D378
T25 - 1,2
PDF Traduction JJP, AJH
Dernière Modification: 02/09/2020
Format non encore vérifié.
Titre de la lettre : Sesma et Ribera n'ont pas plagié les rapports d'Oummo.
Date : ??/02/1988
Destinataires : Monsieur Jorge Barrenechea
Langue d'origine : Espagnol
Notes : 1 lettre de ? pages

UMMOAELEUUE

Langue : Espagnol

Nombre de copies : 1

Monsieur Jorge Barrenechea,

Cher ami,

Par l'intermédiaire de notre messagère, comme à l'habitude jusqu'à présent, nous vous envoyons cette lettre document en vous priant que l'original soit remis le plus tôt possible à votre frère ANTONIO RIBERA JORDÀ,

Je vous prie d'envoyer aussi une copie de ce texte à votre frère susnommé.

L'accusation contre votre frère FERNANDO SESMA, incapable de présenter la défense de son honneur, car décédé, et contre ANTONIO RIBERA, nous paraît tellement triste et fallacieuse que nous prions fermement votre frère Ribera Jordà (Antonio) de faire une copie du document que nous lui remettons pour votre frère Joaquín Francès, rédacteur de la revue INTERVIU, dans le but de prêter ce service moral à votre frère mort.

La raison pour laquelle nous désirons envoyer cette lettre à Monsieur Joaquin Francès est évidente : Formuler publiquement une critique de la lettre en question de votre frère Juan José Bentez, associée à son propre texte oubliant de défendre la probité des deux accusés.

Autant ce texte dactylographié que la lettre jointe peuvent être lus ou reproduits par tout procédé de copie, pour n'importe lequel de vos frères que vous jugerez bon de désigner, et diffusés à un niveau que vous jugerez prudent. Une accusation grave exprimée contre notre ami décédé doit primer sur des considérations en rapport avec n'importe quelle stratégie de réserve mentale et de secret opérationnel.

Nous ne désirons pas que notre attitude soit dénaturée, interprétée comme une attaque contre votre frère Juan José Bentez. Il n'est pas possible de juger des intentions de cet OEMMII, rédacteur de cette défense - offense. Notre intention est diaphane. Éclaircir la lamentable erreur commise par lui, tout en respectant profondément son honorable personne

Recevez, vous OEMMI d'Espagne,  notre salut très affectueux.

Albacete, Espagne, février 1988.