UMMOAELEUUEE (JPP
a écrit ici: " UMMOAELEWE")
Langue Espagne
Nombre de copies : 2
Chers humains de OYAAGAA ( Terre )
: Nous sommes un groupe expéditionnaire d'explorateurs provenant d'un
Astre froid dont le nom exprimé phonétiquement peut se verbaliser ainsi
en espagnol : UUMMO.
Nous vivons de manière transitoire sur
votre monde, mêlés à vous puisque notre morphologie anatomique est semblable
à celle que vous possédez.
Nous savons qu'il est difficile d'accepter
cette affirmation de notre part. L'attitude la plus prudente pour vous
est de ne pas accepter notre identité si nous ne vous apportons pas
de preuves suffisantes.
Nous vous exhortons à agir toujours
ainsi. Que jamais vous ne cautionniez une affirmation ou une hypothèse
quelconque qui ne soit pas associée à un modèle mathématique de comportement,
suffisamment prédictif ou qui ne puisse être constatée avec une
véritable rigueur. Ne comptez pas uniquement sur les méthodes dialectiques
inductives ou déductives. Ce que vous appelez, en espagnol, "sens
commun" ne doit pas être considéré comme un étalon pour la formulation
scientifique. Ce "sens commun" est obtenu par voie intuitive,
et l'intuition bien qu'elle s'avère très valable pour vous
parfois pour résoudre un problème ou créer des modèle et des idées,
structurer des réseaux et des systèmes et jusqu'à engendrer des créations
artistiques, est aussi la source de graves erreurs.
Le "sens commun" et l'intuition
sont sources de graves erreurs. Ces formes de processus mental vous
dictaient des notions phénoménologiques dont vous avez vous-mêmes découvert
qu'elles sont fausses.
Ainsi les sophismes populairement acceptés
qu’une boule d'acier tombe plus rapidement qu'un globule de coton, que
le temps s'écoule avec la même fluidité pour un voyageur que pour son
frère qui se tient relativement immobile, ou que la vapeur qu'une YIEE
(femme) voit sortir d'un récipient d'eau bouillante est de la vapeur
d'eau (la vapeur est invisible. ce qui est visuellement perçu ce sont
les fines gouttes sphéroïdales d'eau liquide).
L'échec de beaucoup d'écoles de pensée
de la Terre consista à accepter comme des vérités, des concepts qui
provenaient du "sens commun", de l'intuition du témoignage
humain, de la révélation hypothétique d'êtres inspirés ou de la perception
sensorielle.
De plus, vous pouvez nous interroger
sur les raisons pour lesquelles nous ne garantissons pas notre identité
par des preuves consistantes.
En d'autres occasions nous avons insisté
sur la famille de raisons qui nous empêchent de le faire. Observez que
nos rapport sont toujours didactiques. Quand nous parlons d'IBODSOO
UU ou de Multicosmos jamais nous ne vous offrons un modèle mathématique
de celui-ci ni la manière d'isoler ou de mesurer les paramètres qui
permettent de le conformer.
Evaluez les mobiles de notre inhibition.
Notre UAA (Loi morale) nous empêche
d'interférer dans le processus évolutif de la culture d'une autre humanité
galactique. Si nous le faisions, nous pourrions provoquer de terribles
distorsions dans votre Réseau Social. Un ensemble de connaissances
ne peut être assimilé brutalement. Il requiert un long intervalle de
fluxion progressive dans le cerveau. Si nous vous apportions des modèles
théoriques avancés du comportement de la masse, de l'information et
de l'énergie, ceux-ci seraient aussitôt utilisés à des fins non éthiques.
Par exemple, une technologie qui vous permettrait de résoudre le problème
du cancer, fait le report d'une connaissance profonde de certaines séquences
de l'ADN nucléaire et des moyens de contrôle pour leurs altérations,
qui serviraient à leur tour pour créer de terribles armes biotechnologiques
qui provoqueraient plus de morts dans la population et plus de souffrances
pour le Réseau Social que ce qui est généré par ces formations histologiques
atypiques.
Il est clair qu’on ne peut pas vous
fournir seulement un fragment de connaissance très avancée, par exemple
sur la cristallographie de nouveaux matériaux, sans vous apporter simultanément
la dotation mathématique avancée, un nouveau paradigme de lois physiques,
et avec lui une conception avancée des réseaux biologiques. C’est-à-dire
que vous apporter une technologie de notre niveau n’est pas possible
sans vous enseigner simultanément presque tout le corpus de nos connaissances.
Imaginez-vous qu’il aurait été possible dans votre Moyen-Age d’enseigner
à un alchimiste le comportement d’un supraconducteur sans lui fournir
préalablement la dotation informative concernant le Calcul Différentiel
et intégral, la Mécanique quantique, la Physique ondulatoire, les Lois
de Maxwell, l’Electrophysique, la Thermodynamique et avec elles
les applications technologiques en cryogénie, en électrotechnique et
électronique, en plus d’idées claires sur la chimie, la cristallographie...?
Et quelles personnes à cette époque auraient construit les composants
du laboratoire sans une infrastructure industrielle, et avec celle-ci
un système d'ordre politico-économique qui était impensable à ce stade
de l'humanité médiévale? Combien de temps leur aurait-il fallu pour
former un ingénieur à cette époque? De plus comment aurait été possible
sa formation dans un environnement social où une quelconque idée ou
phénomène qui s'écartait des conceptions de la pensée théologique de
l'époque était considéré comme diabolique ?
Ceux de vos frères qui nous demandent
un quelconque apport scientifique extrait de nos connaissances élevées
n'ont pas la notion la plus éloignée des conséquences qui s'en dériveraient
si nous nous avisions de les satisfaire.
Il est clair que nous pourrions doser
ce flux de données, très lentement pour qu’il puisse être digéré progressivement.
C'est ce que nous sommes en train de
faire à travers nos rapports. D’autre part c’est ce que vous êtes en
train de faire à travers vos scientifiques et vos penseurs ; découvrir
pas à pas, les lois de la Nature.
Nous n’avons donc pas le moindre
intérêt à ce que vous croyez ou pas que nous venons de UMMO, nous préférons
un scepticisme prophylactique qui vous permettra de suivre votre
propre évolution sans perturbations neo-humanistes.
D’autre part, pour nous autres la tactique
de travailler dans l’anonymat sans nous identifier est très valable.
Nous avons besoin d’urgence d’étudier la turbulente évolution de votre
culture, de vos institutions, de vos tensions géopolitiques, sans qu’elles
souffrent d’interférences. Une intervention très ouverte de notre part,
en nous faisant connaître, causeraient un tel trouble, et un intérêt
exalté démesuré des journalistes, des scientifiques et des hommes d'état,
qui supposerait une grave altération de l’échantillon que nous sommes
précisément en train de traiter.
Il est nécessaire arrivés à ce point
de vous révéler que malgré tout nous avons été obligés de procéder à
des interventions importantes.
Lisez avec attention nos déclarations suivantes.
Hommes de la Terre. Notre éthique nous
empêche de violer le principe de non interférence dans le libre cours
évolutif du Réseau Social d'un astre froid habité par des cerveaux intelligents
et humains. Nous venons d'une entité planétaire située à environ 14
années lumière de la Terre, et notre groupe explorateur réside parmi
vous depuis 1950 le 29 Mars (Date de la Terre) mêlé parmi vous à la
population de différents pays. En cette occasion mémorable, notre point
topologique d'atterrissage se concentre dans les environs d'un petit
noyau urbain du midi de la France.
Il nous fût possible d'étudier vos langages,
vos rôles et vos coutumes, et dotés comme nous le sommes d'un corps
anatomique ayant des traits morphologiques semblables à ceux de l'espèce
"Homo sapiens sapiens" de la Terre, nous pouvons nous débrouiller
sur la Terre sans avoir besoin de nous identifier.
Nous ne sommes pas venus pour vous perturber
et encore moins avec des intentions agressives. Notre mission consiste
à étudier la culture millénaire de la Terre, pléthorique pour nous de
richesse exotique. Nous avons surtout été impressionnés par la variété
multiforme de vos coutumes ethnographiques, votre prodigieuse avance
dans le domaine des manifestations artistiques, unique aspect dans lequel
vous nous dépassez avec de sensibles différences de niveaux.
En revanche, notre niveau de connaissances
de la structure physico-biologique non seulement de l'Univers perceptible
mais aussi du système global cosmologique auquel les astrophysiciens
et les cosmologistes de la Terre n'ont pas encore accès, est beaucoup
plus élevé.
Notre astre planétaire comporte un grand
continent. Notre système social n'est pas désagrégé en sous-réseaux
fragmentés, nous possédons un système de contrôle ou gouvernement central,
régi par des OEMMII ( humains de UMMO ) sélectionnés en fonction de
leur développement neuro-cortical et assistés dans leurs décisions par
un réseau étendu de traitement de l'information, conçu pour adopter
des décisions intelligentes, planifier le système complexe de relations
économico-sociales et conseiller et diriger par des règles directives
le réseau complexe des interactions dans des domaines aussi divers que
la recherche scientifique, l'enseignement ou l’administration de facteurs
correctifs pour la conduite morale de toutes les entités individuelles.
Notre étude de la Terre s'étend aux
caractéristiques géologiques météorologiques de celle-ci, de sa biosphère
et écosystèmes correspondants et en outre à l'analyse des caractéristiques
du Système planétaire de l'étoile auxquelles vous êtes liés.
Nous avons emporté sur UMMO des Documents
inédits d'une grande valeur archéologique, des échantillons d’artefacts
élaborés par les diverses cultures et un échantillonnage de structures
biologiques et minérales.
Les artefacts (petit mobilier,
outils, pièces de machines composants de systèmes techniques….) de petites
dimensions ont été transportés, reproduits par la technique IBOOUAXOO
ONNEE (Système qui permet d'analyser molécule par molécule la structure
d'un objet et de le reproduire avec précision) Les originaux ont été
renvoyés sur la Terre. Nous conservons de nombreux objets découverts
par nous qui auront un énorme intérêt historique pour vous et que nous
vous restituerons en leur temps.
Nous n'avons emmené sur UMMO aucun humain
de la terre. Il ne nous est pas possible pour des raisons d'incompatibilité
biologique de projeter une expérience de fécondation mutuelle entre
un humain de la Terre et un autre de UMMO.
Quelques uns de vos frères de différentes nationalités,
au cours des dialogues téléphoniques que nous entretenons avec eux,
nous ont demandé une intervention ou au moins une orientation qui permette
de modeler une société comme celle de la Terre, abruptement disloquée
qui génère une multitude de sources de souffrance physique et morale
pour ses composants.
Il semble évident qu'un apport vous révélant des formules
quasi-magiques pour combattre des maladies aussi graves que les altérations
atypiques des tissus, les graves cardiopathies ou les attaques virales
du système immunitaire comme dans le cas que vous appelez l’immunodéficience
acquise (Syndrome de) des formules technologiques pour produire économiquement
de l'énergie de manière non polluante, des schémas biotechnochimiques
pour la production massive et bon marché de protéines et de lipides
alimentaires, et des systèmes pratiques de gouvernement qui permettent
une configuration sociale en accord avec la justice distributive et
le respect des droits fondamentaux…. permettraient de restructurer une
humanité qui pourrait presque se comparer à un eden.
Vous pouvez être tentés de voir en nous des anges
rédempteurs ou de nouveaux messies capables de vous libérer de la faim
et la misère, de l'oppression, de l'injustice et de la méchanceté de
vos congénères.
La contradiction avec notre inhibition consciente,
en est plus paradoxale, incompréhensible et apparemment égoïste,
d'autant plus que nous devons admettre en toute honnêteté que
nous possédons de telles formules, que nous pourrions en principe vous
céder.
Notre biotechnique a dépassé l’époque dans laquelle les maladies nous
accablaient comme chez vous. Le contrôle génétique de nos tissus et
les systèmes pour dominer tout organisme viral ou mononucléaire infectieux,
c’est-à-dire que tout agent pathogène est surpassé depuis longtemps.
Nous pouvons aisément produire de l'énergie, en confinant
(JPP a écrit ici: " en synthétisant
et en confinant" )
de l'antimatière en suspension antigravitationnelle
à l'intérieur d'une enceinte sous vide et en libérant graduellement
sa masse, en la faisant percuter une masse équivalente de matière ordinaire,
canalisant ensuite l’énergie résultante après le processus de fusion.
Avec une telle source d'énergie la transmutation d'éléments
chimiques ne pose pas de problème. Nous pouvons d'autre part produire
avec une grande économie des ressources, non seulement des protéines
mais n'importe quelle masse moléculaire (Fer, Titane, Césium, Pentane,
Hémoglobine, dérivés complexes du Silicium et du Germanium…) à partir
de matières premières aussi simple que l'eau, l'Oxygène, ou le sable
et plus encore ; nous pouvons produire les quantités nécessaires de
tout artefact ou objet (Outillage, meuble, œuvre d’art, aliment élaboré)
au moyen du système déjà cité iboouaxoo onnee. Il nous suffit de disposer
d'un modèle original. L’appareil émetteur explore molécule par molécule
leurs dispositions spatiales, couche par couche moléculaire et l’information
est envoyée à de multiples récepteurs qui reproduisent à grande
vitesse et également couche par couche la structure originale.(JPP
a écrit ici: " Il nous suffit simplement de disposer de
l'original, de l'analyser atome par atome, puis de créer un double
parfait atome par atome, en créant ceux-ci par nucléosynthèse
à partir d'un produit aussi simple que l'azote de l'air et en
les acheminant à la place qu'ils doivent occuper dans le clone
de cet objet " ) Cette technique constitue
l'architecture principale de notre système productif de biens de consommation
et de production. Ses coûts sociaux sont minimes et l'énorme capacité
de génération des produits les rend accessibles à tous mes frères de
UMMO. Le problème de la faible offre de biens
qui sur OYAGAA provoque de brutaux déséquilibres distributifs à cause
de la pénurie et de l'enchérissement subséquent de ceux-ci, nous l’avons
dépassé depuis très longtemps.
Evidemment nous sommes aussi parvenus à modeler un système
d'organisation sociale monolithique non affecté par la division de nationalités
et de formes linguistiques d'expression et régi par des formes de gouvernement
hautement rationalisées qui empêchent toute tentation de dérive totalitaire.
Un panorama semblable a de quoi être pour vous un modèle
enviable à plagier et il peut se révéler décevant pour vous que nous
nous refusions à vous transférer des canons si idylliques capables apparemment
de transformer OYAGAA (TERRE) en un paradis.
Nous vous invitons à réfléchir longuement sur cette
hypothétique possibilité et à découvrir la grande tromperie qu’entraîne
cette illusion évanescente.
En tentant d’abréger notre raisonnement, il est évident
que si le cerveau de l'OEMII de la Terre était l’équivalent du nôtre
, le transfert de notre modèle socioéconomique, technologique et
culturel serait pleinement possible (que ce soit opportun est une
autre chose). Le transfert devrait se faire avec lenteur pour éviter
de dangereux déséquilibres, mais à la fin, cela rendrait possible la
conformation d’un Réseau, très semblable au nôtre.
Observez cependant que même dans ce cas hypothétique
(encéphale identique) un tel transfert serait inutile et vide de
sens, car sans nécessité que nous vous apportions l’information,
l'intelligence collective et la disposition harmonique des cerveaux,
vous permettrait d'arriver à un tel résultat par vous-mêmes sur une
période équivalente.
Mais l'erreur intrinsèque d'un tel raisonnement apparaît
dans toute sa clarté si vous considérez qu'à un stade donné de l'évolution
cérébrale il est impossible d'assimiler des schémas et des règles de
comportement avancés sans compromettre gravement la stabilité du réseau
social planétaire.
Précisément, la terrible tragédie de OYAGAA est centrée
sur la disharmonie, très étrange pour nous, que l'on observe entre les
différents cerveaux qui composent l'ensemble des OEMMII votre Humanité.
Dans la presque totalité des astres froids que nous
connaissons, y compris le nôtre il existe des différences neurophysiologiques
à l'intérieur du même schéma cérébral Ceci implique que les niveaux
d’intelligence et de réponse émotionnelle des divers individus du réseau
soient inévitablement différents. Mais cependant la dispersion n'est
pas excessive. Les sujets affectés par des traits psychoneuronaux atypiques
(très en dessous ou très au dessus de la moyenne) sont vraiment rares.
Parmi vous, la distribution est non seulement affectée
d’une énorme dispersion mais elle est même multimodale.
En somme, nous évaluons sur Terre, dans le réseau
nerveux des configurations non seulement dispersées mais aussi affectées
de schémas de connexions internucléoganglionnaires différents. Non seulement
représentées par les différentes ethnies mais encore au sein même de
celles-ci.
Ceci n'est pas le plus grave. Le tronc nerveux
aux niveaux du noyau réticulaire central et du fascicule cunéiforme,
du noyau pontique caudal et du noyau réticulaire oral du pont ainsi
que des noyaux déterminés intégrés à l'environnement du système limbique
(Nous utilisons la terminologie familière aux neuroanatomistes de langue
espagnole) présentent des formations dendritiques classifiées
comme paléoencéphaliques dans toutes ses caractéristiques, puisque
ses réseaux engramment des règles d'actions instinctives héritées
de vos ancêtres animaux.
Celles-ci modulent des modèles de conduite agressive
ou compulsive si sensible au milieu physico-biologique (JPP
a écrit ici: " physico-psycho-biologique" )
que non seulement elle empêche la liberté
de décision élaborée dans le cortex, mais elle pousse aussi vers
des pratiques irrationnelles et sauvages très dangereuses, car elles
sont dotées d'une auréole émotionnelle qui était inconnue chez vos ancêtres
mammifères.
Ainsi s'expliquent les conduites sadosexuelles, les
réaction psychopathiques criminelles, la génération de plaisir chez
les tortionnaires, les compulsions délirantes de domination et d'accumulation
de richesses au mépris absolu du droit qui pourrait secourir les frères
préjudiciés…
Dans ces paragraphes, nous ne vous disons rien que vous
ne sachiez déjà.
Une technologie avancée, des méthodes d'organisation,
une assise étendue d'information en somme ; entre les mains
de cerveaux irresponsables dotés d'un réseau neuronal paléoencéphalique
animal, c’est comme d’abandonner un explosif de grande puissance entre
les mains d'un enfant en bas âge.
Vous avez créé un "ordre" social structuré
de manière délirante dans lequel le pouvoir technologique,
le pouvoir économique et l'information sont manipulés non
par les créateurs intelligents de systèmes ou réseaux émergents,
mais par les cerveaux les plus malades ou paléoencéphaliques de la
Société. On arrive même à l'ineptie délirante que les gardiens de
la Loi morale (UAA) ne sont pas des scientifiques honnêtes, mais des
leaders fanatiques de certaines communautés religieuses qui falsifient
les UAA selon leur caprice et leur intérêt.
Le réseau social de OYAGAA est entre les mains de
quelques foyers ou centres détenteurs du pouvoir économique. Toute
idée, création ou modèle, qui au début peut être généré par un autre
OEMMII ou groupe d'OEMMII étranger à ces centres de décision, finit
immanquablement par être phagocyté, contrôlée par ces premiers.
Si l'idée, la philosophie, le système, le modèle scientifique, la conception
technologique n'est pas utile à leurs intérêts, ou tend à
juguler leur capacité de pouvoir, à fissurer l'édifice de fer sur
lequel est assise leur capacité de domination religieuse, politique
ou économique, ces centres disposent de moyens puissants pour discréditer
l'idée, bloquer le développement du modèle, empêcher sa diffusion
ou son application.
Si l'idée ou le modèle de réseau leur est utile pour
renforcer leurs intérêts, ils dénaturent brutalement le cadre d'application,
et un système qui pourrait trouver comme application de résoudre la
misère de ce que vous appelez le "tiers Monde" ou freiner
l'avance ou la diffusion de quelques graves maladies, ou pallier le
manque d'énergie et procurer ainsi de meilleurs niveaux de bien être,
sont rapidement canalisés vers des applications technologiques voisines
du pouvoir militaire quand elles ne sont pas monopolisées par de gigantesques
réseaux industriels afin d’obtenir le maximum de profit, en générant
d’intenses désordres dans les marchés et en annihilant la possibilité
que d'autres systèmes qui pourraient bénéficier au Réseau social atteignent
un plein développement.
Nous sommes en train de vous présenter dans un éclair
fugace, une image qui vous est familière de l’environnement dans lequel
vous vivez. Comment pouvez-vous nous demander aussi naïvement de
vous fournir cette information classée, capable d'être technologiquement
transformée ? Combien de temps croyez-vous qu'elle resterait
entre vos mains ? Que croyez-vous qu’en feraient les politiciens
corrompus, les patrons cupides, les réseaux d'espionnage et les infrastructures
militaires ?
Au stade actuel de la Science, au sein de OYAGAA, une
restructuration de votre politique dirigeante, selon des modèles éthiques
dont la connaissance vous est familière et qui se changerait en une
planification efficace de l'économie, une socialisation des ressources,
une orientation efficace de la recherche et des applications technologiques,
résoudrait efficacement la plupart des problèmes urgents que nous vous
avons décrits dans les paragraphes précédents.
Le problème ne s'appuie pas sur un manque de ressources,
ni sur une petite dotation de modèles scientifiques qui pourraient rendre
possible le changement
Si une telle restructuration de votre ordre social est
encore utopique et irréalisable, ceci est précisément dû aux graves
déficiences structurelles de vos cerveaux.
UN MODELE DE SOCIETE PLUS SCIENTIFIQUE
EST-IL CEPENDANT POSSIBLE ?
Une première analyse de cette situation,
vous révélera qu'une telle inévitabilité n’est
pas déterministe et rigide, et que
des voies fragiles existent qui pourraient rendre
possibles certaines manières d'atténuer une réalité aussi déprimante.
Avant tout, abandonnez toute espérance que se produisent à court terme
dans vos génomes des mutations qui permettraient de remodeler le cerveau
en éliminant les réseaux nocifs qui vous poussent à une conduite aliénante.
Il est également encore lointain le jour où vous pourrez procéder à
une mutation contrôlée grâce à des techniques de biotechnocontrôle génétiques.
(JPP a rajouté ici: "
Politique de l'UMMOAELEWE (gouvernement général de
Ummo) vis-à-vis de la Terre" qui n'apparait pas sur
l'original)
Une solution réelle, s'appuierait sur l’intervention
d'un Réseau social intragalactique comme le nôtre, ou d'un autre
qui peut vous visiter, qui consentirait à contrôler les ressorts
du pouvoir sur OYAGAA.
Il nous serait facile de nous présenter à vous en apportant
des preuves de notre identité. Nous détenons des moyens de coercition
puissants et une expédition n'excédant pas dix-huit fois, le noyau des
frères qui en ce moment visitons OYAGAA (JPP
a écrit ici: " Un groupe n'excédant pas dix-huit
individus (l'effectif actuel de notre corps expéditionnaire sur
Terre) " ) ; pourvus de moyens techniques que nous
apporterions de manière professionnelle de UMMO, suffiraient à "mettre
à genoux" les dirigeants politiques des nations les plus puissantes
de vos continents et à nous transférer le pouvoir de décision. Les entités
nationales plus petites ne s’aventureraient pas à opposer la moindre
résistance car nous disposons de moyens expéditifs pour juguler toute
résistance même sans nécessairement provoquer la mort des opposants.
(JPP a écrit ici: " ... sans
provoquer la mort des opposants" )
On procèderait immédiatement à la réunification des
différentes nationalités, en une seule entité planétaire, dont le sommet
directeur, pendant le temps que durerait le processus de reconfiguration
serait régi par mes frères nommés par UMMOAELEUUEE (centre dirigeant
de UMMO). L'immense majorité des organes directeurs subalternes au sein
d'une infrastructure organisationnelle que nous imposerions selon un
modèle scientifique développé spécialement pour vous, serait dirigée
par des cerveaux d’OEMMIS de la Terre sélectionnés par nous en fonction
de leur structure neurocorticale. Ces humains suivraient au préalable
un cours rapide de formation dans des centres conçus par mes frères.
Cela exigerait que dans une première étape de reconversion beaucoup
des gouvernants actuels restent en place sous les ordres très sévères
de notre gouvernement central. D’autres dirigeants seraient remplacés
par des humains caractérisés par leur honnêteté.
Cette première étape serait caractérisée par l'apparition
de nombreux foyers de résistance, de sabotage et d'hystérie nationaliste
et religieuse. Mais à ce stade nous aurions multiplié nos effectifs
provenant de UMMO. Des équipes spécialisées assistées par mes frères
et qui constitueraient une inévitable (dans cette étape) force policière
convergeraient vers les foyers de subversion. Nous disposons d'agents
paralysants de l'activité neuro-encéphalique qui ne provoquent pas de
lésions. Nous isolerions ces OEMMII qui passeraient par des centres
de rééducation. Il est évident que le traitement global qu'ils subiraient
serait très agréable pour eux.
Notre programme d'éducation pour les OEMMII de OYAGAA
exigerait une première séparation rigoureuse des enfants de leurs progéniteurs,
pour empêcher leur contamination idéologique.
La formation serait centrée sur une matrice culturelle
qui comprendrait exclusivement des modèles de connaissances topiques
de OYAGAA en excluant rigoureusement les apports en provenance de UMMO.
Nous sélectionnerions simplement les éléments scientifiques, historiques,
idéologiques, artistiques et folkloriques que mes frères dirigeants
considèreraient comme non viciés par de graves erreurs conceptuelles.
L'idéologie religieuse se concentrerait sur les enseignements moraux
de JESUS de Galilée (JPP a écrit
ici: " L'idéologie religieuse serait réorientée
sur la base de conceptions métaphysiques à caractère
scientifique " ). Le reste des croyances serait
enseigné dans le contexte des sciences historiques. Seraient respectées
les coutumes ethniques et locales qui ne nuiraient pas à l'évolution
culturelle, à la santé et à la structure harmonieuse du réseau social.
Bien sûr les moyens et les instruments techniques conçus
pour la destruction, aussi bien stratégiques que conventionnels, seraient
éliminés en reconvertissant la partie utilisable, à des fins civiles.
On procéderait à une lente reconversion de l'infrastructure
industrielle en suivant les patrons d'un modèle
économique fondé sur la socialisation du Réseau. Modèle qui serait élaboré
par une convention de spécialistes de OYAGAA sous notre assistance.
La socialisation du parc international
des moyens de production s'effectuerait en passant par des états intermédiaires.
Dans une première étape que vous pourriez appeler coopérative, la gestion
et les bénéfices des entreprises seraient gérés par les travailleurs
de la chaîne de production, en fonction d’un modèle de répartition des
fonctions et des utilités basé scientifiquement sur des paramètres psychophysiques
des membres de cette entreprise.
Lentement on progresserait vers les
étapes intermédiaires où la gestion, la coordination et les bénéfices
seraient dirigés par des Réseaux sociaux régionaux, dirigés par un cercle
d'OEMMII élu démocratiquement, mais contrôlés en temps réel par tous
les citoyens..(Tout
ce qui précède en rouge a été "résumé"
par JPP en : " On procèderait à une lente reconversion
de l'infrastructure industrielle. )
Comme parallèlement un progrès notable
aurait été réalisé dans la construction d'un réseau de traitement de
l'information capable de s'auto-programmer ; La troisième étape
permettrait une centralisation de l'activité économique selon un modèle
fiable de gestion planétaire et de distribution des revenus basée sur
des paramètres économétriques, météorologiques, sociaux, de pollution
environnementale etc obtenus en temps réel qui permettraient de modifier
quotidiennement la direction rationnelle de cette politique au niveau
planétaire.
Durant ces phases, la fonction de mes
frères se limiterait à un tutorat d’assistance, permettant la liberté
de gestion économique et politique par des organismes dirigeants désignés
(Démocratiquement dans les couches moyennes et inférieures, grâce à
une sélection intellectuelle opérée par nous dans la coupole internationale)
mes frères se limitant à signaler les erreurs les plus graves qui impliqueraient
une certaine transcendance dans leurs applications.
Nos indications ne seraient pas astreignantes.
Le régime d’interaction entre les deux foyers de direction (La commission
de UMMO et le Gouvernement central de OYAGAA) se limiterait à des flux
d'information vers mes frères et à une assistance consultative de notre
part.
Cependant les forces de coercition (policières)
seraient dirigées par UMMO, et assistées par des spécialistes de notre
astre froid.
Ses agents seraient exclusivement humains, dotés de
technologie spéciale (Ce serait une des très rares exceptions, où nous
apporterions nos propres techniques) coercitive capable de paralyser
la fonction neurocorticale pour un temps déterminé de tous les mammifères
se trouvant dans un rayon d'action donné. (On tolérerait l'usage de
cette technologie mais pas la révélation de ses bases technologiques,
c'est pourquoi il a même été prévu que l'équipement s'auto-détruirait
au cas où l'on tenterait de le soustraire de notre contrôle.
Nous imposerions en outre un nouveau modèle de cadre
juridique et un modèle de réhabilitation pénale fondée sur des systèmes
modernes et puissants de traitement psychologique et de rééducation,
fondés sur des patrons moraux inspirés de la véritable doctrine de
Jésus de Galilée. (JPP a écrit ici:
" fondés sur des régles morales dérivant
de conceptions métaphysiques débarassées de leur
contenu parasitaire ou fantasmatique" )
Dans la première étape de notre intervention,
comme vous pouvez le constater notre niveau de direction serait presque
total. Nous avons prévu la décroissance progressive de cette fonction,
en transférant petit à petit l'autorité aux organismes de OYAGAA,
au fur et à mesure que se serait structuré un nouveau modèle de Société
civile planétaire, plus
en accord avec les lignes scientifiques et les enseignements moraux
de votre OEMMIIWOA (Jésus)
(JPP a écrit ici: " plus harmonieux"
)
DANS QUEL CAS INTERVIENDRONS
NOUS.
Ce modèle d'intervention est évidemment hypothétique.
Nous; ne consentirons jamais à interférer dans votre évolution sociale
dans les conditions d'un progrès naturel.
Seulement nous pensons sérieusement intervenir, et
nous ALLONS LE FAIRE au cas où nous détecterions un risque imminent
d'une destruction de votre Réseau Social par une conflagration nucléaire
ou par des armes à plasma ou biotechnologiques (nous ne pensons
pas qu'un conflit avec usage exclusif d'armes chimiques puisse provoquer
l'extinction de l'espèce).
Nous insistons : Seule la certitude que l'OEMII de
OYAGAA pourrait disparaître de son Astre froid, nous fournirait l'argument
moral d'une intervention et déjà dans ce cas, nous ne nous limiterions
pas à stopper le processus d'annihilation mutuelle, mais notre groupe
expéditionnaire augmenté en effectifs et moyens techniques les mettrait
en action selon le schéma résumé dans les paragraphes précédemment dactylographiés.
Il est difficile d'évaluer le niveau probabilistique
pour que cela se produise, ce qui en outre fluctue avec le temps. Mais
nous avons déjà préparé, dès 1975, un plan d'urgence définitif,
(bien que son modèle soit périodiquement modifié dans ses lignes non
structurelles) qui commença à prendre forme à partir du moment où DEEII
98, fils de DEEII 97 et YU 1, fille de AEIIMM 368 avertirent le UMMOOAELEUEE
que l'évolution turbulente de l’humanité de OYAGAA rendrait prévisible
bien que peu probable la nécessité d'une intervention de notre part
pour éviter un suicide collectif qui entraînerait même l'élimination
des espèces animales inférieures.
Il fut immédiatement convenu d'adopter les mesures pertinentes
pour prévenir cette urgence.
PREMIEREMENT construction en différents points de
OYAGAA de bases souterraines dotées de l'étanchéité et de moyens d'autoapprovisionnement
en oxygène, eau, énergie et produits d'alimentation. De telles installations
furent conçues pour servir de refuge à nos expéditionnaires et à un
contingent réduit d'OEMMII de OYAGAA, qui assurerait leur survie en
cas d'attaque généralisée avec des armes à plasma, nucléaires et biotechniques,
y compris toute la période postérieure du risque d’agression physique
et biologique du milieu contaminé (dont la période peut s'étendre à
environ cinq cents jours terrestres)
DEUXIEMEMENT Equipement de ces bases avec du
matériel technique spécialisé pour le cas où nos expéditionnaires se
verraient forcés à prendre le contrôle du pouvoir international. Dans
ce cas il a été prévu une première phase dans laquelle mes frères qui
se trouveraient sur Terre à ce moment-là prendraient le contrôle direct
des nations suivantes
·) Etats Unis d'Amérique du Nord
·) Union des Républiques Socialistes Soviétiques
·) Canada
·) Grande Bretagne
·) République Populaire de Chine
Immédiatement une seconde expédition de renfort partirait
de UMMO avec d'importantes dotations de matériel technologique de coercition,
afin de consolider leur contrôle sur les nations suivantes : République
Fédérale d'Allemagne, Italie, Roumanie, Albanie, Espagne, France, Japon,
République du Vietnam, Corée du Nord, Angola République Sud Africaine,
Israël, Iran, Pakistan, Australie, Nouvelle-Zélande, Indonésie, Mexique,
Paraguay, Chili, Union Indienne, Brésil.
On permettrait durant un temps court la souveraineté
aux pays restants, en leur communiquant de manière coercitive de procéder
au démantèlement de leur infrastructure militaire, (excepté leur force
policière), jusqu'à ce que leurs dirigeants soient progressivement contrôlés
par mes frères.
TROISIEMEMENT Déjà, alors que l'arrivée en France
de nos premiers frères expéditionnaires était très récente et une fois
que la connaissance de la langue française permit de connaître les grandes
lignes de la structure socioculturelle des habitants de OYAGAA (dans
notre langue Oyagaa signifie ASTRE FROID DU CARRE), ceux-ci considérèrent
sérieusement la possibilité d'une destruction massive de la vie sur
votre géosphère. Les spécialistes de physique théorique de la République
Populaire de Chine n'avaient pas non plus encore élaboré une ébauche
du modèle théorique d'une arme à plasma, l'arsenal mondial des bombes
à fission était réduit et limité à de rares nations et les Etats-Unis
et l'Union Soviétique (avec une certaine avance dans la recherche technique
de la part de la première nationalité) se trouvaient en plein développement
de la mise au point des armes de fission-fusion.
Quand nous pûmes avoir accès aux archives secrètes du
D.B. français (Services de renseignement) mes frères s'aperçurent que
le développement technique futur d'armes nouvelles et plus sophistiquées
était déjà inévitable, que la connaissance théorique dans les domaines
de la Physique quantique et de la Génétique moléculaire déboucheraient
fatalement avant quarante-cinq années terrestres sur une dotatoin des
moyens destructifs dont découlerait une destruction de la Biosphère
terrestre au cas où vous ne parviendriez pas à perpétuer un équilibre
socio-politique, facile, à altérer à tout
moment si on tient compte des caractéristiques neuroencéphaliques de
l’espèce Homo Sapiens Sapiens.
Pour notre part on modela immédiatement un premier projet
embryonnaire d'intervention pour cas limite. Nous étions seulement venus
disposés à réaliser une étude secrète de la biomasse intelligente et
du substrat biologique et géologique qui l'encadraient et déjà vous
nous créiez une complication (JPP a écrit
ici: " et vous deveniez pour nous un problème" et
il rajoute en note " cette phrase est tout à fait extraordinaire").
L'urgence n'existait pas en cette décennie des années cinquante. Une
annihilation de l'espèce humaine était alors impossible, mais nos données
prospectives, signalaient clairement que le danger deviendrait une réalité
passé un certain temps ainsi qu'il en est advenu.
Le plan d'intervention (Aujourd'hui
déjà remanié) envisageait la nécessité de placer sous notre supervision
et contrôle rigides, les organismes dirigeants du Réseau Social
terrestre déjà divisé et hétérogène.
Il se posait un grave problème. Au
cas où l'on déciderait une rapide opération de neutralisation des organes
opérationnels gouvernementaux nous ne pouvions pas compter sur un
système de connexion sociale avec le Réseau de la Terre.
Nous désirons préciser avec les nuances
pertinentes, cet aspect délicat.
(PARTIE "A" reportée
en fin de document par JPP. Seulement ce qui est en noir) Avec
un modèle sanglant d'intervention,
il n'est pas nécessaire, dans un premier stade, de créer des systèmes
de relations. On procède à l'élimination physique
ou on capture la coupole de pouvoir de l'ennemi, on neutralise ses
moyens défensifs, en les paralysant par le démembrement de ses communications,
l'annihilation du commandement et la destruction de ses sources d'approvisionnement,
de ses unités opérationnelles et de ses services d'information. En
lui imposant ensuite un nouveau centre d'autorité, un strict code
de justice et des méthodes répressives tendant à dominer la population
par la terreur en tuant dans l'œuf toute début de résistance.
Il est évident que si notre UMMOAELEUEE
adoptait une décision draconienne tendant à usurper le gouvernement
de OYAGAA pour le bien de son humanité, notre stratégie et notre
modèle gouvernemental seraient très éloignés de cette hypothèse violente.
Nous sommes certains qu'il ne suffira
pas de présenter notre identité et d'apporter des preuves de notre
capacité coercitive devant les organismes internationaux, pour que
les gouvernements abandonnent leur souveraineté, et c’est pourquoi
nous ne perdrions pas non plus un temps précieux en le tentant,
ce qui équivaudrait à augmenter la réactivité immédiate avec une réponse
de résistance.
Notre concept de neutralisation implique certaines méthodes
d'accès au pouvoir sans provoquer des traumatismes graves à l'organisation
socio-économique, à travers des techniques sociopératives qui
refouleraient la panique collective ou la paralysie de l'activité
du travail et des rouages administratifs.
Naturellement, nous ne pouvons pas
vous révéler les bases de ce projet, qui implique des techniques
de contrôle à distance des structures neuronales amygdaliennes,
lesquelles jouent un rôle déterminant dans la conduite agressive,
et des réseaux dendritiques corticofrontaux et de l'hippocampe, qui
bloqueraient respectivement la capacité de décision et la mémoire
de ceux de vos frères impliqués dans les centres de décision de l’Etat.
[5]
[Note 5] Nous vous répétons que nous ne pouvons pour des raisons évidentes, vous
révéler notre plan plus que d'une manière très superficielle. Oui,
nous pouvons vous avancer que nous avons disposé le processus de manière
que dans la première phase, les dirigeants de l’Etat affecté par notre
intervention, ignorent l’origine de la manipulation de leurs cerveaux.
L’OEMMII affecté prend conscience
de quelques altérations de son état mental qu’il attribue à des signaux
de stress, épuisement anorexique, dépression, symptômes d’anxiété,
de fugaces lipothymies suivies d’amnésie et des épisodes de courte
durée qui vous rappelleraient, à vous, le syndrome de Ganser.
Les désordres seront si rapides
que le gouvernant affecté, décidera certainement de les oublier ou
feront l’objet d’une triviale consultation dans les cliniques spécialisées,
qui probablement ne saisiront pas leur véritable pathogenèse.
Dans ces conditions, le
libre arbitre est totalement annulé, et les modèles de décision
seront soigneusement manipulés pour ne pas éveiller des soupçons chez
les cadres gouvernants de rang inférieur.
C’est ainsi que nous préparerons
la phase BIIEYUU XOOE . Dans celle-ci mes frères demanderont audience
à ces chefs d’Etat, en les forçant à la concéder, dans le cours d’une
crise générée par nous et soigneusement contrôlée. Au cours de ces
entrevues, mes frères montreront ouvertement leur identité en apportant
des preuves concluantes, et exigeant un transfert progressif
et secret du pouvoir. Vos frères dirigeants, en pleine conscience
de la gravité de la situation, mais sans capacité neuropsychique pour
décider par eux-mêmes, consulteront leurs propres cabinets, la
majorité de leurs membres aura subi une manipulation corticonucléaire
similaire.
Dans une phase immédiatement
postérieure, la zone des cadres gouvernementaux contrôlée par nous
sera suffisante pour que toutes les décisions importantes des chambres
législatives et de l’exécutif, se trouvent opérationnellement sous
notre censure, et que les plus importantes lignes du pouvoir
dirigeant du cabinet soient dictées par mes frères.
Le cadre du pouvoir judiciaire
ne sera pas affecté dans ces premières phases, pas plus que les autorités
ecclésiastiques ni les autres institutions indépendantes de l'état.
Parvenus à ce point nous
pensons que vous pourriez être pris d’une peur sérieuse. Sera-t-il
certain que nous OEMMII de UMMO ne sommes pas en train de préparer
un coup d’état planétaire pour supprimer vos libertés et atteindre
la domination des structures du pouvoir, avec l’excuse de vous délivrer
d’une hécatombe ?
Nous autres sommes conscients
que ce n’est pas notre intention, mais nous comportons l’impossibilité
de vous donner des preuves de notre attitude droite.
Réfléchissez néanmoins que
si nous étions en train de planifier secrètement une usurpation impérialiste
du pouvoir sans cause justifiable, il n'y aurait aucune raison
de vous avertir en ces pages, alors qu’il est tout aussi certain que
notre capacité technique de contrôler vos organes exécutifs, rendrait
inopérantes toute tentative de s’opposer à ce projet, et que la fuite
de ces pages dactylographiées vers des organismes gouvernementaux
des USA, URSS, Grande Bretagne… ne servirait à rien.
Nous invoquons de toute façon
votre capacité intuitive. Vos frères ont reçu depuis longtemps des
informations au sujet de notre culture. Nous croyons que vous nous
connaissez suffisament pour vous être forgé une idée schématique de
notre moralité.
Soyez certains que nous
n’allons pas recourir à l’usurpation de votre pleine souveraineté
(Même en sachant que le concept de souveraineté populaire est
faux dans vos pays) si n'intervient pas un terrible danger d’extinction
de l’humanité.
Si ce cas se présentait :
PREMIEREMENT Nous solliciterions de vous uniquement la fonction
d' exercer comme intermédiaires. DEUXIEMEMENT Nous demanderions
des responsabilités à ceux qui n’ayant pas gardé le secret, auraient
rendu difficile une action clairement focalisée à sauver l’espèce
hominidée.
TROISIEMEMENT Une fois
généré un nouveau modèle de société fondé sur des bases morales
inspirées par l’OEMMIWOA Jésus de Galilée, nous cèderions graduellement
le pouvoir à des organes exécutifs et législatifs, judiciaires et
de tutelle morale composés exclusivement par des OEMMI de OYAAGAA.
Notre mission se serait
centrée à structurer ce modèle et à créer un Réseau international
de processeurs d’information basé sur de nouvelles technologies
de commutation et de propagation de données, (photoniques) dont il
n’est pas nécessaire de vous expliquer la fonction orientée vers le
développement de modèles de décision (Gouvernement, recherche, contrôle
économique… ).
Nous ne pouvons pas vous
éclairer sur les probabilités d’un tel événement. Mais vous devez
comprendre que si ceci était très incertain, nous ne vous aurions
pas remis ce RAPPORT. [Fin de note 5]
On exercerait immédiatement un contrôle
sur les moyens de diffusion, pour moduler pas à pas l’information
publique au sujet de ce processus de changement de manière qu'il soit
assimilé progressivement sans causer d’alarme.
(JPP a inséré ici:
" fondés sur des régles morales dérivant
de conceptions métaphysiques débarassées de leur
contenu parasitaire ou fantasmatique" )
Cette conscienciation graduelle de
la Société, irait jusqu'à un seuil où les OEMMII les plus intelligents
avertiraient que la souveraineté serait passée sous le contrôle d'une
entité aliénanthrope . (Fin
de PARTIE "A" reportée en fin de document par JPP)
Parvenus à ce point nous aurions
besoin de l'aide d’êtres humains de la Terre qui agiraient comme relais
entre mes frères et vos compatriotes, dans un double but de tranquilliser VOS frères
en leur présentant une image réelle de nos buts, de notre honnêteté,
de nos intentions Pacificatrices, et les raisons puissantes qui nous
auraient amenés à usurper provisoirement votre souveraineté.
Ils nous aideraient à percevoir avec
plus d'impartialité et de précision, les besoins, les frustrations,
les niveaux d'anxiété et d'angoisse, les possibles situations d'injustice
qui découleraient de notre action, pour s'occuper de les corriger
sur la base des données apportées par ces OEMMII.
Vous devez comprendre que la capacité
de communication entre deux humanités, l’une étant mise momentanément
sous le joug et bien que cela soit sans effusion de sang par l’autre
serait nulle, si nous n’avions pas prévu cette contingence.
(JPP a reporté
ce paragraphe dans la PARTIE A) Les cotes d’angoisse collective,
en vous sentant dominés par des extraterrestres inconnus, provoqueraient
des attitudes sociales compulsives d'agressivité, de terreur, de suicide,
d'effondrement de l'organisation et de l'activité de la Nations, la
paralysie sociale et des flux migratoires incontrôlés. Il ne suffirait
pas que nous mêmes apparaissions sur les écrans de vos décodeurs de
Télévidéo, pour essayer de vous tranquilliser, puisque la capacité de
persuasion d'un être catégorisé comme "ennemi usurpateur"
est minime.
Conscients de cette nécessité hypothétique, mes frères
décidèrent de former dans diverses nations, des très petits groupes
d’OENMMII de la Terre, pour [1] les préparer face à cette future
éventualité en toute discrétion.
(JPP a écrit ici
en remplacement de l'ensemble de cette phrase: " Nous créâmes
donc un réseau de groupes de contactés comportant en moyenne
de seize à cinquante individus " .. que l'on retrouve
dans la note 1 sous la forme "Cette expérience a été menée à bien
(et son processus se poursuit), dans différentes nations de vos géocontinents.
Il s'agit de néoformations sociales qui ne comptent pas plus de cinquante
OEMMII pour le groupe le plus grand et de six OEMMII pour le plus réduit
(incluant des GEE et YIIE, hommes et femmes). Leurs membres se sont
engagés à conserver un secret absolu sur nos comunications, comme dans
des compartiments étanches." )
[note 1]
Pendant les premiers jours sur OYAGAA nous avions pris la décision de
créer des bases souterraines et de n'établir aucun type de contact avec
les habitants du Pays France. Quand mes frères découvrirent qu'en utilisant
des vêtements semblables aux habits des OEMMII de la Terre, ils pouvaient
passer inaperçus dans les cités, le contact se fit habituel mais la
stricte norme de ne pas nous identifier fut maintenue.
Nous commençâmes rapidement
nos travaux archéologiques. Nombre de pièces de valeur furent découvertes
et des objets localisés en musées furent façonnés en image. Toutes les
pièces obtenues ont été envoyées sur UMMO pour être reproduites avec
exactitude et pouvoir ; dans le futur ; vous être restituées.
Mais ceci nous créait un problème
d’ordre éthique. Nous nous sentions obligés à vous payer de retour
en vous apportant en échange, une information sur notre culture.
Cela fut au début la raison
pour laquelle on décida d'établir un pont de données avec des OEMMII
sélectionnés de OYAGAA.
Notre schéma concernant l'accueil
que recevraient ces rapports était celui-ci :
"Une
matrice de données (Rapport) peut être seulement acceptée si son information
peut être avalisé au moyen de preuves. Si nous apportions la matrice,
mais non les preuves, un cerveau intelligent l'archiverait provisoirement
sans le mettre au rebut, mais sans non plus l'accepter comme valide,
jusqu'à ce qu'il soit complété par des démonstrations ultérieures. De
cette manière nous protégerions notre existence parmi vous (puisque
notre témoignage ne serait pas pleinement accepté) mais nos apports
sur des thèmes scientifiques, idéologiques, historiques.... seraient
provisoirement respectés."
Un tel schéma rationnel; cependant
n'était pas transférable à votre neuroencéphale, comme il fut
démontré. Beaucoup de vos frères jetèrent avec mépris les feuilles dactylographiées
et d'autres de manière surprenante, acceptèrent notre identité, sans
preuves, avec une crainte presque superstitieuse ou un profond respect
que nous ne méritions pas, puisque les lettres ne contenaient pas d'apports
convainquants consistants. Des frères à vous d'Australie et du Canada
en arrivèrent à abandonner leurs croyances pour se plonger dans un culte
à notre civilisation et même à nos corps ; ce que nous ne pouvions tolérer
; car nous savions que cette attitude mentale leur était dommageable.
C'est pourquoi nous ne pûmes qu'en venir à de douces mesures correctrices
(Vous devez continuer à être fidèles à votre paradigme scientifique
et à votre religion et à votre culture).
Par contre nous avons immédiatement
saisi la nécessité que ceux-là de vos frères se fondent en groupes
réduits, engagés à conserver un secret absolu et à étudier
avec attention les fondements de notre culture non pour l'assimiler
en substitution de la leur propre mais comme information anthropologique
émanant d'une autre civilisation intragalactique.
Mais pour nous il était
très important d'initier un cycle d'expériences passionnantes anthropo-cosmologiques.
Vous savez que dans nos recherches sur le Multicosmos, nous avons
découvert la très importante fonction du cerveau humain dans l'Univers
multiple.
Un comportement neuropsychique
fondé sur les normes UAAA (morales) exerce des actions singulières
sur l’Univers ,sur son BUAWEE BIAAEII et sur la structure de la matière
cosmologique. (Ces principes vous pouvez les étudier dans les rapports
que nous vous avons remis)
Vous ne pouvez vous imaginer
l’importance d’un micro-réseau, structuré sur des bases sociales
capables de produire de la néguentropie, c'est-à-dire sur des
fondements éthiques.
Mesurer scientifiquement les
effets d'un réseau social réduit, sur un autre Astre froid, sur le B.B. de ce Réseau planétaire
avait pour nous une valeur incalculable.
Il était licite pour nous de
réaliser cette expérience, puisqu'exhorter un petit groupe très réduit
d'humains de OYAGAA à établir des liens d'amitié fraternelle,
d'amour par l'étude et une conduite éthique, sans renoncer
à leurs idées religieuses, patriotiques ou scientifiques ne violait
aucun principe moral.
Cette expérience a été menée à bien
(et son processus se poursuit), dans différentes nations de vos géocontinents.
Il s'agit de néoformations sociales qui ne comptent pas plus de cinquante
OEMMII pour le groupe le plus grand et de six OEMMII pour le plus réduit
(incluant des GEE et YIIE, hommes et femmes). Leurs membres se sont
engagés à conserver un secret absolu sur nos comunications, comme dans
des compartiments étanches.
Après avoir initié ce projet,
apparut une autre nécessité pressante de compter sur ces OEMMII pour
une autre possible future mission. C'est de cela que parle le présent
rapport. [fin note 1]
De puissantes difficultés se présentaient
pour aborder ce projet avec succès. Nous ne pouvions pas choisir
des politiciens éminents, puisqu'ils étaient précisément ceux qui
devraient être neutralisés dans une éventualité de ce genre.
Le profil de l’OEMMII choisi exigeait aussi qu’il
ne fut pas un éminent homme de Science, puisque sa capacité de critique
exigerait des preuves de notre identité, preuves définitives que nous
ne pouvons pas vous apporter pour des raisons profondes.(JPP
a rajouté ici un texte qui n'apparait nulle part " A
leur intention nous élaborâmes ces documents de telle manière
que les hommes de la Terre ne puissent pas les exploiter sinon cela
aurait profondément perturbé le cours de votre évolution
planétaire. Nous demandâmes à ces êtres humains
d'étudier les textes que nous leur communiquions en s'abstenant
rigoureusement de se mettre en rapport les uns avec les autres, c'est-à-dire
en fonctionnant comme des compartiments étanches, ce qui nous
permettait d'étudier en vue d'une éventuelle intervention
les réaction des hommes des différents pays de la Terre
confrontés à des informations d'origine extraterrestres"
Il n'aurait pas été non plus possible
de convaincre ceux de vos frères provenant de couches socioculturelles
de bas niveau, puisque leur capacité culturelle déficiente les aurait
empêché de saisir le fond des données que nous leur aurions apportées
et de les comprendre,
D’autre part il était nécessaire que
les humains choisis, fussent relativement insérés dans leur milieu
social. Un politicien ou un scientifique de la Terre est habituellement
déconnecté de son milieu social et ne comprend pas bien ses besoins.
Une personne de bas niveau intellectuel, bien que pouvant connaître
son environnement, n’est pas apte à faire un examen lucide de la situation,
et encore moins, de l’exprimer avec objectivité.
Il était nécessaire de choisir des Oemmi
(hommes de la Terre) des couches sociales moyennes : ingénieurs,
licenciés en disciplines sociales et scientifiques, chefs d'entreprises
de niveau moyen, prêtres et pasteurs de différentes religions modestes
spécialistes des administrations et surtout des médecins, des sociologues
et psychologues, des journalistes et des spécialistes des techniques
de communication.
Leur modèle psychobiologique devait
présenter des traits de personnalités proches d'une intelligence élevée,
ou au moins une conduite morale élevée, des aptitudes ouvertes à la
connexion avec des intelligences intragalactiques, des intérêts pour
divers domaines de la pensée et de la science et une conviction pleine
de la nécessité que l’ordre social doit être fondé sur des règles morales
et scientifiques.
Nous courrions le risque que nos rapports
fussent méprisés comme étant l'œuvre de farceurs ou de personnes affectées
d’idées délirantes, ou dans l'hypothèse inverse, dangereusement diffusés
de manière que nous serions découverts ou que leurs contenus affectent
le devenir social naturel et indépendant de votre Astre froid.
Dans un premier temps nous ne savions
pas vers à qui nous adresser. Nous avons envoyé en France Grande-Bretagne
et Australie nos lettres de présentation à des avocats, des médecins
sociologues et des docteurs en Sciences physiques, noms trouvés dans
des annuaires téléphoniques et professionnels. Lorsque nous tentions
avec nos pauvres capacités phonétiques de vérifier par le canal téléphonique
si le contenu des lettres-rapports avaient fait quelque effet, l’interlocuteur
raccrochait son combiné avec indignation. C’étaient des textes qui nous
avaient coûté beaucoup d’efforts à élaborer, car ce fut seulement en
Australie (à cette époque) que mes frères purent trouver un britannique
qui outre sa langue était familiarisé avec les langues française espagnole,
et qui avait accepté de taper à la machine les textes qu'ils lui dictaient.
Ma sœur UORII 19 fille de OBAA 17, spécialiste
en techniques thérapeutiques parvint en Grande-Bretagne à écrire avec
de vos machine au moyen de ses jointures digitales [2]. Apprit
aussi à dactylographier notre frère bien aimé ADAA 66, qui trouverait
plus tard la mort sur cet OYAGAA, victime en 1957 d’un imprévisible
accident.
[note 2] Parmi les
particularités physiologiques de notre organisme, qui sur d'autres aspects
; bien qu'il diffère quelque peu de la structure humaine que vous avez,
est en traits essentiels similaire à l'anatomique de OYAGAA, figure
notre sensibilité photodermologique.
Nos doigts, dans leur troisième
phalange et dans le derme, possède des capteurs neuro-photocepteurs,
capables de visualiser des images diffuses (pas avec la même résolution
que la rétine) qui nous sont très utiles dans notre activité investigatrice.
Tous les OEMMII de UMMO aussi
bien YIIE (femmes) que GEE (hommes) nous naissons avec cette capacité
sensorielle (les couleurs sont perçues d’une autre manière et avec moins
de netteté).
Mes frères qui doivent utiliser
les doigts pour d’autres fonctions (préhensions) voient ces fonctions
perceptives réduites et mêmes annulées en quelques années (évidemment
on n'éprouve pas de douleur en exerçant une pression digitale) mais
ceux qui se consacrent à l’investigation ont été éduqués à ne pas utiliser
les bouts digitaux, dans les tâches qui impliquent des pressions
intenses sur l'épiderme.
Les tensions musculaires dans
ces zones, accidentelles ou sporadiques, n’exercent pas d’action ana-neurale
sensible sur ces photocepteurs, mais si nous malmenons nos doigts de
manière répétitive par des activités du genre à taper sur le clavier
d’une de vos machines, nous finirions par atrophier notre précieuse
fonction optoneuronale. [fin de note 2]
Du coup nous avons pensé le problème
résolu. Nous emportâmes sur UMMO différentes machines à écrire provenant
de sociétés fabricantes connues et nous les rapportâmes transformées
avec un système transducteur qui permettait de les actionner au moyen
de fluctuations décodées d'un paramètre physiologique.
En Mai 1962 mes frères OBOUU 1 et BIOO
14 se trouvaient dans un hôtel de Melbourne, ensemble avec un de ces
équipements, lorsqu'ils furent avertis que la police avait des soupçons
sur leur identité. Ils durent abandonner précipitamment le bâtiment
en cachant comme ils purent la machine dans une caisse de vêtements
sales qui se trouvait dans le local de laverie.
Ils purent cette fois-ci revenir et
la récupérer. Mais le risque était trop grand et on décida de supprimer
toute preuve technique qui pourrait tomber entre vos mains.
La construction de bases souterraines
fit penser que la solution au problème serait définitivement assurée
si mes frères expéditionnaires y résidaient.
Une étude ultérieure de notre planification
résidentielle, montra que rentrer et sortir fréquemment de ces enceintes
situées en zones sauvages et repérables à l'occasion par la population
rurale, présentaient plus de danger que de se mêler à la population
des grandes villes de OYAGAA.
De manière que nous cherchâmes des collaborateurs
parmi vos frères qui puissent écrire la documentation sous la dictée.
Nous les avons trouvés en Grande Bretagne,
Australie, Canada, Espagne et République Fédérale d'Allemagne. Dans
ce dernier cas, une YIEE d'une prestigieuse famille, qui est aujourd'hui
une de nos plus chères amies de OYAGAA, accepta même de se déplacer
jusqu'à Berlin et de passer ensuite à grand risque pour elle dans la
zone contrôlée par les Autorités de la République Démocratique Allemande.
Nous n'oublierons jamais les services qu’elle a rendus à mes frères.
Nous commençâmes par une prudente tentative
de contact avec des humains spécialisés en divers domaines de la recherche
scientifique. Nombre d'entre eux acceptèrent d'examiner les apports
dans des domaines aussi divers que la Topologie la Théorie des réseaux,
l'Astrophysique et la Biologie, mais à quelque rare exception près,
tous accueillirent avec beaucoup de méfiance nos affirmations d’identité
UMMOAO estimant que les documents devaient émaner de quelque collègue
perturbé ou d’universitaires dotés d'un subtil sens de l'humour.
A cette époque notre objectif prioritaire
consistait à rendre d’une manière ou d’une autre l’apport que vous nous
aviez fourni sans le savoir concernant le patrimoine culturel de OYAGAA
(TERRE), mais nous voulions aussi analyser graduellement et en prenant
de très prudentes précautions, l'impact qui pourrait être produit dans
le Réseau Social si un contact ouvert entre nos deux cultures devenait
inévitable (Au cas pas encore écarté où vous captureriez un ou plusieurs
de mes frères, une franche identification deviendrait inévitable en
provoquant des perturbations sociales qui s'avéraient alors difficilement
évaluables par nos spécialistes).
Derrière cet objectif primordial se
dissimulait un autre centre d’intérêt : Le plan d’urgence déjà
réitéré (dans l'hypothèse de l’imminente destruction biologique
sur OYAGAA). Comment connaître les inquiétudes de la masse humaine soumise
subitement à la tutelle de fer de quelques êtres venant d'une autre
entité galactique ?
Nous devrions préparer un réseau réduit
et sélectionné de citadins de différents pays. Des OEMMII appartenant
à ce que vous appelez Mass media et de ce fait bons connaisseurs
des inquiétudes et des problèmes de la société dont ils font partie.
Il était nécessaire que de tels humains
soient moyennement cultivés, intelligents, de moralité élevée
avec UN penchant intellectuel
vers les questions de civilisation galactique.
Qu’ils acceptent avec prudence mais
sans l'écarter l'hypothèse de notre existence, notre identité.
Qu’ils connaissent par une communication fluide notre culture et notre
histoire.
Naturellement le problème se présentait
qu’ils se convertissent en partisans de notre idéologie, en esclaves
intellectuels de nos personnalités. Ceci est inadmissible pour notre
éthique. Il fallait les exhorter à rester fidèles à leurs idées et
connaissances. Pour cela l’unique solution viable, consistait à
leur exposer nos modèles scientifiques de manière didactique sans leur
apporter des preuves définitives, et à introduire des éléments d’erreur
qui les obligent à entretenir de raisonnables doutes au sujet de notre
identité, en détournant leurs soupçons vers des pays, des institutions
ou des personnes.
Nous ne pouvions pas les convertir
en nos acolytes, traîtres à leur ancêtres et à OYAGAA. Notre
intention dans le futur au cas où nous aurions recours à leurs services
une fois déployé cet hypothétique Plan d'Usurpation du pouvoir,
ne serait pas axé à les convertir en gouvernants marionnettes de
nos organes dirigeants, mais en une chaîne nécessaire ou réseau
de liaison, capable de tranquilliser leurs frères grâce à l’information
qu’ils posséderaient sur notre culture et nos intentions, et de nous
procurer des données précieuses sur les besoins urgents et les préoccupations
d'un Réseau Social momentanément paralysé par l'incertitude et la terreur
de se sentir dominé par des forces inconnues.
Ils agiraient donc, comme un canal
bidirectionnel d'information entre notre coupole de pouvoir et une humanité
sous le joug. Ambassadeurs à double vecteur.
Un événement malheureux survenu en 1966
nous fit réfléchir sur la possibilité qu'un quelconque autre évènement
malheureux puisse mettre en péril notre plan pour maintenir un secret
rigoureux sur notre présence sur OYAGAA.
A cette époque nous étions très préoccupés
par le projet B-45 M 899 nord américain, de placer en orbite, des satellites
dotés de charges nucléaires Ce qui nous intéressait spécialement était
d'obtenir plus de données sur le lanceur SATURN 500 F dont les essais
étaient prévus dans le complexe du centre spatial Kennedy. Nous avions
même déjà subi un incident inquiétant quand OYII 62 fils de AANX 2 fut
repéré une nuit à Merrit Island près du polygone industriel de la base
secrète, celui-ci pouvant s’évader à la fin en se jetant dans les eaux
de la Banana river.
Nous avions décidé de construire une
base sécrète sur une île située à une distance pas excessive de Cap
Kennedy.
Le projet impliquait une exploration
méthodique de cette zone face à l’Océan Atlantique. C’était une nuit du
mois de Mai 1966. A 4 h 12 m heure locale, quatre OAUOLEAA UEWAA OENMM
(nefs de voyage interastral) de notre UMMO atterrirent au sud de l'île
Great Abaco (grand Abaco), non loin de Marsh Harbour.
L’une d’elles, bien qu'elle eût détecté
la présence inhabituelle d’un OEMMII de la Terre à ces heures avancées
de la nuit, dans ces parages, ne put éviter l’accident lors de sa descente.
Le malheureux paysan se trouvait à quelques
mètres du point de descente de notre véhicule. Il subit une très grave
commotion cérébrale, du fait du niveau intense des fréquences Radioélectromagnétiques
de courte longueur d'onde.
Il fut immédiatement transporté à notre
Base du Canada. On dut effectuer une transplantation de tissu embryonnaire
et réaliser une intervention chirurgicale complexe, en accédant à son
aire hypothalamique à travers ses fosses nasales. Il fut également nécessaire
d'accéder à l'Hippocampe pour effacer l'information engrammée et lui
empêcher l'accès de données durant les minutes postérieures au rétablissement
de ses fonctions conscientes. A sept heures quarante minutes de ce 21
mai 1966 nous l’avions laissé rétabli en un point du lieu pas très loin
d'où s'était produit le malheureux évènement. Que serait-il arrivé si
cet humain était mort par notre faute ?
Tous ces problèmes ennuyaient mes frères.
N’était-il pas mieux d’abandonner un Astre froid autant au bord d'une
hécatombe ? Il était prévisible que dans l’avenir se déchaîne même
une attaque mutuelle d'une telle rapidité qu’il nous serait même impossible
de contrôler la situation, allant jusqu'à affecter la vie de certains
de nos expéditionnaires.
On décida pourtant de poursuivre notre
travail d’étude et parallèlement de continuer les contacts en formant
des groupes choisis d’humains de la Terre dans quelques rares nations.
(PARTIE "B" reportée
en fin de document par JPP. Seulement ce qui est en noir) En
ce temps là nous avions découvert que des milliers d'OEMMII se montraient
vivement intéressés par ce que vous appelez la phénoménologie UFO.
Les conditions spécialement favorables de plissement
spatial de ces années là, qui s'étendaient de 1943 jusqu’en 1978 avait
permis d’accéder au système planétaire de votre Soleil non seulement
à nous, mais aussi à d’autres civilisations galactiques.
Elles n’étaient pas nombreuses, et
les contacts dont nos nefs firent l'expérience avec l’atmosphère terrestre
et les atterrissages subséquents se réduisirent à un nombre réel bien
plus réduit que celui estimé par de nombreux spécialistes de la Terre.
Nos OAUOOLEEA provenaient de différents Astres dotés de Civilisations
avancées. Nous ne nous connaissions pas à part soi à l'exception de
rares cas, et nous suivions la norme de ne pas interférer dans nos
missions respectives. Nous fûmes seulement trois civilisations galactiques
à décider de laisser de manière permanente des corps expéditionnaires
sur différents continents. Une quatrième, provenant d'un Astre situé
à 96 années-lumières de la Terre, dont vous pourriez prononcer le
nom comme GOHO, vous visita plus de fois que toutes les autres réunies,
en nous y incluant, nous les OEMMII de UMMO.
La morphologie anatomique de ces êtres
OEMMII, intelligents les trahissait. De taille réduite, les bras très
atrophiés et une grande cavité crânienne qui leur fait une grosse
tête, les empêchait de se mêler aux humains de OYAGAA. Depuis 1948
(Décembre) (JPP a indiqué
ici "1940" ) (avant
notre première expédition sur Terre) ils sont arrivés sur votre Astre
et se sont établis dans un nombre réduit de bases sous-marines. Ils
étaient spécialement intéressés par l’étude de la biomasse de la Terre
et spécialement la biologie de ses OEMMII et ils ont interceptés plusieurs
YIIE et GEE (hommes et femmes) pour analyser leur corps sans les blesser.
(JPP a rajouté ici "en les
libérant aussitôt après avoir effacé tout
souvenir de leur expérience en agissant sur un organe de votre
cerveau que vous appelez hippocampe" ) Quand
au bout de quelques années leur curiosité se trouva satisfaite, ils
émigrèrent. Malgré tout ils se sont laissés voir dans leurs rapides
interventions beaucoup plus que d’autres expéditions..
Les deux autres groupes planétaires
se mêlèrent à vous facilement par l'avantage que supposait, à l'égal
de nous-mêmes, d'avoir une anatomie pas très différente de celle de
l’OEMII de OYAGAA. Leurs buts étaient identiques aux nôtres, mais
leur stratégie différente.
Ils maintinrent un silence strict
sans jamais se faire connaître. Leurs vaisseaux furent inévitablement
détectés comme les nôtres, et ils établirent des bases aux Etats-Unis
et en Union Soviétique. (Les expéditionnaires de l’une d’elles :
Astre ISSSSS, arrivèrent en Angola en 1962,
ils se mêlèrent à vous vers 1969 aux Etats-Unis, en URSS et en Union
Indienne et ont abandonné OYAGAA en 1980. ISSSSS est situé
à 174 années lumière de OYAGAA.) Ils
ont tous évité n'importe quel type de contact avec nous.
(JPP a écrit ici "avec vos frères" )
Aucune de ces civilisation ne vous
causa de tort, suivant des normes plus ou moins différentes mais coïncidant
pour l’essentiel, dérivées des UAAA universelles. (Après
avoir transformé "UAAA universelles" en " loi
morale universelle" , JPP a rajouté ici : "consistant
à ne pas altérer le processus évolutif de la
planète visitée" )
Il y eut une exception. Un groupe
expéditionnaire envoya des agents dans différents pays d'Asie et
d'Europe. Deux d'entre eux arrivèrent en Espagne
avant que ABAEXII 4 fils
de ABAEXII 3 mette pour la première fois son corps en contact avec
la péninsule Ibérique. Des années plus tard grâce à leurs appareils
de contrôle cérébral ils se connectèrent à un citadin Japonais résidant
à Madrid, puis, par son intermédiaire, avec un autre OEMMI appelé
Fernando Sesma Manzano. (JPP a écrit
ainsi l'ensemble de la phrase qui précède "Deux
d'entre eux arrivèrent en Espagne avant que nos frères
ne s'implantent dans ce pays et entrèrent en contact avec l'un
de vos frères nommé Sesma Manzano" )
Cette civilisation, très avancée dans les études
du Réseau cérébral et sa fonction dans le Multicosmos, trouvèrent
là une occasion très intéressante pour eux d’utiliser les humains
de la Terre comme cobayes pour leurs expériences neuropsychologiques.
Dotés sur leur astre froid d'une civilisation
structurée selon des bases morales strictes, ils rejettent les UAA
qui nous obligent pour les autres à respecter l'évolution des autres
Astres froids avec une civilisation inférieure. Avec un mépris absolu
de l'intégrité biologique des hommes de la Terre, ils choisirent un
vaste échantillon d'infortunés humains et les soumirent à des manipulations
mentales.
Furent les victimes à différents degrés
(certains YIEE et GEE furent aussi soumis à un contrôle leur induisant
divers cadres pathologiques) des citoyens de République Populaire
de Chine, de Thaïlande, d'Indonésie, du Japon, d'Italie, de Grèce
et d'Espagne.
(Fin de la PARTIE "B"
reportée en fin de document par JPP)
En Espagne furent affectés à différents
niveaux vos frères dont les noms suivent. Franco Muela, Fernando Sesma,
Victoria Iruretagoyena, Alicia Araujo, Clemente Dominguez Gomez, Isabel
Nido, Jose Gonzalez Arenas, Regina Sandras, Julio Ferrrandiz Sanchez,
Eduardo Buelta, Francisco Montesinos Lopez, Maria Asuncion Cibeira,
Francisco Ramallo, Maria Teresa Aymerich de Tapia, Estanislao Gomez
Marfil, Pedro Vivancos Garcia.
Quant à nous nous avions établi notre
première base d'action à Albacete dans un laboratoire Souterrain situé
au centre de la Ville, et ensuite nous nous sommes déplacés à Madrid.
A cette époque nous avions déjà établi
dans divers pays une excellente source de contacts. L’attente
internationale de la présence des UFO non seulement dans l’atmosphère
mais en points d’atterrissage, avaient généré une intense psychose collective.
Très au-dessus de quatre vingt pour
cent (des observations), étaient le fruit d’erreurs d’observation et
des versions falsifiées de faux témoins. Les nouvelles imprimées dans
les moyens de diffusion, créaient à leur tour de nouveaux rapports apocryphes,
de telle sorte que dans les milieux universitaires et scientifiques,
les humains qui s'intéressaient au sujet étaient qualifiés de semi analphabètes
ou affectés de représentations mentales délirantes.
Ce désintérêt
de la part de certaines couches des pouvoirs publics, des forces de
police et des secteurs se rattachant à la Science, nous
offraient un excellent alibi, pour pouvoir nous manifester sans risque
grave, à des humains intéressés par la problématique extraterrestre.
Si les milieux de la presse, ou radiophoniques prêtaient une attention
excessive à nos rapports il nous serait facile de lancer un opaque rideau
de fumée, empêchant l’irradiation excessive de la nouvelle, en
diffusant le bruit qu'il pourrait s'agir des élucubrations de quelque
perturbé mental.
Cette stratégie nous l’avions déjà utilisée
au Mexique et dans votre propre pays : l’Espagne, en choisissant
comme amphitryon à Albacete une excellente YIEE mais qui souffrait de
troubles psychopathologiques. La renommée qui entourait votre sœur,
nous protégea des rumeurs dangereuses, au cours du séjour de mes frères
dans la ville castillane.
Il existait déjà des groupes dans différents
pays, dont les membres recevaient périodiquement nos rapports, les étudiaient
avec attention, et en échange avaient promis de garder un strict silence.
Ils étaient presque convaincus de notre réelle identité.
Un de mes frères UDIEE 36 fils de UDIEE
34 eut une telle confiance dans le groupe du Canada que, comme premier
précédent dans notre histoire en relation avec OYAGAA il consentit à
tenir une réunion avec les composants du groupe. Celui-ci se composait
de neuf GEE (hommes) et de douze YIEE (femmes).
Ceux-ci comme d’autres groupes d'Australie, de Grande-Bretagne,
de République Fédérale d'Allemagne, du Zimbabwe... Ont été fidèles
à la promesse de garder le secret sur notre existence.
Grâce à une publication dirigée par
votre frère Joaquin Valdès Sancho, nous eûmes connaissance de l'existence
en Espagne d'un autre de vos frères, Fernando Sesma Manzano. Un décodage
de Texte nous avait révélé l'existence d'une message crypté, dont il
était impossible que celui-ci en ait eu connaissance sans avoir établi
un contact avec une quelconque civilisation extrasolaire.
A cette époque nous étions décidés à
former un autre groupe en Espagne et nous avions déjà tenté d'autres
contacts avec des résultats inégaux.
Fernando Sesma accueillit les premiers
appels téléphoniques avec une certaine défiance. Nous captâmes beaucoup
de données sur sa structure neuromentale grâce à sa phonalisation et
nous comprîmes que ses modèles intellectoémotionnels pourraient être
affectés très favorablement en lui remettant un message gravé sur l’émail
d’une pierre. Ainsi commencèrent les premiers dialogues téléphoniques
avec votre infortuné frère (en 1965), victime par la suite des manipulations
infâmes émanant d'autres êtres intragalactiques.
Mais en dépit de nos suppliques réitérées
de garder le silence quant aux rapports que nous lui remettions, rédigés
par nos frères dans un langage qui lui soit accessible, il se consacra
à répandre avec un enthousiasme viscéral le contenu de ceux-ci, en acceptant
des entrevues avec des journalistes qui imprimèrent immédiatement ces
données concernant notre existence dans quelques média de l’époque.
Au début, mes frères se sentirent inquiets
et suspendirent quelques temps leurs envois. Ils voulurent même se mettre
en contact avec votre frère peintre, Enrique Gran, dont ils avaient
tant admiré les œuvres.
C’était un OEMMII intelligent et sensé
et nous désirions qu’il agisse comme intermédiaire auprès de Sesma pour
le convaincre de la nécessité d’affirmer à la Presse, que toute l'affaire
Ummo était un vulgaire bobard.
Notre présence physique, et l’apport
d’une preuve lui aurait fait prendre conscience de la gravité de l’affaire.
Mais votre frère Gran à qui nous avions
donné rendez-vous dans un endroit spécialement étudié ne voulut pas
accepter l'entrevue. Il dut ne pas la prendre au sérieux, la prenant
pour une plaisanterie, ou bien il pensa prudemment qu’il pouvait s’agir
d’un dangereux guet-apens.
Il était impossible d'influencer l'esprit
de Fernando Sesma. Dans des dialogues téléphoniques successifs nous
lui précisions l’énorme le danger qu'il courait en maintenant des relations
avec le groupe qui se faisait appeler "Saliano" Immédiatement,
ceux-ci agissaient sur ses formations amygdaliennes, lui provoquant
une amnésie temporaire du contenu de notre conversation avec lui ou
le forçaient à déchirer les lettres dans laquelle nous déversions ces
mêmes avertissements.
(JPP a rajouté ici, sans doute
en remplacement des 9 paragraphes qui précèdent : "
Les contactés du pays Espagne diffusèrent cependant
les documents que nous leur avions envoyés. Votre frère
Fernando Sesma Manzano publia en 1967 aux éditions Espajo l'ouvrage
intitulé 'Ummo, une autre planète habitée' "
Mes frères furent alors sur le point d'abandonner toute
action en Espagne. La réalité de notre séjour
dans la Péninsule n’avait pas pu générer plus d’événements malheureux.
A Albacete nous avions été sur le point de provoquer une très grave
épidémie aux conséquences incalculables pour n'avoir pas pris des précautions
plus strictes, Par notre faute une YIEE innocente [4] se voyait
impliquée dans un processus judiciaire. A Valence un de nos frères en
se voyant obligé de résider dans une pension mal famée s'était vu impliqué
dans une trouble affaire policière impliquant quelques pauvres prostituées
et ils furent sur le point de nous identifier et voici maintenant que
"tout le Pays" était informé par les indiscrétions de votre
frère Fernando Sesma, de notre existence.
[note 4]
Bien que nous soyons faits responsables du très grave incident qui eut
lieu dans la Ville d’Albacete (Espagne) parce que nous aurions dû adopter
des précautions plus sévères, il est nécessaire de noter qu’à ces dates-là,
les expériences étaient réalisées dans des conditions très difficiles.
Les tentatives pour placer des portes blindées au laboratoire du Sous-sol
entrèrent en conflit avec le refus de votre frère José Maria Bassols
selon lequel des
éléments blindés entreraient dans l’immeuble de Mayor 58 (albacete)
qui pourraient susciter la suspicion des livreurs et des voisins. Ces
réparations paraissent si raisonnables, que les événements postérieurs
nous ont donné raison. Si les accès avaient été blindés, ne se serait
pas déchaîné un…. enchaînement de faits qui auraient pu déboucher
sur l’une des plus terribles épidémies qu’aurait connu OYAGAA.
Une seconde erreur fut de charger
votre sœur Luisa Ballery de l’acquisition dans une quincaillerie des
serrures de sécurité pour les portes. Avant de les remettre à mes frères,
sans doute mue par une curiosité naturelle, elle fit faire des doubles
des clés.
L’entrée furtive de ces deux YIIE
dans le laboratoire, probablement sans l’autorisation de votre sœur
Margarita Ruiz de Lihory, fut un événement vraiment funeste, laissant
l'une de celles-ci contaminée et transmettant ensuite l’entité virale
à d’autres OEMMII de la ville d’Albacete.
Il nous est possible d’affirmer avec
certitude ; que l’accusation disant que mes frères avant d’entreprendre
leur voyage, laissèrent par erreur l’accès au laboratoire ouvert, est
totalement sans fondement. De plus : il existait une seconde porte intérieure,
qui fut forcée par les femmes, mues par leur curiosité exacerbée.
Il faut comprendre de toutes façons
que le très grand secret qui entourait nos activités, pas même connues
de la Maîtresse de l'immeuble ni de votre frère Bassols, intriguait
notablement tous ceux qui de quelque manière avaient connaissance de
notre séjour là-bas. Votre sœur Margarita Ruiz était affectée d’un caractère
très autoritaire et parvenait à faire taire toutes les critiques que
sa fille Margarita et d’autres humains formulaient, mais elle ne fut
évidemment pas capable de faire échouer la malheureuse violation des
pièces réservées.
Les accusations selon lesquelles
nous avons dû recourir à la subornation financière pour essayer à Albacete
et à Madrid, de freiner les confidences (qu’inévitablement certains
OEMMII commencèrent à émettre concernant la réalité des faits) ne tient
pas compte qu’il nous était nécessaire, d’empêcher à cette époque que
la nouvelle de notre séjour s'ouvre un passage dans les canaux de communication.
Il est vrai que mes frères ont dû débourser d’appréciables quantités,
mais en revanche il est totalement injuste et faux, de nous
accuser en insinuant des décès survenus depuis, et de nous les
attribuer sans le moindre fondement. Il est certain que la nouvelle
de l’amputation de la main de cette sœur à vous décédée si tragiquement
et l’extraction d’autres structures anatomiques, et les rumeurs qui
inévitablement se répandirent parmi les autorités qui entendirent parler
dans le cadre de l’affaire de notre existence, attirèrent ensuite d’autres
agents étrangers qui comprirent notre implication dans les études que
nous réalisions à Albacete. Ce furent ces Frères à vous, de nationalité
nord-américaine, qui causèrent un grave préjudice à un OEMMII de l’entourage
de cette bonne YIIEE Margarita Ruiz de Lihory. Bien que nous
n'en ayons pas de preuves, nous n’écartons pas que l'un de ces étranges
décès pourrait être du à leurs activités, quoique nous n’écartons
pas [espace barré de blanc, ndT],
que cette singulière chaîne de décès- Qui a aussi attiré aussi notre
attention- ait été le fruit du hasard.
L’unique suspicion que ces agents,
auraient été impliqués dans l’élimination physique d’humains espagnols
est fondée sur un document reproduit par nous, daté du 22 octobre 1980.
(Communication de service interne d’Une entité Nord-américaine) Communication
datée à Albacete et adressée à un certain Michael F. Fowler qui résidait
à cette époque dans un hôtel de Murcia (Espagne) en message chiffré
décodé par nous et qui fait mention d’investigations réalisées par le
ressortissant espagnol résidant à Albacete. José Garcia Martinez, (journaliste)
bien que le document ne fasse pas allusion à sa profession. deux mots
dans le rapport cité non décodés, peuvent signifier que tel "individu
devrait être neutralisé ? dans l'hypothèse H-2 ». La traduction
"neutralisé" est de notre fait et signifie peut-être autre
chose. Nous n'avons pas non plus pu établir la nature de cette "hypothèse
H-2".
En ces jours, toute la nervosité
des agents des U.S.A. a pour origine :
En janvier 1954 mes frères abandonnèrent
précipitamment le laboratoire souterrain de la calle Mayor. on fit un
ratissage exhaustif pour récupérer notre équipement dont la technologie
aurait suscité un intérêt intense en cas de découverte par les autorités.
Des restes d’animaux durent être cachés précipitamment dans des bocaux
et des caisses, et l’on n’abandonna que le matériel chirurgical topique
d’origine espagnole.
Mais nous ne prîmes pas en compte
une incidence qui se fit inévitable.
Le matin-même où se décida le transport
de Margarita Shelly à Madrid mes frères avaient remis à la vieille servante,
une caisse précieuse pour qu’elle la fasse parvenir par l’entremise
d’une seconde YIIE, à une adresse déterminée. Mes frères devaient accompagner
l’expédition de la malade et de sa Mère, dans un véhicule indépendant
jusqu'à la capitale de l’Espagne. Ils ignoraient évidemment comment
les événements à Madrid allaient se déchaîner.
L’intervention de la Police madrilène
donna seulement le temps avant que les autorités d’Albacete n'interviennent,
de déménager comme nous venons de le rapporter le laboratoire souterrain,
mais ce précieux coffret ne put pas être récupéré.
Il contenait un chromatographe en
phase gazeuse de taille très réduite. C'est un instrument très rudimentaire,
mais utile pour la gamme de recherches que mes frères biologistes réalisaient
à cette époque. En ces années-là nous n’apportions de UMMO que les instruments
de recherche les plus indispensables, de crainte qu’ils ne tombent entre
les mains des humains de la Terre. Le reste des appareils, ou nous les
achetions directement à des firmes spécialisées d’Allemagne Fédérale
et de France, ou comme ce chromatographe, nous eûmes recourions à un
système mixte. La technologie en était entièrement de OYAGAA mais nous
autres le fabriquions ex-professo avec des méthodes de miniaturisation
qui même à cette époque, apparaissaient à vos spécialistes, très avancées.
Le chromatographe en référence était
défectueux et mes frères de la ville d’Albacete avaient besoin qu'il
soit réparé en urgence.
Au bout de quelques mois, mes frères
reprirent contact avec la servante et ils ne purent élucider ce qui
était advenu de la caisse. Ni les offres d’argent ni les prières ne
suffirent pour venir à bout de l’attitude muette de celle-là de vos
sœurs. Elle s’obstinait à assurer que depuis toute la dramatique histoire
de Margarita, le coffret "s’était perdu" et qu’elle en
ignorait le destin.
La réelle version de ce qui était
arrivé, nous avons pu la connaître, paradoxalement non pas en Espagne
mais aux Etats Unis d’Amérique.
En Février 1954 il y eut des commentaires
dans les dépêches de la Direction Générale de la Sûreté de Madrid et
au Ministère du Gouvernement au sujet des étranges circonstances qui
concoururent à l’affaire de la calle Princesa 72, en référence à l’expertise
légale de la main de la malheureuse Margarita Shelly. Il fut inévitable
que les expert observent que la technique d’amputation n’était pas celle
habituelle dans les milieux cliniques et encore moins si elle avait
été pratiquée par un profane. De plus, la Police savait que dans toute
cette affaire étaient impliquées des « personnes étrangères »
à la famille de Margarita Ruiz de Lihory.
L’ambassade USA disposait comme à
l'habitude durant les dernières 48 années de ses propres agents autant
au sein du Ministère du Gouvernement que de la D.G.S. Immédiatement
ils se rendirent compte que cette affaire était beaucoup plus importante
que ce que la presse de l’époque laissait transparaître. Une équipe
d’experts fut envoyée à Albacete, à Barcelone, et dans les propriétés
de Doña Margarita. Nous ignorons dans quelles circonstances notre
chromatographe fut confisqué par eux, mais c’est ce qui est arrivé.
L’examen du dispositif dans les laboratoires
d’Atlanta, les déconcerta. Il fallait s’y attendre. L’appareil analyseur,
bien que comportant quelques pièces de fabrication allemande, avait
pratiquement été construit par nous autres.
Les alliages utilisés, les polymères
et le verre était aussi de OYAGAA mais non pas sa conception sophistiquée
et certains aspects de la mécanisation [probablement l'usinage, ndT] des pièces. De plus l’appareil
ne portait pas de marque de fabrique et pas non plus d'anagramme d’identification.
Cette découverte généra une nouvelle
politique de la part des services des renseignements nord-américains,
qui intensifièrent leur enquête au sujet de notre groupe. Peut-être
que ces faits les aidèrent à comprendre certains aspects de notre attitude
sur OYAGAA. [fin note 4]
Mais cette fois avec une grande joie de notre part
mes frères découvrirent réjouis, que non seulement il était faux que
la diffusion se serait répandue comme ils le croyaient « dans tout
le Pays » avec le risque que la nouvelle filtre à tout OYAGAA,
mais qu'aussi l’irradiation de ces nouvelles s'était rapidement amortie
et que le secteur du Réseau Social qui avait lu ces données les assimilait
presque avec indifférence.
Pour nous c’était une nouvelle sensationnelle.
Mes frères de cette époque ne connaissaient pas encore bien
les mécanismes d'intellectualisation logique qui régissent le réseau
des esprits sur OYAGAA. Les appréciations populaires
agissaient comme frein sur toute donnée qui pouvait être apportée par
des croyants de l’Ufologie.
Cela nous offrait un passionnant champ d’expérimentation,
sur les niveaux de suggestion et de crédibilité dans le flux de données
apportées à un Réseau Social. Nous comprenions qu'il était possible
de proclamer avec tous les moyens techniques de résonance à travers
les canaux diffuseurs d'informations ; une vérité, et de manipuler
le degré d'acceptation de la part de larges couches de la population.
Nous voyions clairement que même dans le cas où nous serions capturés
et déciderions de révéler notre identité, nous parviendrions à ne pas
être crus. Grâce à vos frères d'Espagne, nous découvrions que beaucoup
des précautions laborieuses et coûteuses que nous avions mises en marche
pour que ne filtre aucune information sur notre séjour sur OYAGAA, étaient
inutiles.
Devant le fait accompli qu'une fraction du public espagnol
aurait été informée de notre existence, nous décidâmes de continuer
l'expérience sociale et de tolérer sous contrôle, la diffusion.
(ICI est reportée, par
JPP, la PARTIE "A")
(ICI est reportée, par
JPP, la PARTIE "B")
Nous savons déjà qu'il existe un seuil
pour le rayonnement de ces données, qui malgré tout peut se révéler
dangereux, c'est la raison pour laquelle nous sommes cependant restés
préoccupés que trop de textes concernant UMMO aient été publiés surtout
en Espagne. Nous ressentons une grande affection pour vos frères Antonio
Ribera, Juan Aguirre et Enrique Lopez Guerrero et nous savons qu'ils
ont usé avec justesse de leur liberté de publier une partie importante
de nos rapports, mais qu'ils comprennent aussi que nous nous verrons
contraints d'adopter des mesures correctrices, en suspendant ou en diminuant
l'envoi de données, comme nous l'avons fait lorsqu'a été publié le texte
intitulé UMMO, une Autre planète habitée (Editions Espejo Madrid 1967).
De ce fait vous comprendrez qu'ils nous
intéresse en ce moment que la diffusion de notre identité s'atténue
fortement. Il est vrai que le fait que nos plans de contrôle de OYAGAA
en cas de grave danger pour votre biosphère et exposés sous une forme
aussi élémentaire que nous l’avons fait dans cet écrit filtrent dans
les départements opérationnels des différents états, ne nous préoccupe
pas outre mesure : Pour deux raisons :
1°- Ils ne nous croiront pas.
2°- Même s'il prévoyaient ce risque
et s'informaient sur notre projet nous disposons de moyens suffisants
pour juguler toute résistance.
(JPP a modifié ainsi les lignes
qui précèdent :" Certains d'entre vous s'étonneront
peut-être de nous voir divulguer dans cette lettre des informations
concernant le contrôle de la Terre, exposées ici de façon
très élémentaire, en craignant que ceci ne remonte
jusqu'aux états-majors des grandes puissances par le biais de
leurs services secrets. Mais nous n'en avons cure pour deux raisons:
- soit, cas de figure le
plus probable, ils ne nous croiront pas.
- soit, même s'ils
prenaient ce risque en compte et s'informaient de ce projet, nous disposons
de moyens suffisants pour juguler toute résistance"
Mais ce qui nous préoccupe, c'est
que les micro-réseaux de connexions si laborieusement créés dans
différents pays et composés de frères à vous pacifiques et innocents,
intéressés par notre culture, pourraient souffrir d'une forme quelconque
de préjudice. [3]
[note 3]
Nous désirons que vous soyez
conscients que vos frères de nationalité Espagne, forment le groupe
le plus perméable de ceux formés dans différentes régions de OYAGAA.
Nous vous avons déjà fait remarquer que l’attitude de citoyens ibériques,
ne nous a pas fait du tort (Bien que dans un premier temps nous en soyons
arrivés à le craindre) mais au contraire nous a permis d’initier des
expériences sociales de comportement face à la diffusion de ce genre
de nouvelles, très intéressantes pour nous.
Mais en revanche, les lésés
c’est vous, et ceci nous préoccupe pour les conséquences ultérieures
qui pourraient vous advenir.
En plus de rendre impossible
avec vous, une communication directe, dans laquelle un de mes
frères aurait pu établir un contact personnel comme cela s’est produit
dans d’autres groupes et avec quelques rares de vos frères d’Espagne,
vous vous êtes convertis en point de mire de certains services d’information,
comme vous avez pu le constater en certaines occasions.
Nous ne pensons pas sérieusement
que des agents de ces groupes des renseignements, vous fassent quelque
dommage réel, mais nous devons vous avertir que si vous décidez de poursuivre
le contact postal ou téléphonique avec nous, vous ferez l’objet de surveillances
désagréables et de possibles préjudices futurs. [fin note 3]
Albacete JANVIER 1988
(Espagne)