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ANALYSE 11

Analyse de la "lettre ummite" NEF 93

Collectif

 


 

Analyse de la "lettre ummite" NEF 93,
parue dans "OVNI et Armes secrètes américaines" Albin Michel 2003,
dernier livre de Jean-Pierre Petit

Motivations de cette analyse. 

Jean-Pierre Petit a publié dans son dernier livre "OVNI et Armes secrètes américaines" Albin Michel 2003, plusieurs lettres qu'il attribue aux Ummites. Parmi celles-ci, une lettre décrivant les nefs ummites et qu'il déclare avoir reçue en 1993. Par convention, nous l'appelons NEF 93.

Nous voulons faire progresser la connaissance du dossier UMMO. A la recherche d'informations nouvelles, en nécessaire cohérence avec l'ensemble antérieur, nous avons étudié en détail le contenu de cette lettre. Des traits forts sont apparus, appelant la comparaison détaillée avec les lettres D69 (50 pages sur les nefs reçues 1968), plus accessoirement avec la D57 de janvier 1967 (le lecteur peut trouver toutes ces lettres dans leur intégralité sur le site "ummo-sciences" (https://www.ummo-sciences.org/fr/D69-1.htm et la suite) et toutes les publications "grand public" de Jean-Pierre Petit, que nous abrégeons en JPP.

1 - LE CONTEXTE

JPP a signalé à plusieurs correspondants qu'il aurait reçu cette lettre NEF en 1993. Interrogé, il dit ne plus se souvenir sous quelle forme il l'a reçue: papier, disquette, ou directement sur son ordinateur (bien qu'à l'époque JPP n'était pas connecté à Internet et qu'il travaillait sur MAC; ce détail a son importance) ... et qu'il ne peut retrouver l'original ... déjà étonnant en soi!

Il faut aussi savoir qu'avant la mise sous presse de son livre, l'un des analystes de ce travail avait suggéré à JPP de retirer cette lettre trop sujette à caution (déjà en première analyse), ce qu'il n'a pas voulu faire, suivant seulement son conseil de retirer la "signature ummite" de l'édition papier. Nous allons voir pourquoi.

2 - LES  CONTENUS.

Le plus simple est d'analyser les contenus ( forme et fond) en suivant l'ordre des pages.

2.1 - La première page (p. 159) est une "image globale", l'insertion d'un "dessin" global, alors que les trois suivantes ("guide technique" et "éléments du vaisseau") sont directement saisies en informatique. La signature de "OAXIIBOO 6 fils de IRAA 3" n'est donc pas transcrite dans la version éditée.

2.1.1- Les textes de la première page.  Nous reprenons les images partielles des textes (regroupées ici sur une seule image pour des comparaisons plus faciles) de la lettre NEF93, première page « image » de l'annexe 2 de JPP (p: 159)..

On remarque les formes très particulières du « r » et du « n » dans « ionisatrices » et « pariétales » ce qui permet de penser qu'il s'agit principalement de "Geneva" (une fonte purement Mac), sauf pour "PLAN SIMPLIFIÉ D'UN VAISSEAU" qui ressemble à une version épurée de "New York" (une autre fonte Mac), sans les sérifs

Les deux polices des indications d’en tête et de cellules ionisatrices pariétales ne sont pas exactement les mêmes, et les « M », les « E », le « A » des polices de UMMOAELEWE et de PLAN SIMPLIFIFIE D’UN VAISSEAU ne sont pas identiques

Comme si le dessin accompagnant cette explication avait été réalisé à un autre moment et "inclus" dans l'image de cette première page !

2.1.2  Dessins et contenu de la première page

1). Les ionisateurs pariétaux.

De tels dispositifs sont décrits dans le document D69 reçu en juin 1967 par Enrique Villagrasa. Ce document illustré de plusieurs schémas est le seul concernant l'ensemble des caractéristiques des astronefs ummites.

Un dispositif de "cellules ionisatrices" est décrit, et fait l'objet de deux schémas explicatifs.

                   

On observe que ce dispositif installé et dénommé "système de protection anti-abrasion" en surface a une double fonction:

- évaluer les gradients électrostatiques aux environs proches de la nef

- émettre des électrons à haute énergie servant à charger les particules incidentes en les polarisant négativement de façon à ce qu'elles soient repoussées par le film de platine chargé négativement et incorporé en surface (image B, à gauche). On observe les charges négatives du film de platine (pointillés sous la surface) et les électrons qui sont figurés. Lorsque les particules incidentes sont déjà ionisées (ici l'exemple de droite image C montre des ions négatifs) la nef se contente de charger le film de platine de la même polarité que les particules incidentes.

On constate que jamais ces dispositifs ne sont déclarés utiles à une ionisation des gaz éventuels (lesquels dans le vide interstellaire ? et à quelle concentration ?) autour de la nef. L'effet serait même inverse en saturant les ions positifs environnants. Le schéma ummite ne mentionne pas d'électrodes positives ni leur position bien que quelques unes puissent sembler nécessaires dans la fonction d'évaluation des gradients électrostatiques.

Si nous nous réfèrons aux publications commerciales de Jean-Pierre Petit, la première apparition de ce dispositif sous sa plume date de la publication aux Comptes Rendus de l'Académie des Sciences (CRAS) de sa note présentée en séance le 8 décembre 1976. Elle est publiée dans son livre "Enquête sur des Extraterrestres…" chez Albin Michel 11-1991.

On y voit le dispositif (fig2)  dans lequel apparaissent très clairement les électrodes positives, confirmant que la destination du dispositif n'est pas l'émission extérieure d'électrons, mais la volonté de créer localement un champ électrique de fort potentiel pour conduire à l'ionisation du gaz enveloppe nécessaire à la propulsion de la nef (ici dans les conditions atmosphériques d'une planète).

                                                   

A droite, la reproduction du dispositif  des nefs dessiné dans la lettre ummite de 1993 reçue par JPP, appelée NEF93 par convention. Le schéma ressemble beaucoup plus à celui publié par JPP aux CRAS en 1977 (à gauche). La dénomination reprend subtilement l'expression d'origine "cellules ionisatrices" en y ajoutant le terme, jamais utilisé par les Ummites, mais souvent cité par JPP de "pariétales".

On notera la similitude entre les dessins, concernant ce dispositif, respectivement publiés par JPP aux CRAS 1977 et dans la lettre ummite de 1993. Si le dispositif était à double fonction, une façon claire de l'indiquer était de reprendre le schéma publié dans le D69 en complétant sa description.

Les auteurs ne l'ont pas fait.

On peut conclure de ces observations que:

- dans sa publication aux CRAS 1977, Jean-Pierre Petit a proposé une solution originale d' "ionisateur pariétal" à l'appui de sa découverte. Ce dispositif est sensiblement différent, dans sa structure, ses fonctions et sa dénomination, de celui diffusé par les Ummites dans le D69.

- du fait de ces différences et d'autres éléments du D69, le dispositif inventé par JPP ne saurait être une pièce concourant, même indirectement, à la propulsion des astronefs ummites selon ce document fondamental.

- la solution proposée par JPP aux CRAS n'est pas conforme au contenu du D69, ni directement ni indirectement.

- La reprise du schéma de la publication de JPP aux CRAS constitue donc une manière forte de "crédibiliser" en 1993 l'hypothèse publiée en 1977 par JPP, même au prix de la contradiction avec les premiers écrits. (on verra que cette attitude est souvent présente dans la lettre de 1993).

2) Schéma général des lignes de champ.

                    

NEF 93                                Publication JPP CRAS 1977

L'analogie de la présentation ne se discute pas.

3) schéma général des écoulements gazeux

                                   

           NEF 93                                Publication JPP CRAS 1977

4) principe de distribution des solénoïdes.

                           

NEF 93                                Publication JPP CRAS 1977

La reprise de tous les schémas importants de la publication de 1977 (eux-mêmes repris dans l'ouvrage "Enquête sur les Ovni" publié en 1992) est une manière forte de crédibiliser celle-ci pour le destinataire JPP.

Or aucune mention de solénoïde n'est faite dans le document original D69. Le champ magnétique cité est celui destiné à sustenter la cabine d'équipage, avec effet Meissner sur ses parois. Encore moins d'une distribution de 3 solénoïdes selon la publication de JPP aux CRAS. Celle-ci est complètement originale et ne rend pas compte des indications de la lettre D69.

Jean-Pierre PETIT a donc publié une théorie originale, limitée à la propulsion atmosphérique, qui n'a rien de vraiment commun avec les descriptions données dans le D69, lequel ne détaille d'ailleurs pas le système de propulsion.

2.2 - LE TEXTE explicatif  lui-même et l'ECLATE de la nef :

2.2.1. - L' "éclaté" de la nef.

 On observe un "design" nettement plus moderne et l'utilisation d'un outil graphique en opposition au tracé traditionnel (antérieur) des courbes par tangentes successives comme dans la D69. Modernisation ou alignement sur l'outil dont dispose JPP? 

2.2.2 LE TEXTE explicatif (pour la clarté des commentaires, le texte original de la lettre NEF 93 est en bleu, nos commentaires sont en noir. Les citations des documents ummites antérieurs sont en noir italique). 

GUIDE TECHNIQUE 

Préliminaire :

Il est important de distinguer le système propulsif et le système de transfert gémellaire.

Cette remarque générale est sensée et conforme aux éléments des D69. On verra dans le texte qui suit si le système propulsif doit être limité à l'environnement d'une atmosphère…

Le premier [donc le système propulsif] est basé sur le contrôle de l’environnement gazeux ambiant  [ce qui le limite d'office aux environnements atmosphériques, mais alors qu'en est-il hors atmosphère ? Il n'y a plus de propulsion ?]

par ionisation qui a pour effet de rendre l’air conducteur de l’électricité et l’émission d’un champ électromagnétique MHD de plusieurs dizaines de Teslas

Cette présentation du système propulsif est en complète contradiction

- avec la lettre D57 (T1B-17) du 13 février 1967 de manière explicite :"Il y a une autre caractéristique facilement observable, le très fort Champ magnétique qui apparaît autour de l'axe de symétrie de nos Nefs ( Et peut être aussi dans d'autres véhicules spatiaux d'autres présumés extraterrestres ). Ce Champ Magnétique qui atteint exprimé en unités terrestres, de nombreux milliers de Webber/mètre² [sic], n'indique pas comme beaucoup s'imaginent, que notre système de propulsion soit magnétodynamique. [A rapprocher de l'expression employée ici de "l’émission d’un champ électromagnétique MHD " qu'il faut lire comme "ayant une genèse de type MHD" et non pas comme "concourant à la mise en œuvre de techniques MHD". En effet, le propre de la MHD est sa parfaite réversibilité!].  Cette forte induction magnétique n'est que l'inversion axiale, en un angle de quatre-vingt dix degrés, de l'intensité de Champ électrostatique produite par un puissant générateur dont la fonction consiste à inverser les particules subatomiques de la nef et de ses passagers".

- avec le contenu de la D69 de manière implicite, laquelle évoque par 3 fois une expression clairement gravitationnelle: T2-47 IDUUWIIO , T2-48 IDUUWII AYII (PROPULSION)  et IDUUWII AYII (PROPULSEUR) qui le situe dans la couronne extérieure. 

C'est la compréhension de la langue ummite qui permet de se faire une idée du principe propulsif. Le segment IDUUWII est commun aux trois citations concernant la propulsion. Par exemple, le système IDUUWIIO contient le segment IDUU qui désigne une autre (I) forme (D) de dépendance permanente (UU), en sachant que DUU évoque la gravitation, en tant que manifestation (D) de dépendance (U) permanente (U). Le langage étant fonctionnel, la désignation IDUU peut aussi convenir pour un champ magnétique.

Or, la cavité magnétique est évoquée par YAAXAIUU, dans lequel le "magnétique" est exprimé par IUU, c'est à dire une "autre dépendance permanente". 

De plus, dans le système d'auto-réparation de la nef, les équipements pilotes locaux à modification locale du champ gravitationnel s'appellent NUUGI IADUU, dans lesquels IADUU évoque la différence (I) active (A) de manifestation (D) de la dépendance permanente (UU). On observe bien I(A)DUU, qui correspond au même concept.

Dans la lettre D69, la propulsion est ainsi déclarée réalisée par modification locale de la gravité, utilisable partout.

Pourquoi tout d'un coup, après 25 ans, donner des "précisions" sur un procédé propulsif exclusivement atmosphérique et conforme à la création originale de JPP ? et en faisant l'impasse totale sur la propulsion "hors atmosphère" ?

"dans la gamme des micro-ondes qui par rotation de la couronne équatoriale permet le déplacement de l’engin (déplacement comparable à celui d’un hélicoptère compte tenu des oscillations observables) dans les phases de croisière atmosphériques.

Jamais cette analogie n'a été donnée dans une lettre ummite. En revanche, cette formulation est déjà exprimée en juin1990 dans "Enquête sur les OVNI" Albin Michel 1992 sous la forme (p45), je cite: "…en fait, l'aérodyne disque se rapprochait plus du rotor de l'hélicoptère que de l'aile. Après un décollage il aurait le même mouvement de basculement qui semblait avoir été observé par certains témoins."

JPP a développé cette même idée sur une planche dans don livre "Le mystère des Ummites (1995) reproduite ci-dessous:

                 

Pour nous résumer ici sur l'ensemble documentaire "lettres ummites et écrits JPP", dans l'ordre chronologique:

- juin1990 par JPP dans Enquête sur les Ovnis,

- reprise par les Ummites en 1993 dans la lettre Nef93 

- développement par JPP dans "Le mystère des Ummites" (1995)

Le système de transfert gémellaire ou de navigation interstellaire [ n'est-ce pas fait pour qu'on considère que c'est la même chose alors que le transfert est une transition alors que la navigation concerne la conduite sur la durée?] est basé pour sa part sur l’amplification d’un champ électromagnétique en résonance magnétique nucléaire avec l’enveloppe gazeuse externe du vaisseau [… paraît éminemment singulier et limitatif des capacités d'évolution des nefs. Complètement non crédible].  permettant l’inversion de masse (ou inversion angulaire) et le changement de repère tridimensionnel. [Ce qui implique clairement que l'inversion angulaire ( IBOZOOAIDAA) ne serait possible qu'en atmosphère ] 

ELEMENTS DU VAISSEAU

1 – cabine toroïdale = cabine servant d’habitacle à l’équipage et au contrôle du système propulsif dont la couche externe est un matériau supraconducteur et qui en fonction des phases de croisière est soit suspendue magnétiquement par effet Meissner soit rendue solidaire de la coque.

a)      ..soit rendue solidaire de la coque. Il semble qu'ici on est en contradiction avec le D69, puisque dans la phase AGIOOA, "Cette connexion ou assemblage ne suppose pas un contact mécanique entre les surfaces, au contraire, il reste une séparation de quelques 0,6 douzièmes de ENMOO ( IMAGE 10 (58) qui se remplit, comme nous le verrons plus loin, d'une suspension colloïdale qui agit comme lubrifiant". Dans le D69, la cabine n'est donc pas "solidaire" de la coque.

b)  La formulation de Nef93 est tout de même un peu outrancière. En effet, selon le D69, l'enveloppe extérieure (la coque) peut être mise en rotation dans le même sens et à la même vitesse angulaire que la cabine intérieure [T2-56] (ce qui suppose un mouvement réellement indépendant de celle-ci), donnant ainsi l'impression de former "un seul corps" dans une rotation commune. On a vu que le texte du D69 précise bien les choses. On constate en outre que cette mention n'aurait pas eu de sens si la coque était en rotation permanente.

2 – coque = double enveloppe creuse revêtue d’un revêtement protecteur supérieur (une couche cristallisée en platine[c'est le matériau cité ici qui est contradictoire avec la D69] en forme de mosaïque hexagonale) [la mosaïque hexagonale est citée dans la D69, et décrite comme constituée par un matériau réfractaire céramique. Il est fait état en D69-4  d'un "revêtement poreux de composition céramique de point de fusion élevé (7260,64° C)" ce qui est beaucoup plus logique que du platine. Par ailleurs, du platine est mentionné dans des conditions très différentes et, encore une fois, plus logiques. La mention du platine est ici illogique et en contradiction avec le D69. En revanche, l'acier inoxydable (acier-chrome-nickel) en alliage vascularisé pour les couches inférieures ne semble pas incohérent.

et d’un revêtement protecteur inférieur (une couche colloïdale de platine) [conforme à la description du D69]

conçue en alliage cristallisé (acier-chrome-nickel) [attention, c'est bien la coque! En acier inox et ici l'acier inoxydable (acier-chrome-nickel) en alliage vascularisé pour les couches inférieures ne semble pas incohérent.

vascularisée et parcourue de fines tubulures en fluorure de polyvinyle [c'est curieusement (?) le même matériau que celui transmis par Antonio Pardo fin août 1967, mais idéalement adapté ici car le matériau est souple, se prêtant à de légères déformations et tenant bien la température jusqu'à plus de 250°C ]

remplies d’un mélange de mercure et de produits céramiques ( ce qui les désigne comme à teneur en silicate d'aluminium) polymères liquéfiables, produits stockés séparément dans des cavités colloïdales magnétiques connectées à des micro-capteurs eux-mêmes reliés aux 120 ordinateurs artériels composant le réseau réticulaire secondaire. un réseau artériel de forme réticulaire est situé dans cette coque composée d’un ensemble de capteurs en acier au chrome détectant les ondes [Quelles ondes ? manque de précision inhabituel dans un document ummite] et dont les données sont stockées dans des ordinateurs à fibre optique et transmises à l’ordinateur central qui est chargé de détecter les trains d’ondes susceptibles de provoquer une résonance et d’en annuler (ou non) les effets par liquéfaction sectorielle du contenu du réseau artériel de tubulures. [C'est la description fonctionnelle d'ensemble, capteurs et effecteurs compris, du système AYUBAA UYOALAADAA décrit dans la D69. La nouveauté est dans le stockage de produits, alors que, selon la description de la D69, ce système ne consomme pas de matière. Ce qui était clair s'assombrit.]

Pour cette zone la D69-1 dit :  14 - "Dans cette structure toroïdale sont englobés de nombreux équipements de l'UEWA. Une partie du générateur de champ magnétique, les organes de contrôle pour la XOODINAA, les réservoirs d'aliments et équipement mobile transporté, les équipements pour la fabrication d'accessoires, etc. "

3 – systèmes pariétaux de contrôle et d’analyse du milieu ambiant : ces ionisateurs pariétaux situés sur la superficie de la coque permettent un contrôle pulsé de l’ionisation de l’environnement gazeux ambiant et assurent une couverture anti-abrasion de la coque ; ce système anti-abrasion est couplé avec une sudation de lithium fondu réfrigérant la coque.

La formulation ici est nouvelle mais cohérente avec le D69. Les "cellules ionisatrices pariétales" sont bien définies comme évaluateurs des champs électriques environnants, assimilables à "l'analyse du milieu ambiant" et qui sont capables de contrôler celui-ci, au moins à propos des impacts possibles de micro-cosmolithes, en évaluant la polarisation de la majorité des particules incidentes. 

Le contrôle pulsé de l'ionisation n'est absolument pas décrit, même sommairement, dans la D69. Le rôle de ces émetteurs dans la protection anti-abrasion est souligné dans le D69.

La mention du lithium fondu pour la réfrigération (en réalité par vaporisation du lithium selon le D69) est en cohérence avec la description détaillée de la D69 (note 35).

4 – ordinateur central = ordinateur à mémoire de titane chargé de centraliser et de gérer les données collectées par le réseau des 120 ordinateurs secondaires ou artériels.

Pas de contradiction majeure avec le D69, sauf la position qui est spécifiée plus haut ici que dans le D69 où il est situé dans la sphère centrale.

5 – générateur de champ magnétique = solénoïde équatorial annulaire parcouru par un courant alternatif émetteur d’un champ magnétique hyperfréquence dans la gamme des micro-ondes.

Ce générateur n'est pas spécifié dans le D69 et répond visiblement à la solution de propulsion proposée par JPP.

Ce champ est néfaste pour les entités biologiques d’où la nécessité pour l’équipage de s’en protéger par une cabine toroïdale revêtue d’un matériau supraconducteur [devrait être suffisant à protéger] et par le port d’une combinaison en fibre isolante [ceci est complètement nouveau, pourquoi pas ?] et pour les entités biologiques extérieures de les maintenir à distance éloignées de ce champ [ceci est cohérent avec ce qui a été raconté dans d'autres lettres. Il y a effectivement un champ magnétique, mais rien ne dit qu'il est produit par un solénoïde qui me semble une solution trop proche de nos technologies…. Il est étonnant qu'une "source MHD" ne soit pas évoquée ici…]; en revanche il est très utile pour assurer la décontamination du vaisseau [nouveau aussi, et en contradiction avec la technique de décontamination thermique décrite dans la D57 qui n'aurait plus lieu d'être face à ce sous-produit de la propulsion] et indispensable pour protéger la coque du contact des particules de masse inverse constituant l’enveloppe gazeuse du vaisseau pendant la phase de croisière dans l’univers jumeau à magnétisme inverse. [Une lecture attentive s'impose ici. S'il faut protéger des particules de "masse inverse", c'est parce que la masse reste "normale". Mais ces particules (de masse inverse) sont déclarées ici constituantes de l'enveloppe gazeuse du vaisseau (dans le vide de l'univers !! quelle attraction gravitationnelle ou "magnétopariétale"! ).Cela revient à dire que le vaisseau (matière normale) voyage dans une bulle de gaz de "masse inverse". Il est dit dans le D69 que l'ensemble des particules (dans le volume de la IITOOA) est inversé au même titre que le vaisseau et ses passagers, ce qui met du "même univers" la couche limite (quand elle existe) et la coque, en négation du risque décrit plus haut. Il y a contradiction fondamentale ici.

6 – sas ou écoutilles étanches d’accès équipé d’un élévateur électromagnétique permettant un accès, une sortie, voire une éjection rapide hors du vaisseau.

Pourquoi pas, mais le côté "siège éjectable" du dispositif a un parfum un peu trop "terracentrique"..  

7 – solénoïde supérieur : permet d’assurer un écoulement fluide au plus près de la partie supérieure de la coque.

Ce dispositif n'est pas décrit du tout dans la D69, ni rien d'autre concernant la géométrie du champ magnétique.

8 – solénoïde inférieur = permet d’assurer un écoulement fluide au plus près de la partie inférieure de la coque.

Ce dispositif n'est pas décrit du tout dans la D69, ni rien d'autre concernant la géométrie du champ magnétique.

9 – système d’alimentation des éléments supraconducteurs (champ magnétique et système propulsif).

Cette description semble en partie compatible avec la description du D69. Le système est présenté ici sous une forme toroïdale. Elle correspond à la position de la source énergétique, assimilable à un "système d'alimentation", mais la comparaison s'arrête là.

Il n'y a pas de supraconducteurs évoqués dans la D69 (bien que de présence très probable dans tous les circuits électriques pour de bêtes questions de consommation), en revanche l'alimentation énergétique de la propulsion est bien située dans la coupole (ENNOI).

La position est incompatible avec la position donnée en D69-1 pour les XANMOO secondaires au même endroit…

10 – équipement central assurant l’inversion des particules. [En complète contradiction avec le D69, qui situe l'équipement coordinateur (noyau central) dans la coupole. Cet emplacement correspond à l'ordinateur central dans le D69. En outre, on trouve dans le D69 : "IBOZOOAIDAA :inversion des particules: Cet instrument est présent dans toute la masse solide de la structure, bien que le centre de contrôle soit fixé dans tous nos modèles de vaisseaux dans l'ENNOI, espèce de tourelle cylindroïde qui couronne nos vaisseaux" ]

Un système central gyroscopique et spectroscopique assure l’analyse de l’environnement du vaisseau et le calcul synchrone

-   de l’activation thermique

-   de l’attitude du vaisseau et de son mouvement de giration

-   de la fréquence de résonance ou niveau d’oscillation du champ électromagnétique émis par rapport aux positions instantanées qu’occupent en chaque niveau subatomique les électrons des atomes constituant la couche gazeuse qui entoure le vaisseau et qui par effet de résonance magnétique nucléaire subissent une inversion de masse pendant la phase de transfert gémellaire. [il est redit dans ce dernier alinéa que les atomes constituant la couche gazeuse qui entoure le vaisseau subissent une inversion de masse, en contradiction avec ce qui est affirmé plus haut.]

Un système d’amplificateurs photoniques pariétaux fonctionnant de manière autonome permet la destruction des cosmolithes avant impact lors des croisières interstellaires [il est fait ici allusion à la présence de lasers pariétaux (amplificateurs photoniques pariétaux) concourant à la destruction de cosmolithes en trajectoire de collision. Cette affirmation est compatible avec les autres textes, bien que ces dispositifs ne soient pas décrits en tant que tels dans la D69].

Lors des phases de transfert entre feuillets gémellaires [cette expression est apparue dans les livres de JPP, pas dans les lettres ummites qui ne parlent que de WAAM et UWAAM] ces dispositifs permettent d’atteindre le niveau de pression requis pour l’inversion de masse ou changement de repère tridimensionnel. [Cette phrase est probablement à l'origine du modèle des "grasers" (lasers dans la fréquence des rayons gamma, dont je ne sais si nous, terriens, avons réussi à en concevoir et réaliser un seul !) décrits par JPP]. Nous voyons mal, d'autre part, les membres de l'équipage soumis "au niveau de pression requis pour l'inversion de masse", lequel est exprimé en millions d'atmosphères dans d'autres lettres…

11 – système de contrôle de la compensation magnétique permettant un ajustement vis-à-vis des champs ambiants lors du transfert entre feuillets gémellaires.

Ce concept est complètement nouveau par rapport au D69. Le "transfert gémellaire" étant présenté dans cette lettre comme réalisé en atmosphère, la correction des champs magnétiques ambiants semble de bien peu d'importance à côté des champs réputés de propulsion MHD, mais acceptons la.

12 – réservoir contenant un mélange d’eau oxygénée et de lithium [N'est pas conforme au mélange cité dans le D69 qui évoque un mélange argon-oxygène (mélange gaz-gaz apparemment adapté à la présence d'oxygène avec une bonne pression partielle) Je cite T2.51(D69): "La cavité entre AYIYAA et ENNAEOI [qui correspond à celle décrite ici] contient un mélange formé par quelques isotopes d'Argon et d'Oxygène, à pression élevée". Le mélange (eau oxygénée, lithium) est une absurdité pour nos connaissances actuelles. Le lithium est un métal solide à température ordinaire (fus 180°C) et l'eau oxygénée un liquide. Le terme de "mélange" est physiquement idiot et les Ummites manipulent le vocabulaire avec autrement de précision. De plus, comme le lithium réduit l'eau à la température ambiante, le "mélange" (eau oxygénée, lithium) devrait être instable, conduisant à la formation du peroxyde de lithium Li2O2 ou à l'hydroxyde LiOH dans une réaction non explosive. La proposition de ce mélange dans la cavité magnétique est au moins "désinformative" et discréditante pour toute tentative d'exploitation du document].

En revanche, la D69 cite bien (en 5) des réservoirs toroïdaux d'eau oxygénée d'une part et de lithium fondu d'autre part (à l'évidence destiné au refroidissement de surface).

servant de combustible dans les chambres de compression de plasma [concept nouveau, encore jamais exprimé dans les lettres ummites]

ainsi que le fluide tixantropique

La présence de ce mot est une source exceptionnelle d'information. En effet, il s'agit d'un néologisme pour "thixotropiques". Or le texte du premier document espagnol D69 contient le mot "thixotropique", correctement orthographié en espagnol, c'est-à-dire avec "tixo..".

L'étude de la chronologie d'apparition des diverses orthographes françaises dans les livres de JPPetit est instructive à plus d'un titre.

Dans son premier livre "Enquête sur des extraterrestres" (1991) page 17, JPP publie "tixantropiques", une seule fois. Cette orthographe doublement fautive ( "ti" pour "thi" reprise probable d'une erreur de transcription à la traduction du terme espagnol et "antropique" pour "otropique") montre qu'il n'a pas pris la peine de noter et de respecter le terme de la langue française. Probablement inutile à ses yeux surtout que "antropique" sonne comme un mot connu. 

Le mot "tixotropique" est plusieurs fois utilisé dans le livre de JPP "Mystère des Ummites"(1995), toujours avec la mauvaise orthographe (tix) directement dérivée de celle employée par Ribera dans "Les extraterrestres…" (1984) résultant du même traducteur. Le mot "tixantropique" n'apparaît plus, montrant que JP Petit a eu connaissance d'une erreur sans être complètement remonté à l'orthographe française. On peut donc établir la chronologie suivante:

-   1991  JPP ne connaît que "tixantropique" et n'a manifestement pas vérifié l'orthographe.

-   1993  La lettre Nef93 reçue contient le mot "tixantropique" que JPP a publié 2 ans plus tôt.

-   1995  JPP a eu connaissance de l'inexistence du mot "tixantropique" et l'a remplacé par "tixotropique" qui sonne convenablement, sans pour autant avoir plus fait la recherche de la véritable orthographe.

Cette lettre sur les nefs, déclarée reçue en 1993 (mais il n'y a pas de certitude possible sur ce point), n'est rendue publique qu'en 2003. Si JP Petit avait été l'auteur de cette lettre, il disposait ainsi de 10 ans pour réviser l'orthographe du mot dans la lettre, comme il l'a fait dans son livre de 1995. Aurait-il pu oublier un détail aussi caractéristique?

La présence du néologisme "tixantropique" dans la lettre de 93 est donc une confirmation que celle-ci a bien été écrite par un auteur distinct de JPP qui voulait "coller" au mot employé par JPP dans son livre publié à l'époque.

Les Ummites ont dicté le mot convenable en espagnol (ou le dactylographe connaissait la bonne orthographe…), ils étaient donc capables de dicter la bonne orthographe en français. Si l'auteur est Ummite, il a volontairement repris une orthographe qu'il savait erronée. Dans quel but, sinon de coller aux écrits de JPP, de manière ouvertement démonstrative par le choix du néologisme qui lui était personnel ? Peut-être même pour suggérer l'idée que JPP en est lui-même l'auteur, ce qui est clairement un acte de désinformation ou encore un piège désinformatif. Les conclusions de l'analyse logique fine, encouragée de manière générale par les Ummites, devraient inciter à la plus grande prudence concernant la publication d'un tel texte. 

protégeant l’équipage pendant les accélérations de 50 g. [Le texte original D69 expose "..et soumis à la dynamique des accélérations qui ont quelquefois dépassé les 245 mètres/s2 (bien que ces points dans la fonction vitesse durent peu de fractions de UIW) [ça fait pratiquement 25 g !]. Dans son livre "Le mystère des Ummites"(1995), JPP écrit "elle [la gelée] aurait une fonction bien précise: permettre aux passagers de résister à des accélérations allant jusqu'à 50 g". On constate la dérive emphatique et la lettre que nous analysons indique un 50g  peu compatible avec la lettre initiale, mais complètement avec la publication antérieure de JPP…l'auteur voulait plaire à qui en substituant le chiffre de JPP aux données des documents initiaux ? 

13 – extenseurs des pieds de sustentation: support tripode extensible lors des phases d’atterrissage et munis à leur base de faisceaux lumineux orientables.

Présentation conforme au document D69. L'indication des "phares" orientables est nouvelle.  

14 – récepteur blindé détecteur-émetteur : doubles émetteurs-récepteurs blindés permettant à l’équipe de contrôle une surveillance des paramètres physiques de l’environnement gazeux, du niveau d’activation thermique et le suivi de la courbe de résonance.

Contradiction complète avec le D69. L'équipement émetteur-récepteur blindé décrit en 1967 est situé à la base de la nef, au centre de sa surface inférieure (repère 21). A l'opposé de la position 14 du présent dessin. On remarque que cet équipement est déclaré en charge du "niveau d'activation thermique" en exécution sans doute des instructions du 10. Indication absente de la D69.

15 – écran visuel toroïdal géré par l’ordinateur central permettant d’avoir une image tridimensionnelle de l’environnement extérieur.

Outre qu'elle est en contradiction complète avec le contenu de la D69, cette dernière phrase est particulièrement étonnante, voire absurde et pour plusieurs raisons. En effet, la cabine centrale (d'équipage) est mise en rotation pour générer une pesanteur artificielle [D69..] ce qui plaque les voyageurs perpendiculairement à leur sol", conformément au dessin qui a été diffusé avec la D69 (le passager semble "radial"). Si cette partie intérieure de la cabine d'équipage était réellement l'écran de visualisation, les passagers "marcheraient sur l'écran" et devraient contempler les images en regardant au sol, entre leurs jambes et celles des autres ! (12 passagers par nef!). En imaginant même que la paroi serve d'écran, l'image devrait être "fixe" pour être regardée, et par quels passagers, puisqu'ils sont probablement répartis selon la couronne ? faut-il imaginer une vue 360° sur l'extérieur avec "multireconstitutions imbriquées", une par voyageur avec asservissement à la direction de son regard ?

Les textes ummites ne cessent de nous encourager à une analyse approfondie avant de faire notre jugement ["sans prendre la peine d'analyser, d'étudier, de comparer et sans réaliser une étude critique sévère avec des éléments de jugement.".D62]. Presque tout, dans la présente lettre, est fait pour ne pas résister à une analyse effectivement approfondie de cohérence avec l'ensemble des documents disponibles ou nos connaissances.

Rien ne correspond. Dans la D69-1, il est écrit : "L'enceinte qui sépare l'épiderme du EEWE subit, au niveau du visage, un élargissement considérable de forme tronconique. La base d'un tel tronc cernant depuis l'œil jusqu'à une distance de 23 centimètres, avec un angle de 130° sexagésimaux, représente un écran pourvu sur sa surface de quelque 16.107 centres excitables capables de diffuser chacun, avec divers niveaux d'intensité, tout le spectre électromagnétique entre 3,9.1014 et 7,98.1014 cycles/seconde. "

Il paraît plus logique que chaque passager dispose de son autonomie de visualisation. 

16 – capteur en ruban situé sur la couronne équatoriale sensible aux variations de résonance électromagnétique.

Pourquoi pas ? ce dispositif n'est pas mentionné dans le D69.

17 – horloges isochrones. Ces horloges assistent et renseignent l’ordinateur central lors des phases de transfert gémellaire en assurant la connaissance permanente des flux bisynchroniques d’entropie (ou temps) dans chaque repère tridimensionnel en un synchronisme parfait dans la mise en œuvre et le suivi des différents paramètres.

Ce qui situe ces dispositifs au centre supérieur de la protubérance. Un tel équipement n'est absolument pas mentionné dans la D69. Une chose est étonnante, car il est question des phases de "transfert gémellaire". Les textes indiquent bien qu'aucun échange d'information n'est possible entre les univers gémellaires. Les "flux bisynchroniques d'entropie" font intervenir les deux flèches du temps dans les phases de transfert : est-il possible de simuler l'un dans l'autre ? Suffit-il de faire fonctionner une horloge à l'envers ? Le concept est nouveau dans les UEWA et pourrait amplement se justifier. Ces horloges ne se justifient que si le voyage impose des changements de "chronicité" et pas seulement de sens du temps, auquel cas il faut pouvoir s'assurer des évolutions d'écart des chronicités.

Une lettre à Sesma en 1966 (T7-43,44) exprime "c'est seulement quand les lignes USDOUOO .. que nos scientifiques peuvent … et se déplacer au travers de cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA….". Semble donc incompatible.

Il y a incompatibilité de position avec la mention du D69-1: dans la même zone " 8 - IBOZOOAIDAA : équipement central de contrôle pour l'inversion des IBOZOO UU.

18 – équipement modificateur du profil des gradients dynamiques des couches gazeuses (couche de choc et couche limite) de forme toroïdale situé dans la section annulaire de la couronne équatoriale [jusqu'ici c'est conforme à la D69, image n°1, référence 20] de l’ailette circulaire entourant le vaisseau [???] et qui permet d’éviter au vaisseau d’entrer en résonance en phase de croisière atmosphérique [c'est le problème de l'onde choc et de la couche limite] et l’inverse en phase de croisière interstellaire ou gémellaire. [Cette fin de phrase laisse entendre qu'il peut y avoir croisière "gémellaire". Par ailleurs, on voit mal quel inverse  (en résonance), lié à une couche limite gazeuse, il peut y avoir dans le vide (croisière interstellaire ou gémellaire). Cette fin de phrase ne semble pas porteuse de sens].

3- La signature ( OAXIIBOO 6, fils de IRAA 3 ????? ). Cette signature n’a été diffusée qu’à ceux qui ont reçu la version électronique de son livre, avant parution. Elle n’apparaît pas dans son livre.

                    

1. - Les chiffres de la signature ne correspondent pas : c'est un 5 et un 2 qui sont écrits "ummite" . Cette observation est vraie pour les 4 signatures revendiquées dont celles visibles dans 3 autres lettres signées "OAXIIBOO 6 " dont nous disposons sous forme de photocopies d'originaux ( 8 janvier 1990 … reçue par Aguirre / « lettre de Riyad » ...automne 1992 … reçue par JPP / « lettre proplyd » ... 9 octobre 1993 … reçue par JPP).

2. - De plus, cette signature ressemble étrangement à la signature d'UHOOA 5 fils de UHOOA 2 qui n'apparaît qu'UNE SEULE FOIS sans contradiction, dans la D2655 adressé en mars 1987 à Aguirre et dont les chiffres (5 et 2) correspondent bien à l'indication chiffrée ummite.

3. - La signature de NEF93 est la seule des quatre qui n'est pas accompagnée du tampon d'authentification

4. - Les angles des deux « soulignements » sont arrondis au lieu d’être « angulaires » comme dans les trois autres signatures que voici:

... d'autres détails apparaissent lors d'une analyse "fine"; il est inutile de les citer

4 - CONCLUSION :

On constate que sur de nombreux points, cette lettre est en contradiction avec les écrits antérieurs attribuables à la source ummite.

Selon le sens que l'on porte au qualificatif  "fonctionnel", la lecture aboutit à une question de nature différente.

1) Les Ummites ont une pensée pragmatique, expérimentale et analytique qui veut assigner une fonction aux causes permettant de définir des effecteurs, des relais et le rôle de tout sous-ensemble dans les résultats observés (ce que J.Pollion a appelé la "pensée fonctionnelle"). Ainsi est construite leur langue: des relations simples et fondatrices contribuant à la définition des fonctions intervenant dans tout processus. Dans un tel esprit, cette lettre est en décalage profond, donc grave, avec le reste du dossier. Son objectif serait-il alors autre que directement informative ?…

2) On peut aussi être tenté de lire "fonctionnel" comme "opérationnel" en considérant que les informations fournies font, de toutes façons, avancer la connaissance. Mais quelle avancée cohérente peut-on espérer d'un texte qui épouse si bien les thèses de son destinataire et contenant de nombreuses contradictions avec les écrits antérieurs ?

Alors? Nouveau modèle d'UEWA ["modèle 93", remplaçant l'ancien "modèle 50", construit par UMMO UEWA CORP LTD :-) ] ou "désinformation" ?

Pour ceux qui ont analysé cette lettre, tout porte à croire qu'elle a été construite "sur mesure" pour confirmer les théories de JPP sur la propulsion MHD et le mettre sur la piste du voyage par l'univers gémellaire (qui ne semble pas, et de loin, la meilleure "piste") ... mais elle est bourrée "d'erreurs" qui sont autant de signes destinés à attirer notre attention et qui imposent donc de la considérer comme de "l'intoxication" ou de la "désinformation" ou au moins avec circonspection. Pourquoi le contenu de cette lettre serait-il plus "vrai" que celui des précédentes?  Parce qu'elle fait si bien écho aux thèses de Jean-Pierre Petit?

On peut donc émettre trois hypothèses:

- Cette lettre est une "vraie lettre ummite" mais destinée à discréditer le dossier ou toute personne qui , la publiant sans observations d'accompagnement, se ferait l'écho de son contenu en incohérence presque complète avec les premières lettres. Il est étonnant que Jean-Pierre Petit n'ait pas essayé de la confronter aux autres documents traitant du même sujet ou portant cette curieuse signature…

- Cette lettre est un "hoax" terrien, dans lequel JPP a "plongé", sans aucune vérification,

- Cette lettre est un montage de JPP destiné à "valider" ses propres théories, malgré un signe l'innocentant.

... et nous vous laissons choisir...

Le 30  mai  2003

 

 

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