ensembles de composants stables à texture différenciée qui sont des constructions mentales de formes d'entités en continuité".

Avec ma méthode on obtient pour AIOOYEEDOO la construction fonctionnelle et conceptuelle :

((((( (« effectivité » « a » « concept d’identification ») « a » une entité dimensionnelle permanente) « a » assemblage) « a »  modèle mental) « a » forme) «  a » entité dimensionnelle permanente

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

 A « a » I

« Effectivité » « a » « concept d’identification »

a)       une effectivité qui a un concept d’identification

b)       effectivité identifiable

AI « a » OO

« effectivité identifiable» « a » une entité dimensionnelle permanente

a)       effectivité identifiable qui a une entité dimensionnelle permanente

b)       effectivité identifiée comme étant réelle

AIOO “a” Y

effectivité identifiée comme étant réelle» « a » assemblage

a)       effectivité identifiée comme étant réelle qui a un assemblage, un ensemble

b)       effectivité identifiée comme étant réelle qui a un ensemble…

AIOOY  « a » EE

« effectivité identifiée comme étant réelle qui a un ensemble… » « a »  modèle mental

a)       effectivité identifiée comme étant réelle qui a un ensemble de modèles mentaux

b)       effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental

AIOOYEE « a » D

« effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental » « a » manifestation, forme

effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental. Ce modèle mental a la forme…

AIOOYEED “a” OO

« effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental. Ce modèle mental a la forme…» «  a » entité dimensionnelle permanente

Effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental. Ce modèle mental a la forme d’une entité dimensionnelle permanente.

Une transcription de AIOOYEEDOO est :

-          Effectivité identifiée comme étant réelle a un modèle mental. Ce modèle mental a la forme d’une entité dimensionnelle permanente.

En français :

-          On identifie une représentation mentale pour une entité dimensionnelle

-          On prend une idée pour une réalité

-          Ce que l’on croit être réel est une idée sans réalité dimensionnelle

-          Idée fausse du réel

 

Cette formulation finale, ramenée à 3 idées et destinée à correspondre à l'idée globale exprimée dans le contexte de la tétravalence, a perdu tout le contenu sémantique du vocable d'origine, qui assemble, lui, 9 ou 10 idées.

-         Comment prétendre permettre l'accès à la compréhension de la pensée des auteurs, objectif même de la lecture ?

-         Je transcris aujourd'hui le vocable AIOOYEEDOO par 

-          A = effectivité, "est" (dans la phrase)

-         I = différence, varié, variété

-         O= réalité dimensionnelle, entité, éléments

-         O = permanence, stabilité (par doublement)

-         Y =ensemble, rassemblement

-         EE = enregistrement, modèle

-         D = manifestation , forme

-         OO = entités, éléments, composants permanents ou continus

 

Comme on peut le voir dans tous les documents, la manifestation de continuité des entités (DOO) est leur "mémoire", qui assure aux entités, éléments de toutes sortes, une "forme de continuité" de leur existence.

Le vocable AIOOYEEDOO exprime, dans ma lecture, "est une variété d'éléments stables rassemblant des modèles de formes de continuité de composants" 

On observera que dans le rendu ci-dessus, 9 idées conceptuelles sont rendues, directement, sans modification ni ajout/retrait, rendant compte de l'intégralité des idées que le vocable contient. ( 9 au lieu de 10, car le double EE est rendu par une seule idée équivalente dans notre pensée, celle de "modèle".

Nous avons donc pour : IIAS IBOZOO UU AIOOYEEDOO

 

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

 IIAS IBOZOO UU « a » AIOOYEEDOO

« un IBOZOO UU isolé est vérifiable par récurrence» « a » "Idée fausse du réel »

a)       « Un IBOZOO UU isolé est vérifiable par récurrence» a une "Idée fausse du réel »

b)       Un IBOZOO UU isolé est un concept faux

Une transcription de « IIAS IBOZOO UU AIOOYEEDOO » est donc :

·         Un IBOZOO UU isolé est un concept faux

Soit en introduisant une négation (qui n’existe pas dans la lange Ummite) pour la francisation suivante :

·         Il n’existe pas d’IBOZOO UU isolé

On comparera avec ma transcription actuelle : Un IBOZOO UU effectivement séparé d'une série est une variété d'éléments stables rassemblant des modèles de formes de continuité de composants". Comme je l'ai expliqué : une vue de l'esprit.

J'ai souligné chaque expression des concepts (phonèmes) transcrits par écrit.

 

 < fin modification 1 - le 2/09/03 >

4.5.     Conclusion sur la transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »

On voit que cette transcription des vocables reste encore assez simple [on voit que c'est beaucoup trop simplifié, et de façon laissée à l'initiative du lecteur], même pour des concepts difficiles à appréhender pour nous (la tétravalence). Elle nécessite donc néanmoins des connaissances minimales pour trouver les équivalences logiques. Par ailleurs, cette transcription des vocables est stable et très détaillée.
On a vu que ceci n'est pas vrai du tout, puisque de 9 idées exprimées on arrive à 3 ! Un peu réductrice la méthode !!

La cohérence parfaite [ça ressemble beaucoup à de la méthode Coué, car la cohérence est loin d'être parfaite !!]  avec les descriptions Ummites fait bien apparaître l’intérêt du concept général d’identification du soncept « I ».
On a vu combien cela était faux et logiquement inconsistant. Revoir mes explications I et W.

  5.       Conclusion sur les éléments complémentaires pour la compréhension de la sémantique UMMITE

Ces transcriptions montrent une étonnante stabilité et cohérence, à la fois de la méthode et de la transcription avec la modification du soncept « I ». Ni stabilité, ni cohérence, on l'a vu à propos des vocables examinés jusqu'ici. La transcription proposée du "I" est incohérente.

La méthode est simple et utilisable avec un minimum de connaissance. Prétendre comprendre ce que les vocables véhiculent sans confrontation au contexte, sans confrontation à l'autre logique de formulation est un leurre.

Les résultats de la transcription française finale sont assez stables. On a vu que non, et que si les transcriptions sont stables (au fait qu'est-ce que ça veut dire ?), c'est au prix de l'abandon d'un nombre certain d'idées à chaque fois…

Cette méthode permet de détailler le sens des vocables.

Certainement pas le sens que les auteurs ont exprimé, comme je l'ai démontré. Maintenant chaque lecteur est libre de se faire "son petit cinéma": c'est le prix de la "dispersion collective" à payer pour une même réalité.

*le système présenté ne m'apparaît pas comme une méthode de lecture, mais une méthode autorisant la liberté d'autosuggestion.  

Il est très plausible que cette méthode corresponde effectivement au mode de fonctionnement réel de la langue Ummite. Mais le plus important, c’est qu’elle donne un éclairage nouveau pour la compréhension générale des textes Ummites.

J'a i montré pourquoi cette méthode ne me semble pas cohérente avec le système d'expression ummite : ajout d'incohérences logiques sous le I et le W, ajout partiel et non systématique de couple de concepts au niveau des idées phonémiques de base, et déformations et/ou pertes systématiques d'idées exprimées.

Eclairage nouveau, il y a certainement, mais de là à le trouver conforme aux idées exprimées….

La compréhension qui en sort est  INCONTESTABLEMENT étrangère, au moins partiellement, à ce qui est exprimé.

Cette nouvelle lecture des vocables qui permet de reconsidérer le détail des concepts Ummites, apportera probablement des remises en causes positives, qui sont propres à faire évoluer nos connaissances sur ces sujets.

Cette opinion n'engage que son auteur.

Je gage que le système d'interprétation, car il ne peut s'agir de lecture, présenté ici conduira à des déformations préjudiciables à une compréhension plus approfondie des idées exotiques et novatrices exprimées dans les documents.

Nous verrons quelques exemple de cela pour les vocables que j’utiliserais dans les documents suivants sur l’exposé de quelques hypothèses. Avec cette nouvelle définition du soncept « I » j’ai aussi pu vérifier la cohérence de mes hypothèses par rapport aux vocables. Je n'en doute pas, car le système a montré comment les transcriptions sont adaptées au résultat final désiré. Il serait surprenant qu'il n'y ait pas cohérence à ce niveau. Mais ces hypothèses sont-elles le reflet de la vérité exprimée ? Cela ne prouve évidemment pas qu’elles soient justes, mais c’est très encourageant, au moins pour l’orientation des réflexions. Compte tenu de ma remarque ci-dessus, j'invite l'auteur à plus de prudence sur la validité des voies hypothétiques de sa réflexion.

 Suite: semantique-3/argumentationJ.P.

Toute contribution à cette étude reste bienvenue : ajh@wanadoo.fr

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