UMMOAELEUEE
Langue Espagnole
Nombre de Copies UNE
PAYS ESPAGNE
Adressé à monsieur Juan Aguirre Ceberio
Avec prière de ne pas faire de copies ni lire à ses frères
Sauf le paragraphe dédié à votre Frère décédé Franco Muela Pedrada
Estimé monsieur Juan Aguirre Ceberio
Mon nom est uhooa 5 fils de uhooa 2 et je viens de OIYIA UMMO, je suis donc un frère d’autres humains qui vous ont écrit des lettres de Ummo.
Par la lettre jointe vous serez averti des mésaventures que nous ont causé, non ces lettres apocryphes, car concernant notre identité, elles sont nombreuses les missives qui ont été falsifiées, parfois par de simples farceurs, d’autres fois par des enquêteurs désireux de pénétrer l'énigme de notre identité de façon plus adéquate.
Ce qui nous a chagriné, ce sont les conversations captées par canal téléphonique entre votre frère Rafael Farriols Calvo et votre autre frère Jorge Barrenechea qui sont l’indice d’intenses frictions et tensions internes entres vos frères et amis.
Nous vous demandons monsieur Aguirre Ceberio que sous votre noble condition de médecin vous intercédiez pour adoucir ces rancœurs intimes. Nous vous en prions seulement à cette occasion. Vous savez bien que nous n’avons jamais abusé de votre gentillesse en exigeant des faveurs ou des prébendes Cette fois nous désirons le faire en vous suppliant de diminuer ainsi notre tristesse et notre sentiment de faute en diminuant les dissensions internes entre les OEMII formant ce groupe de vos frères étudiant le thème de notre OIYIA UMMO.
Nous allons vous demander une autre chose importante, c’est de communiquer à votre sœur Maria Teresa Quesada notre sentiment à la mort de cet homme bon et très intelligent qui s’appelait dans sa vie terrestre Franco MUELA PEDRADA. Nous savons que cette YIIE souffre beaucoup. Elle doit réfléchir que son époux souffrait d’une certaine altération mentale et n’était pas coupable de sa conduite qu’il croyait lui-même honnête. Son intelligence débordante mêlée à ce cadre psycho-organique l’a induit à une certaine fréquence à des excès qui ont fait souffrir tout le monde. Nous n’étions pas sur OIYIA TERRE (GAA) quand la mort s’est produite, et ensuite pour cause d’ordres supérieurs nous n’avons pas pu nous mettre en contact avec vous. Vous ne devez pas interpréter notre silence comme une désaffection.
Nous voulons aussi encore vous adresser une prière : lorsque à notre arrivée en Espagne nous commençâmes à adresser différentes lettres à vos frères (un professeur d’Université, un fonctionnaire, un frère amoureux du phénomène OVNI, un commissaire de police....) tous les textes ont été phonalisés en les dictant à un de vos frères dactylographe
Ce même frère a réalisé des copies au papier carbone et nous-mêmes, postérieurement, photographions beaucoup de ces lettres. Nous possédons donc les enregistrements de presque tous les messages (enregistrements acoustiques) et en grande partie graphique, mais il y a malheureusement des lacunes dans la reproduction graphique. C’étaient des jours de troubles Est écrit "deasosiego", il manque un s pour faire "desasosiego" = "troubles" pour notre existence sur TERRE. Nos UULUUEWAA rendirent nerveux le frère dactylographe (il s’agit de petites sphérules qui possèdent en leur sein des détecteurs pour capter de l’information et qui orbitent comme des insectes. Si l’on observe leur présence elles ont l’aspect de moustiques qui effectuent un vol régulier et de grande précision) et il se désista de photographier certaines de ces feuilles dactylographiées, mais à la fin nous possédions au moins le contenu phonique.
Nous savons combien il est difficile de récupérer l’énorme masse d’information graphique et typographique non enregistrée (jusqu’à maintenant nous vous avons offert cent soixante dix mille trois cent quatre vingt cinq pages écrites aux humains de la terre desquelles une quarantième partie environ sont des originaux et le reste des copies) Ce qui met les originaux à environ 4.260 pages à la date de cette lettre En tenant compte que dans la première étape nous n’avions qu’une ou deux copies que nous remettions aux dactylographes de quelques pays dont certains rompirent leur relations avec nous ou à de tierces personnes qui ont certainement détruits ces documents.
Maintenant le temps a passé et les relations de cette époque sont de l’Histoire que nous voulons exposer dans nos salles de OFUOOBAA (musées)
Nous voulons vous faire une demande. Seriez vous assez gentil pour nous procurer une reproduction photostatique des documents que nous vous avons envoyés ? Si nous nous adressons à vous c’est parce que nous avons capté des conversations téléphoniques avec votre ligne où l’on fait allusion à la possibilité de les obtenir. Il ne nous importe pas que s'y trouvent beaucoup des feuilles dont nous possédons une copie carbone. Evidemment nous ne voulons pas être onéreux et nous vous prierions de nous dire quel est le coût de la reproduction.
Un frère ou un de vos frères de nationalité X ira les reprendre à votre domicile. Nous vous demandons seulement de ne pas essayer de perturber cette personne par vos questions ce qui lui produirait une sérieuse affliction car ce n’est qu’un simple intermédiaire qui ne nous connaît pas personnellement et se limitera à les ré-expédier à un hôtel.
Nous ignorons si la demande de vous offrir un paiement pour ce service peut vous causer de l’humiliation, s'il en était ainsi fixez alors vous-même les conditions. Si c’est dans nos possibilités nous vous satisferons.
Cette personne, une de vos sœurs, vous appellera au téléphone. Dans le cas où vous savez le montant et comme il est normal que vous désirez satisfaire notre demande de nous permettre le paiement dites-le à cette personne qui fera parvenir cette quantité quand vous le désirez.
Ensuite nous fixerons la date d’enlèvement du matériel photocopié.
Dites-nous si cette demande peut être satisfaite, nous ne serions pas vexés si nous obtenions une négation car nous en déduirons du fait même qu’il existe de puissantes raisons pour refuser notre demande.
Il nous plairait aussi d’obtenir la phrase manuscrite, à nous dédiée, de chacune des personnes qui sont renseignées dans le relevé d’une autre lettre que nous vous envoyons. Nous les enverrons à notre OYIAA UMMO pour l’archive du musée accompagnées de l’image que nous possédons de chacun de ces Oemii (c'est la raison qui nous pousse à ne pas vous demander en plus une photographie car nous avons capté stéréographiquement vos images globales vêtues et nues).
On vous prie de ne pas exprimer à vos amis la forme sous laquelle nous allons obtenir probablement toute cette information car nous savons que les investigateurs bâtards saisiront l’intention et espionneront pour localiser le messager en lui provoquant (bien que stérilement) les ennuis qu’il est facile de deviner.
Il reste monsieur Juan Aguirre Ceberio une recommandation. Ne faites pas de copie de cette lettre mais vous pouvez la lire à vos amis Jorge Barrenechea et Rafael Farriols Calvo et lire le paragraphe faisant allusion à eux ou le photocopier pour leur destinataire. et leurs nobles fils
Une certaine diffusion des autres lettres est inévitable. Que cela se limite ou non aux personnes nommées par nous dépend que comprendre "dépend du fait que" nous continuons à vous remettre des messages. Si la diffusion continue à être étendue, nous jugulerons le contact.
Recevez monsieur notre salut désintéressé et modeste avec les désirs de Paix aux chers familiers qui vous entourent.
(D2655-ideo1)Deux critères contribueront à discriminer les lettres authentiques des apocryphes. L’utilisation de la typographie correspondant à la première machine Hispano Olivetti modèle studio 46 avec laquelle mes frères dictèrent les lettres à Fernando Sesma Manzano et la provision incorporée d’une bande de papier spécial jaune difficile à obtenir par les imposteurs présumés.