UMMOAELEWE Langue Espagnole N° de COPIES 1 |
CONFIDENTIEL NOUS VOUS PRIONS DE NE FAIRE LIRE A AUCUNE PERSONNE |
Monsieur Fernando Sesma Manzano
Monsieur :
Comme vous devez vous en souvenir, nous vous avions demandé dans un rapport antérieur de séparer les heures et jours consacrés à nos documents avec ceux spécialement orientés vers l'information concernant d'autres expériences.
Nous ne vous demandions absolument pas de cesser de parler de ces expériences et encore moins de les dévaloriser, mais d'éviter tout simplement des confusions présumables au niveau des personnes non initiées en introduisant des relations et des élucubrations concernant d'autres expériences pendant que vous parlez de nos rapports sur notre propre origine.
Il aurait suffit que vous demandiez aux auditeurs leur niveau d'intérêt pour l'une ou l'autre expérience pour qu'ils puissent ainsi s'exprimer à haute voix. De tels votes SANS SIGNATURE vous auraient montré le chemin à suivre, en programmant les jours et heures pour ces analyses.
Jusqu'à maintenant vous avez été totalement fidèle à nos accords et nous vous avons répondu en vous envoyant des documents.
Mais vous avez rompu dans ce cas concret nos accords. Vous avez, de plus, formulé un jugement qui nous semble faux en ce qui concerne une entrevue avec Monsieur D. Enrique Gran. Bien que cette apparente contradiction était beaucoup moins légère que les véritables CONTRADICTIONS émises par d'autres personnes qui sont en contact avec vous.
Ceci n'est pas juste, Monsieur Sesma. Vous pouvez librement exprimer votre jugement sur notre identité croyant qu'elle est fausse. Mais vous ne pouvez pas nous attribuer légèrement DES MOTS QUE NOUS N'AVONS JAMAIS PRONONCÉ. Et nous promettre verbalement que pendant les moments consacrés à UMMO vous ne parlerez pas des autres expériences, pour ensuite ne pas respecter le compromis.
Nous attendons l'ordre définitif de YU 1, fille de AIM 368, à qui nous sommes soumis. Il est possible que nous soyons obligés d'interrompre nos contacts par écrit durant des mois ou définitivement. Ce dernier cas, je le confesse, serait douloureux car nous avions une véritable affection pour vous et nous croyons que votre faute n'a pas été si grave. Mais les ordres de notre Supérieure sont parfois inflexibles.
Pendant ce temps les contacts téléphoniques ont été interrompus, en attendant de nouvelles instructions.
Nous vous tiendrons informé des décisions de nos Supérieurs.