Site UMMO-SCIENCES - SEMANTIQUE 1 - contre argumentation J. Pollion

Contre argumentation de "Compléments sur la sémantique" (1/3)

Note préalable:

Vous trouverez dans cette page et dans les deux qui suivent le travail de "Denocla" .
Les observations de Jean Pollion sont incluses en "mauve"

Commentaire résumé.    Jean Pollion  01-09-2003

Considérations générales.

Denocla et André-Jacques HOLBECQ m'ont demandé mon sentiment à propos de la méthode de lecture présentée par Denocla.

Je suis à la fois bien placé pour le faire, du moins je le crois, sur un plan technique, mais je suis très mal placé sur un plan humain, me trouvant à la fois juge et partie.

En effet, la méthode présentée, bien que gardant l'essentiel du principe idéophonémique et de la pensée fonctionnelle, remet en cause l'identification de soncepts que j'ai proposée.

Je me suis efforcé de garder une distance suffisante pour évaluer un système et ses différences avec ce que j'ai proposé, sans qu'interviennent des considérations personnelles.

Les citations de mon travail font référence à la publication de mon livre, lequel date, dans son écriture complète, du printemps 2001. Je n'ai pas abandonné le sujet et depuis cette époque ma compréhension supposée s'est précisée et surtout j'ai pu prendre connaissance de l'orthographe originale des vocables ainsi que de nouveaux vocables. Je n'ai pas encore terminé le recensement de l'ensemble des vocables et expressions dont les nombres devraient atteindre respectivement environ 1600 et sensiblement plus de 400.

Ceci pour dire que

-         la réalité des originaux rend obsolète la forme de certaines citations faites d'après des copies traduites,

-         ma lecture actuelle a évolué, peu, surtout concernant le doublement, mais conserve toute la volonté de rendre l'intégralité des idées évoquées.

Le moment venu, c'est-à-dire lorsque l'ensemble du matériel disponible aura été traité, je ferai connaître mon point de vue actualisé. En attendant, toutes mes observations sont parcellaires.

L'exposé de Denocla contient beaucoup de tableaux Word. Pour la clarté de mes commentaires et ou observations, et les garder en situation, je les ai inclus en couleur mauve dans les textes, quitte à rendre les tableaux un peu plus pénibles à lire.

On trouvera le détail de mes observations dans le travail commenté ci-dessous (limité à une partie de la présentation de Denocla).

Je suis malheureusement obligé, quelquefois, de montrer les différences avec le système que j'ai présenté, puisqu'il est le seul antérieur. Qu'on n'y voie pas une personnalisation du point de vue.

Bref rappel du problème posé.

Nous disposons de documents (les lettres ummites) qui présentent des points de vue et des "données" descriptives d'un monde qui nous est étranger, documents qui contiennent des mots de la langue que les auteurs revendiquent. Ils sont donc porteurs de leur système de pensée et de leur système d'expression.

Notre ambition est de comprendre l'un et l'autre, à l'aide des contextes, seuls éléments objectifs de rattachement.

J'ai proposé un système cohérent pour rendre compte autant du système d'expression que du mode de pensée, après avoir vérifié sa cohérence avec les 1345 vocables et les presque 400 expressions dont je disposais.(*)

(*) Il sera très difficile de convenablement comprendre ce qui suit, si le listeur n'a pas lu mon travail : "UMMO, de vrais extraterrestres !" Editions Aldane, ainsi que le CD des dictionnaires.  

Conclusions principales

Le système que j'ai proposé identifie une idée fondamentale associée à chaque phonème (par définition unique) relevé. C'est le système que j'ai appelé "idéophonémique". Ces phonèmes ont été transcrits par des équivalents de nos lettres en alphabet latin. La pensée fonctionnelle qui sous-tend ce mode d'expression et l'économie totale, l'absence de circonstanciels syntaxiques qui l'accompagne logiquement (pas d'articles, pronoms, formes adjectives, adverbiales, pluriel d'idées, prépositions, conjonctions, etc) nous laissent démunis pour des transcriptions qui ne soient pas un mot à mot barbare.

Il y a donc là un semblant de liberté possible dans la formulation qui conduit à de possibles interprétations différentes. En fait non, car de très nombreux circonstanciels d'association des idées principales s'éliminent d'eux-mêmes par la logique incluse dans nos langues. Par exemple, l'association "l'horloge pleut" est insupportable pour nous, sauf dans le mode poétique où le propre est justement de formuler ce qui sort du "sens commun", mais la nature de l'écrit est à priori connue par avance.

La logique d'association des soncepts, le détail des circonstanciels de liaison dans nos langues, se déduisent de leur cohérence avec les contextes, c'est à dire en comparant chaque association projetée avec la présence d'une contradiction ou non dans la description contextuelle.

La référence au contexte et à sa compréhension détaillée est donc indispensable à une bonne lecture. Il s'agit là d'un effort demandé au lecteur qui veut accéder à la culture des auteurs, et je ne vois pas comment on pourrait en faire l'économie. 

Le système de lecture qui nous est proposé passe par une systématique, celle de l'emploi d'un "facteur d'association" dont le formalisme n'est pas clarifié, mais ce n'est pas le plus important. Un procédé de découpage existe malgré tout, mais ses conditions d'utilisation ne sont pas abordées. Ce facteur d'association ou de lecture "a" fait intervenir une disposition immuable de connexité des concepts, de gauche à droite, et par concaténation progressive. Au point de pouvoir en faire le graphe systématique.

Cette rigidité, présentée comme une simplification (qui reste à démontrer) fait perdre énormément de souplesse expressive à la langue ummite et empêche d'identifier les procédés d'expression comme les multiples qualifiants combinés ainsi que l'expression de permanence d'associations dont j'ai montré l'utilité dans mon livre. On en trouvera des exemples dans les vocables OEMMII, LEEIIYO et UUWUUA, ci-dessous.

Si simplification il y a, elle déforme à coup sûr en perdant des significations possibles.

De plus, cette méthode est entachée de deux caractéristiques graves :

-         les formulations qui nous sont présentées font l'objet de déformations, voire le plus souvent de pertes d'information au cours du traitement nécessité par la remise en forme après l'introduction du facteur d'association (ce qui remet clairement en cause sa justification et la qualification de simplicité).  

-         elle présente des incohérences logiques dans les modifications proposées de certains soncepts : le I et le W.

Ayant identifié au moins ces faiblesses, à plusieurs reprises, je ne suis pas allé plus loin que l'étude de la phrase IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO.

En résumé, la méthode de lecture, présentée par Denocla, à base d'un facteur d'association "a" : 

-         ne paraît pas une réelle simplification,

-         introduit une rigidité,

-         contient des incohérences logiques

-         prétend aider le lecteur à comprendre sans retour au contexte, ce qui ne peut que conduire à de graves erreurs telles que : 

-         laisse la possibilité de déformation ou de perte de l'information

-         fait perdre des modes d'expression, des conventions logiques.

Le constat est sévère.

Je voudrais qu'il soit ici bien clair que je respecte l'investissement de Denocla et son travail, et que je n'éprouve pas d'animosité quelconque à son égard, ni à l'égard de quelque auteur futur d'une autre méthode. Un jour, l'approfondissement des connaissances conduira à des re-définitions irréversibles, c'est certain….

Je crois sincèrement que de telles tentatives linguistiques ou sémantiques sont des entreprises de très longue haleine parce qu'elles doivent passer par le filtre de l'expérience intégrale et sans concession. 

Si les tests avaient été plus nombreux et plus approfondis (analyse des incohérences qui apparaissent dans certaines transcriptions mettant en évidence les contradictions logiques par exemple) je pense que Denocla aurait pris conscience lui-même des limites que j'ai constatées. 

Seule l'analyse détaillée des contextes peut contribuer à comprendre les vocables ummites. Je ne vois pas de "simplification" ou d'économie possible dans cet investissement indispensable.

Je ne pense pas qu'il puisse exister une recette pour exprimer des "enchaînements de pensée fonctionnelle" en "langues et pensée-objet comme les nôtres". C'est ce que j'ai écrit en tête de mes dictionnaires. Désolé.

                                              Bruxelles,   01-09-2003

 

Compléments sur la sémantique (1p/3p)

( semantique-1 )

1.     Introduction.

2.     Une nouvelle méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites.
2.
    1.Le principe de la méthode de lecture et de transcription.
a)     Définition.
b)     Le graphe de la méthode.
c)     Une possibilité de développement vectoriel de la méthode.
d)     Une possibilité de développement angulaire de la méthode
.
2.2
    .La pratique de la méthode de lecture et de transcription.
2.3.
    L’exemple des soncepts « U » et « UU ».
2.4.
    Exemple de transcription pour BUUAWAA..
2.4.1.       L’algorithme de la méthode.
2.4.2.       le tableau de transcription.
2.4.3.       Le graphe de BUUAWAA..

2.5.
    La portée de la méthode.

(semantique-2p )

3.     Un complément important sur le soncept « I ».
3.1    .Principe du complément sur le soncept « I ».
3.2.    L’application de la transcription des soncepts « I » et « II ».
3.3.    Exemple de transcription du vocable OEMMII
3.4.    Exemple de transcription pour l’effet LEEIIYO.

4.     Divers exemples de transcription avec le soncept « I ».
4.1.    La transcription de IBOZOO UU.
4.2    .La transcription de IBOZOO UU avec le dictionnaire idéophonémique.
4.3.    La transcription de UUWUUA IES.
4.4.    La transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »
4.5.    Conclusion sur la transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »

( semantique-3p )

5.     Conclusion sur les éléments complémentaires pour la compréhension de la sémantique UMMITE  
Mémento des soncepts révisés
.
1.     Introduction.
2.     Tableau des soncepts révisés.

 

 

 

Compléments sur la sémantique - Contre argumentation J. Pollion (1/3)

 

1.      Introduction

Dans ses travaux Jean Pollion (1) à mis en évidence les principes sémantiques de la langue ummite suivants :

-          17 phonèmes de base associés à un concept fonctionnel

-          le doublement des soncepts pour exprimer le concept de « continuité-stabilité », par symétrie à soi-même (page 410)

-          le doublement des séquences de soncepts pour exprimer la multiplicité, le pluriel

-          les vocables sont le résultat de relations entre les soncepts (convention logique de connexité, page 416 de mon livre)

      Et le plus important pour lire et comprendre TOUS les vocables,
-         le principe du "correctif multiple" permettant d'exprimer des qualifiants communs d'un attribut multiple (p418) agrémenté de 3 exemples. Ce procédé est en incohérence apparente avec le  principe de connexité.
-         Principe fondamental : Tout mon travail a été construit sur la volonté de respect de constance de signification des phonèmes ou de leurs assemblages: un signifiant évoque toujours le même signifié.

Jean Pollion étudie aussi les cardinalités des relations entre les soncepts et fait une exégèse des vocables. Cette exégèse des vocables repose sur son expérience personnelle des textes, il ne s’agit à proprement parler d’une méthode, mais plutôt d’une exégèse. Bien que cette exégèse soit très intéressante, les transcriptions littérales données par Jean Pollion n’explicitent pas les relations entre les soncepts d’une manière à ce que n’importe quel lecteur (ou presque !), puisse reproduire la transcription.

Je ne suis pas d'accord avec l'expression "exégèse des vocables".

Si exégèse il y a, c'est celle du contexte explicatif de chaque vocable pour mieux cerner les idées, les concepts de base qu'il véhicule. Je me suis efforcé par ailleurs de donner une lecture ouverte, certes quelquefois difficile, de chaque vocable pour laisser à chacun sa latitude de reconstruction pour la compréhension.

J'ajoute que si le système présenté prétend aboutir à une meilleure lecture, il doit démontrer, par des exemples appropriés en qualité et en nombre, en quoi le ou les autres systèmes sont insuffisants. 

  • Il s’agit donc dans un premier temps, de compléter les travaux de Jean Pollion par une méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites.
  • Le premier intérêt de la méthode est qu’elle doit être simple et utilisable par tous, avec des résultats de transcription française aussi stables que possible (je reconnais que l’objectif est ambitieux).
  • En deuxième lieu, cette méthode doit permettre de détailler simplement le sens des vocables. Par le fait, on trouvera un certains nombre de vocables dont le sens diffère des premières explications du dictionnaire idéophonémique de Jean Pollion.

    A ce stade, on peut déjà se poser la question de la "validité" de la méthode, car si elle ne donne pas les mêmes résultats de lecture que la mienne, il faut que ses propres résultats soient aussi bien en cohérence avec les contextes, question qui ne semble pratiquement pas abordée ici.

    Si cette nouvelle méthode apporte une meilleure cohérence avec les contextes, il faut le démontrer.   

  • Le troisième intérêt de la méthode, et certainement le plus important, c’est qu’elle donne un éclairage nouveau pour la compréhension générale des textes Ummites.  A partir du moment où les transcriptions des vocables sont différentes, c'est une conséquence évidente. Encore faut-il que la lecture nouvelle soit "meilleure", plus proche de la véritable pensée exprimée (et sans les contextes comment arbitrer?) et pas seulement plus facile..

Par ailleurs, j’ai trouvé une modification concernant le soncept « I ». C’est une petite modification en comparaison avec l’énorme travail de Jean Pollion, mais son impact est important. Ce soncept est à la fois très répandu et important dans les idiomes Ummites. Par le fait, cette « petite » modification du soncept de base « I » a de grosses conséquences.

Les conséquences de cette modification concernant le soncept « I » portent donc sur :

-          la compréhension des vocables UMMITES

-          la compréhension de concepts fondamentaux exprimés par les UMMITES

  • Je donnerais donc dans un deuxième temps des exemples de vocables avec le soncept « I » en utilisant la méthode de lecture décrite au premier point.
  • Un autre document concernera la compréhension de certains concepts UMMITES importants et des hypothèses que je présente.
2.      Une nouvelle méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites

En complément des travaux de Jean Pollion, je propose donc une méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites, pour laquelle les tests effectués sont très encourageants. Il conviendrait de la vérifier sur la totalité des vocables connus, ce que je n’ai pas fait par manque de temps (avis aux bonnes volontés !) Il paraît donc prématuré de porter un jugement d'ensemble sur sa validité, en étendant par exemple le constat (?) fait à propos de quelques vocables.

2.1.     Le principe de la méthode de lecture et de transcription

Le principe de la méthode part du principe de base :

-          les vocables sont le résultat des relations entre les soncepts

a)      Définition

Très précisément c’est une relation entre 2 concepts qui est traduite en français par « a ». Les concepts se précisent par concaténations de relations successives. Un vocable Ummite se lit donc strictement comme une succession de paires de concepts fonctionnels en relation, les unes consécutivement aux autres. De chaque paire émerge un sens qui est en relation avec le soncept suivant.

Je comprends le "a" comme une simple symbolique de rattachement, d'association, encore que l'orthographe fait ici penser à la 3ème personne du singulier du présent de l'indicatif du verbe avoir, en tout cas rien à voir avec la conjonction "à".

En l'absence de précision, je décide d'appeler ce qui nous est présenté ici comme un  "facteur de lecture" par l'expression "facteur d'association".

A ce niveau, on observe que ce facteur d'association est présent implicitement dans ma pratique de lecture des vocables ummites, et il est nécessaire. C'est celui qui permet de formaliser dans notre pensée les circonstanciels de l'association : de, par, avec, qui, etc…et même d'attribuer une forme adjective ou adverbiale au concept proféré.

Lui donner la forme du "a" en français et une structure de lecture de gauche à droite est une rigidité qui est en contradiction avec les bases que j'ai isolées et démontrées par la cohérence avec tous les contextes.

Cette mise en forme implique que ce facteur soit constant, égal à lui-même, au delà de l'expression même de l'association qui, déjà définie par la connexité (le voisinage immédiat des phonèmes), n'a pas besoin d'un formalisme supplémentaire. 

En résumé, si ce "a" veut dire plusieurs choses différentes possibles, modes d'association, etc.. il est inutile de lui donner une forme (et c'est ce que j'ai fait), ou bien il veut dire une seule chose et c'est un facteur regrettable de rigidité. L'expérience va montrer à quelles différences il conduit.

Il est évident que le mélange des deux procédés est incohérent, contradictoire. 

La relation de base est :

Cn « a » Cn+1 = Cn+2

On a donc la suite récurrente: 

{ [ (C1 « a » C2 = C3) « a » C4 = C5 ]  « a »  Cn  = Cn+1}  « a » Cn+2

J'aurais préféré une définition préalable de la variable C .

De même, lorsque qu’un vocable est composé de plusieurs séquences de soncepts, la relation « a » s’applique entre la globalité de chaque séquence :

Seq-N « a » Concept-N+1

ou bien

Seq-N « a » Seq- N+1

L'existence de séquences séparées n'est pas compatible avec l'expression de la relation de base (par essence outil de liaison, donc de continuité), ni de la suite récurrente : par quelle loi ou principe a-t-on le droit d'interrompre la relation de base dans le présent système? Aucun des critères définissant cette possibilité n'est exprimé ici.  

b)      Le graphe de la méthode

Le graphe de la méthode est le suivant :

Il y a bien définition d'une cascade de gauche à droite, sans expression d'interruption possible.

NB : Au passage, si cette méthode correspond réellement à la structure de la langue Ummite, on peut comprendre, au premier coups d’œil, l’intérêt que peuvent porter les Ummites à la Théorie des Graphes, qu’ils utilisent à divers titres…dont quelques exemples dans divers contextes :

Lettre 69-3 : « J'invite les mathématiciens de la Terre à se spécialiser dans deux branches de cette science qui auront une importance vitale pour vous dans le futur : la topologie et celle que vous appelez recherche opérationnelle dont la Théorie des graphes. »

 

La lecture de cette invitation, limitée aux seuls mathématiciens de la Terre et à deux domaines précis de leurs spécialités (topologie et recherche opérationnelle), n'a aucune raison de faire penser à la langue ummite. C'est la volonté de mise sous forme de graphe ( initiative terrienne) qui autorise le rapprochement.

Selon cet état d'esprit, tout ce qui est représentable sous forme de graphe (et qu'est-ce qui ne l'est pas ?) fait référence à la pensée ummite ! 

Pour moi, cette citation n'a pas de pertinence ici.

Lettre 58-3 : « On peut représenter graphiquement le réseau ou graphe très complexe qui représente la répartition ramifiée de cette Phylogénie. »

Même commentaire que ci-dessus. La citation du mot "graphe" en dehors de son contexte sur l'évolution biologique ne peut logiquement constituer une référence en soi dans le domaine sémantique. 

On peut aussi avoir quelques pistes pour d’autres développements. En voici deux à titre indicatif.

c)       Une possibilité de développement vectoriel de la méthode

On peut envisager aussi de représenter les concepts par un vecteur. Dans ce cas, le sens émergeant des deux concepts de base pourra être représenté par leur produit vectoriel.

Pourquoi pas. Et alors ? Le résultat du produit de deux vecteurs est un troisième vecteur PERPENDICULAIRE au plan formé par les deux vecteurs multipliés. De plus, les vecteurs sont à origine commune, alors que dans un graphe c'est l'extrémité des "vecteurs" qui  intervient. Votre graphe devient tridimensionnel et de propagation incertaine, car dans chaque trièdre il faudra définir (sans appui d'identification) l'ordre des sous-graphes. En toute logique le graphe à base de produits vectoriels, donne une poignée de vecteurs à origine commune, très loin, malgré la forme, d'un Ibozoo uu dont les axes ne sont pas liés par des relations de produit.

 

Au fait, ça sert à quoi, humainement, de tenter de représenter un concept par un vecteur, autrement que dans un schéma explicatif des contributions des idées, ce que nous faisons souvent dans nos croquis, et sans les ummites ?

Ce serait la première fois qu'un produit vectoriel est un produit d' "idées"! -J

Cette approche ouvre aussi des possibilités de traitements algorithmique. En particulier pour les logiciels d’analyse de contenus textuels.

A votre santé ! -L

Il est évident que pour moi, ce genre de logiciel ne présente pas d'intérêt, même à moyen terme. Je m'en suis d'ailleurs déjà expliqué sur la liste.

d)      Une possibilité de développement angulaire de la méthode

Plus proche encore du concept d’IBOZOO, on peut envisager aussi de représenter les concepts par des angles. Dans ce cas, le sens émergeant des deux concepts de base pourra être représenté par le produit des deux angles. Cette approche ouvre elle aussi des possibilités de traitements algorithmique qui restent à explorer.

J'ai l'impression que vous faites ici du délire prospectif, à commencer par la définition du "produit de  deux angles".

Cet argumentaire de valorisation prospective de la méthode que vous annoncez me paraît très faible.

Le rapprochement avec d'autres idées ummites me semble abusif.

2.2.     La pratique de la méthode de lecture et de transcription

< Début modification 1 - le 2/09/03 >

  1. Qualifier l’orthographe du vocable la plus pertinente, à l’aide du dictionnaire idéphonémique. En prenant en compte la fréquence d’emploi, les erreurs de dactylographie, etc.
    [ Note du webmestre: il me semble qu'au contraire il faut prendre TOUTES les orthographes en partant de la plus simple (oemi) pour arriver à la plus complexe (oemmii). Ceci permettra mieux de voir quels 'fonctionnalités' ont été rajoutées par les soncepts supplémentaires, et non faire un choix arbitraire de "fréquence". Il n'y a pas d'orthographe (succession de soncepts) plus pertinente que d'autres]

-          Exemple : OEMMII, OEMII, OEMI, etc.

Cette orthographe est la plus pertinente et homogène : OEMMII

  1. Prendre connaissance du contexte du vocable dans différents textes Ummites.
  1. Préparer le graphe du vocable ou bien regrouper les soncepts en relation par écrit.

-          La construction fonctionnelle et conceptuelle : ((« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale ») « a »  « jointure permanente ») « a » « système identifiant commun à 2 référentiels »

  1. Ventiler les groupes de soncepts dans le tableau de transcription

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

   

OE “a” MM

   

OEMM “a” II

   
  1. Prendre les 2 premiers soncepts de base avec leur relation

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale »

 

OE “a” MM

   

OEMM “a” II

   
  1. Décliner les transcriptions littérales possibles pour la paire de soncepts.

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale »

entité dimensionnelle qui a des représentations mentales

OE “a” MM

   

OEMM “a” II

   
  1. Affiner en français, si possible. Attention de ne pas casser la logique relationnelle établie.

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale »

a)       entité dimensionnelle qui a des représentations mentales

b)       entité pensante

OE “a” MM

   

OEMM “a” II

   
  1. Prendre le résultat de la transcription et traiter la relation avec le soncept suivant.

Relations entres les phonèmes

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

O “a” E

« entité dimensionnelle » « a » « représentation mentale »

c)       entité dimensionnelle qui a des représentations mentales

d)       entité pensante

OE “a” MM

«entité pensante »  « a »  « jointure permanente »

entité pensante qui a une jointure permanente avec…

OEMM “a” II

«entité pensante qui a une jointure permanente avec… »  « a » « système identifiant commun à 2 référentiels »

a)       entité pensante qui a une jointure permanente avec un système identifiant commun à 2 référentiels

b)       entité pensante qui a une jointure permanente avec une limite entre 2 milieux

c)       entité pensante qui a une limite corporelle

d)       entité pensante qui a une enveloppe corporelle

e)       entité pensante qui a un corps

 

 

Avec « entité pensante qui a un corps » la transcription est peut-être encore perfectible, mais elle a un côté humain qui nous est familier !

Diverses remarques :

-          Ne pas aller trop vite dans les transcriptions

-          Détailler, pas à pas, les étapes pour affiner la francisation

-          Reprendre nettement en amont la transcription, si elle devient incohérente

-          Faire plusieurs essais pour vérifier la stabilité de la transcription

En pratique, à chaque itération on peut essayer faire une synthèse littérale en français.

Lorsque qu’un vocable est un peu long ou difficile à comprendre, il est plus prudent de décomposer la synthèse littérale en 2 ou 3 étapes qui permettent une francisation progressive en limitant le risque d’erreurs.

Je pose encore ici la question : où est la méthodologie, la règle de découpage ? Quels sont les critères et leurs conditions d'application ? Ce découpage est incohérent avec la logique de la relation de base.

Si ma compréhension de la langue a mis en évidence la nécessité d'autoriser le découpages en "segments", c'est au prix de la non expression d'une règle de cascade, sauf la connexité, le voisinage immédiat, individuel et formel qui n'exige pas un formalisme spécial. 

L’essentiel est d’appliquer au départ très rigoureusement le principe relationnel, pour ne pas dériver inconsciemment dans notre logique anthropocentrique. La francisation finale peut-être plus  « libre » pour répondre à des besoins de pédagogie ou autre, mais attention de ne pas casser la logique relationnelle établie !

< fin modification 1 - le 2/09/03 >

On peut noter, que la réciproque de la méthode donne des résultats moins bons, mais encore acceptables. C’est le même principe relationnel, mais on part du soncept final pour « remonter » de manière relationnelle jusqu’au premier soncept du vocable. Dans ce cas la relation de base est :  (Cn+1 « est » Cn).Comment deux lectures tributaires de "chaînes d'idées inverses" peuvent conduire au même groupe d'idées fonctionnelles en relations sans inverser aussi la logique d'expression ? Comment les deux expressions résultant des deux lectures peuvent-elles être parfaitement adaptées à un même contexte explicatif ?

Pour mettre en application cette méthode, on peut faire un tableau pour expliciter les soncepts. Comme la manipulation des soncepts de base dans le cadre d’une « pensée fonctionnelle » comme celle des Ummites n’est pas vraiment utilisable directement dans nos langages et que néanmoins nous souhaitons rendre compte d’une transcription aussi rigoureuse que possible, j’ai distingué le concept fonctionnel général lié au phonème et, le ou les, mots français qui décrivent des propriétés fonctionnelles directement issues du concept. Il faudrait faire ici, en principe, la liste de TOUS nos mots qui contiennent l'idée fonctionnelle fondamentale : c'est le constat de la différence de niveau de sémantique entre la langue ummite et la nôtre.

Le concept de base doit être le plus général possible. C’est une représentation mentale fonctionnelle et abstraite, dont les applications concrètes peuvent se décliner suivant divers mots en français.

2.3.     L’exemple des soncepts « U » et « UU »

·         Vérifions sur un exemple simple, le bien fondé de la méthode appliquée simplement au principe de doublement des soncepts qui est bien maîtrisé. Regardons l’exemple pris au hasard du soncept « U » d’après la définition donnée par Jean Pollion dans son ouvrage :

Phonème

Concept fonctionnel général

Quelques applications du concept suivant la terminologie française

U

Dépendance concrète ou abstraite, par un lien ponctuel
Je réfute la notion de lien que je n'ai pas exprimée.

a)       dépendance
b)       soumission
c)       influence
d)       conditions (de dépendance) Non. Le mot condition est en lui-même porteur de l'idée de la dépendance

UU

Continuité, stabilité de la Dépendance concrète ou abstraite

e)       mutuellement dépendant
f)        dépendance permanente
g)       continuellement dépendant (les champs de force, une relation parent-enfant, la dépendance à la nourriture, etc.)

Appliquons la méthode :

-          U « a » U

-          (Dépendance concrète ou abstraite, « a », une Dépendance concrète ou abstraite) = Dépendance concrète ou abstraite réciproque Le facteur d'association vaut ici l'ajout de l'idée de réciprocité qui n'est pas dans la lecture de base. En revanche, cette réciprocité est déjà présente dans le sens e) proposé dans le tableau "mutuellement dépendant", sans qu'une explication soit donnée de son équivalence aux autres idées de continuité, stabilité.   

Il me paraît difficile de faire une dépendance plus stable ! Il n'y a pas de démonstration ici, juste une re-présentation après passage par le facteur de lecture et d'association…

·         Appliquons maintenant la méthode à un vocable plus élaboré, pris au hasard : BUUAWAA, qui défini « l’Âme ». D’autres orthographes sont connues, celle-ci paraît la plus usitée (suivant les indications de Jean Pollion ce vocable apparaît trente fois avec cette orthographe).

2.4.     Exemple de transcription pour BUUAWAA

2.4.1.         L’algorithme de la méthode

A partir des soncepts primaires révisés définis dans le « Mémento des soncepts révisés » Je pense que la répétition du mot concept dans le tableau est inutile.

 

Phonème

Concept fonctionnel général

Quelques applications du concept suivant la terminologie française

A

Concept d’effectivité

a)        vérifiable
b)        réel (au sens commun)
c)        réalité dimensionnelle NON, c'est O ou alors c'est un changement que vous proposez.

B ou V

Concept de contribution

apport externe
par rapport à quoi ? Par définition un apport ne peut être interne !
Le terme apport est plus matériel, "objet", et le mot contribution me semble plus fonctionnel, relationnel.

U

Concept de dépendance concrète ou abstraite, par un lien ponctuel Je réfute l'idée de lien. Le "lien" reçoit sa propre expression.

a)        dépendance
b)        soumission
c)        influence
d)        conditions (de la dépendance)
Non. Le mot condition est en lui-même porteur de l'idée de la dépendance

UU

Concept de dépendance, stable, permanent

a)        mutuellement dépendant
b)        dépendance permanente
c)        continuellement dépendant
Pourquoi le d) a-t-il disparu ?

Concerne les champs de force, une relation parent-enfant, la dépendance à la nourriture, etc.

W

Concept d’information

a)        information
b)        contenu informatif Le "contenu informatif" fait référence implicite à un contenant qui n'est logiquement pas exprimé par cette idée simple.
c)        différence NON, c'est I
d)        variation
e)        changement
f)        évènement je préfère nouveauté

Nous avons suivant la méthode : (((La contribution « a » dépendance permanente) « a » effectivité) « a » information) « a » effectivité stable

La synthèse littérale consiste à reformuler en français en éliminant quelques « a » pour que ne style soit pas trop lourd. Voilà ici une nouvelle équivalence du facteur d'association: il est parfois inutile puisqu'on peut formuler en l'escamotant.Il faut néanmoins faire très attention de ne pas modifier la logique relationnelle que l’on vient d’établir.

2.4.2.         le tableau de transcription

D’où le tableau de transcription :

Je vois ici apparaître des "a" qui subsistent dans les transcriptions. Il ne s'agit donc pas d'un symbole comme je l'avais pris au début, mais bien de l'expression d'une relation d'expression complément d'objet direct, comme "le maître a un chien".

Le facteur d'association prend ici la valeur "a".

Si bien que si je rapproche mon constat du 2.4.1, dans le même vocable le facteur d'association vaut tantôt rien, tantôt "a".  Pourquoi passer par un facteur d'association ?

Cette relation de rattachement constitue une rigidité et une orientation qui exclut tous les qualificatifs et les adverbes. 

Relations entres les soncepts

Transcription de la relation entre les concepts fonctionnels

Synthèse littérale

B « a » UU

La contribution « a » dépendance permanente

a)       La contribution (le facteur, l’apport externe)  a une dépendance permanente

b)       L’apport externe a une dépendance permanente

BUU « a » A

« L’apport externe a une dépendance permanente » « a » effectivité (une « réalité » au sens trivial du terme)

a)       L’apport externe a une dépendance permanente vérifiable

b)       L’apport externe a un lien permanent vérifiable. Il n'y a pas d'idée de lien. Le lien n'est pas un concept fonctionnel, relationnel, c'est un objet, même si pas toujours matériel. Le lien, c'est ce par quoi se manifeste (D) la dépendance (U). voir la citation DU-OI-OIYOO. 

c)       L’apport externe a une liaison permanente

BUUA « a » W

« L’apport externe a une liaison permanente»  « a » information

a)       L’apport externe qui a une liaison permanente est informatif
Le passage logique de la formulation de la case précédente à celle-ci implique une variation du facteur de lecture "a" qui vaut ici l'intervention d'une proposition relative. Pourquoi celle-ci ici et non ailleurs ? Le facteur a est polyvalent.

BUUAW « a » AA

L’apport externe qui a une liaison permanente est informatif»

« a » effectivité stable, permanente

a)       L’apport externe qui a une liaison permanente est informatif, et il est vérifiable en permanence.

b)       L’apport externe qui a une liaison permanente, est informatif et stocké.Il n'y a pas identité logique et sémantique entre la stabilité effective et le stockage. N'importe quel fabriquant d'aliments vous l'expliquera tous les jours. Le passage de a) à b) est abusif et interprétatif. 

On a donc pour BUUAWAA une possibilité de transcription simple (quelques légères variantes pour la francisation sont toujours possibles) :

-          L’apport externe qui a une liaison permanente, est informatif et stocké

 

On comparera évidemment avec mon système de lecture :

BU : la contribution (B) de dépendance (U)

UA: obligatoire (voir les combinaisons courantes p 372)  ( au BB évidemment)

Ou "la contribution de dépendance permanente effective"

W : aux changements

AA : dans la continuité effective (expression de la progressivité, sans déséquilibre = WAA)

Ce qui donne :

[L'âme est la] contribution de dépendance obligatoire aux changements dans la continuité effective. Voir le D731 . On lit la description qui place l'âme en tant qu'organe régulateur individuel et transmetteur à l'âme collective des paramètres du vécu. 

Par ailleurs, on peut remarquer le fait amusant, que le « a » se « déplace » dans le vocable comme une onde.

2.4.3.         Le graphe de BUUAWAA

Le graphe de BUUAWAA est :

2.5.     La portée de la méthode

-          Cette méthode relationnelle qui associe les concepts deux à deux avec la relation « a » m’a permis une transcription (relativement) aisée de tous les vocables que j’ai testés.Non, cette méthode n'associe deux à deux que les deux premiers concepts, l'association porte ensuite sur l'association du troisième avec le résultat de l'association des deux premiers et ainsi de suite. A quoi bon avoir introduit une relation "a", puisque cette relation change de nature et de contenu au moins 4 fois dans le seul vocable BUUAWAA ? Elle introduit une distorsion obligeant à interprétation, comme je l'ai montré : "a" éliminé, "a" conservé du verbe avoir, "a" qui devient "qui", "a" qui introduit l'idée de "stockage". Outre sa simplicité d’utilisation, cette méthode a en outre l’avantage de pouvoir être utilisée avec des connaissances correctes sur le sujet, mais ne requière pas un niveau d’expertise des textes démesuré. Je ne suis pas sûr que la gymnastique interprétative que le "a" rend nécessaire, soit une simplification.

C'est peut-être un des nœuds du problème. Je pense qu'il ne peut y avoir de compréhension réelle de la langue et de la pensée exprimée sans une très bonne lecture du contexte, ce que j'ai expliqué dans mon dictionnaire et dans mon livre.

Vouloir faire des raccourcis d'économie d'investissement individuel ne peut que conduire à des fausses lectures et interprétations.

On a eu déjà ci-dessus un exemple de divergence profonde dans la compréhension d'un vocable assez simple.

-          On observe par cette méthode que le langage Ummite s’exprime par paires de concepts en relations d’où émerge le sens. C’est précisément le même principe de base que celui du lien entre deux IBOZOO qui fait émerger la matière, les forces, le temps, etc.

 

J'ai expliqué ci-dessus en quoi cette affirmation n'est pas le reflet de la réalité.

-         Ce n'est en particulier pas le cas des Ibozoo uu qui , eux, ne peuvent être envisagés que "connexes". A aucun moment, au moins à ma connaissance, les Ummites n'expriment qu'un Ibozoo uu doit être mis en relation avec la concaténation ou "somme" de ceux qui l'ont précédé, si cette expression a un sens.  J'ajoute que la relation entre deux ibozoo uu connexes est de nature "différentielle" (dans tous les sens du terme) et non relationnelle au libre choix de l'observateur.

-         Le paragraphe ci-dessus est donc, pour moi, une contrevérité. 

-          NB : Logiquement, si le principe est équivalent, on doit pouvoir vérifier qu’un soncept n’est jamais utilisé seul, car un IBOZOO seul n’a pas de sens. Si l’on considère très raisonnablement que les très rares fois (4 soncepts seuls pour 1345 vocables) où un soncept a été noté séparément d’un autre vocable peuvent être attribuées à quelques erreurs de typographie (un espace mal placé), alors cette logique est vérifiée !On sait que je ne suis pas d'accord et rien n'est aujourd'hui démontrable à ce sujet. Je constate qu'un traitement d'association différent pour ces soncepts est satisfaisant. Voir la NR-13. 

-          Il est donc très plausible que cette méthode corresponde effectivement au mode de fonctionnement réel de la langue Ummite. Vous ne faites là qu'une hypothèse. C'est la lecture et la compréhension de l'ensemble des contextes qui permet de trancher. Elles ne sont pas faites ici.

 Suite: semantique-2p

 

Toute contribution à cette étude reste bienvenue : ajh@wanadoo.fr

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