Conservez cette copie Monsieur JUAN DOMINGUEZ M.
Vous savez bien que pour un Oemii dont le processus
de formation implique un degré élevé de complexité
neurocorticale, le temps apparaît comme la sensation consciente d'un
flux d'événements dont la flèche est définie
par la comparaison de deux événements quelconques, pris comme
référence. Nos mécanismes mentaux, en opposant ces
états là, évaluent consciemment - inconsciemment le
fait que l'un d'eux soit toujours plus complexe en informations accumulées
que l'autre. De cette façon nous fixons la flèche du temps :
Nous exprimerons ceci d'une autre manière
pour vos frères moins préparés: Comment saurons-nous
aujourd'hui que le temps passe en avançant depuis le passé
vers le futur ? Nous opposerons deux épisodes : celui du matin quand
nous avons lu dans la presse une nouvelle concernant un accident catastrophique
de train, et celui de l'après-midi quant une station radio a enrichi
notre information, nous apportant les noms des morts durant le déraillement.
Observez que toute la mesure du TEMPS s'est
circonscrite à constater des niveaux différents d'information.
En un instant donné, la montre observée ou le pouls contrôlé
suppose la comptabilisation d'un nombre déterminé de révolutions
d'un engrenage ou d'enregistrement du nombre d'impulsions cardioïdes
de pompage pour le plasma sanguin. Ce que vous appelez "un instant après"
c'est observer une augmentation d'information, représentée
par un nouveau nombre de tours du moteur ou par des impulsions nerveuses
activant les fibres musculaires du cœur.
Dit d'une autre façon : la richesse
ou l'incrément informatif c'est LE TEMPS, non LA FONCTION
DE TEMPS COMME LE PENSENT QUELQUES THÉORICIENS DE LA TERRE.
N'importe quelle physique qui prétend
mesurer une grandeur qui a son tour soit FONCTION du TEMPS, est en réalité
en train de mesurer UNE FONCTION D'INFORMATION. Un chronométreur
qui prétend avoir évalué la vitesse à laquelle
se déplace un JET dans l'espace, en réalité n'a pas
mesuré plus qu'une distance et simultanément, lui-même
s'est complexifié, il a enrichi l'information contenue dans les bases
du registre mnésique de sa mémoire neurocorticale, et par
conséquent (comme nous l'expliquerons plus loin) il a enrichi la
masse d'informations contenue dans le BUUAUEE BIAEEII (Esprit du Réseau
Social).
Dit d'une autre manière : l'intervalle
de temps, représenté par une chaîne d'IBOZOO UU, inaccessible
par les instruments de l'OEMII scientifique, subit une rotation de ses axes
et en vient à se convertir en une augmentation d'information qui
enrichit le système biologique "néguentropique" (réseau des êtres vivants)
Il importe peu que le chronométreur
meure et avec lui disparaisse l'enregistrement codé au niveau moléculaire
de cette information contenue dans son neuroencéphale. Le BUUAUEE
BIAEII maintient indélébile le contenu informatif.
(Nous utiliserons un exemple grossier : il
n'importera pas qu'une symphonie de Beethoven, enregistrée sur une
bande de mylar avec une émulsion magnétique soit détruite,
si la symphonie est gravée dans les esprits des millions d'auditeurs.)
Mais l'exemple, nous répétons,
est grossier : Mais si l'enregistrement n'avait pas été écouté
(par personne), si ce n'est par le microphone d'un magnétophone de la TERRE,
l'information serait détruite quand se produirait la combustion de
la bande.
Ça ne se passe pas ainsi quand un seul OEMII reçois, même à un niveau subliminal, une séquence codée de stimulus (INFORMATION), alors l'information s'inscrit à trois niveaux (IMAGE A) pas d'image avec la lettre
Ces niveaux sont :
NIVEAU (BIAEYEE IUEOO DOO) : il correspond aux bases physiques (moléculaires) de notre OEMII (facteur somatique : corps physiologique). L'information reçue par les transducteurs sensitifs neuronaux accède au cortex moyennant les influx nerveux transmis par les fibres nerveuses. Ce codage mnésique se réalise en base binaire à travers des altérations de la structure moléculaire des cellules que constitue le BIAYEEE IEUOO DOO
SECOND NIVEAU. l'information codifiée
dans les IBOZOO UU qui forment la masse neuronale peut disparaître
par la dégradation de la structure physiologique qui la soustend
(mort physique de l'OEMII), mais c'est que simultanément se produit
un processus complexe de triplication dans le stockage de l'information :
Les informations captées par nos voies sensorielles ne s'enregistrent
pas seulement dans nos mémoires physiques.
Un réseau de DIUIAA (Gaz Krypton) reçoit
du BIAMOASII (une structure biologique pas encore détectée
par les anatomistes et physiologistes de la terre) cette information d'une
forme très particulière.
Les impulsions nerveuses provoquent la décomposition d'une enzyme.
Cette réaction est de caractère exothermique. À son
tour la fonction thermique générée par ce processus
induit une altération de caractère gravitationnel
Le mot espagnol utilisé
est "gravitatorio" ... lequel n'existe pas !
d'une très haute fréquence, qui se traduit par l'excitation
de ces atomes de krypton, à travers d'autres atomes d'HÉLIUM.
Le résultat est un effet de résonance entre un réseau
d'atomes d'hélium et le réseau de krypton cité, et
l'altération qui s'ensuit des états quantiques des deux réseaux
d'IBOZOO UU (nous autres nous concevons les atomes comme des réseaux
d'IBOZOO UU.
Le BUUAUAA (esprit individuel) fixe ainsi cette INFORMATION, mais "non codée"
en un système mathématique (codification digitale BINAIRE)
Le BUUAUAA est adimentionnel. Cependant il
possède une composante que vous qualifieriez de MATÉRIELLE.
Nous entrons, Monsieur DOMINGUEZ, dans un processus didactique très
épineux. A partir de maintenant vos bases sémantiques familières
ne suffisent pas pour vous l'expliquer d'une manière intelligible.
La logique aristotélicienne ne vous aidera absolument pas à
suivre notre raisonnement.
Voyons : dans cet écrit je suis en train
de vous assurer que BUAUAA possède un composant, ou bien est affecté
(pour nous exprimer avec plus de réalisme), par un composant physique.
Même avant que nous vous parlions de lui, cela paraît appliquer
une conclusion logico - binaire, en contradiction avec la conception scolastique
des penseurs animistes de la TERRE.
Selon notre "affirmation" il s'infère que L'ESPRIT possède
des "parties" et partant, il est divisible : fractionnable
Mais ce n'est pas cela dans l'absolu. Le BUUAUAA est une entité IMMATÉRIELLE
même si ses processus internes sont, ou possèdent, un caractère
physique.
Nous vous avons indiqué dans d'autres
documents l'existence de ce que nous appelons PLURIUNIVERS (UAAM-UAAM).
Une infinité de cosmos coexistent pour un hypothétique observateur
qui pourrait observer le RÉSEAU d'IBOZOO UU qui constitue l'AIOYAA
(dans notre logique: les Entités
"Seres"
qui existent avec des dimensions) depuis diverses perspectives.
De même qu'une sculpture peut-être photographiée depuis
différents angles en produisant des images distinctes sur la plaque
photographique (pardonnez-nous, hommes de la TERRE, la simplicité
de l'exemple), ainsi un observateur idéal pourrait-il contempler
le UAMM-UAAMM.
Dans la pratique un tel observateur idéal
existe. Il est possible, en utilisant des moyens techniques, de passer d'un
UAMM à un autre UAMM. Et de fait nous-mêmes le faisons dans
nos voyages.
Quels moyens physiques nous permettront de prendre conscience que nous rencon-
trons un autre cadre tridimensionnel ?
Un seul suffit :
En l'absence de perturbation de masse, apprécier
Le mot espagnol utilisé
est "valorar" : peut se traduire par "estimer, évaluer" un
intervalle de temps : (le fait que nous concevions la prise de conscience
du temps comme augmentation d'INFORMATION fera comprendre encore mieux notre
affirmation). Cet intervalle de temps est celui qui s'écoule quand
se déplace un IBOAYAA OOU (ce que vous dénommez "quanton énergétique")
sur une distance étalon.
Cet intervalle sera différent dans chaque UUAMM (COSMOS).
Après cette digression, nous continuons
notre description du BUUAUA : nous, nous savons qu'il existe un UUAMM (inaccessible
par des moyens techniques) dans lequel un hypothétique OEMII qui
pourrait se déplacer en son sein (hypothèse complètement
absurde) mesurera cet intervalle de temps comme NUL.
Observez que nous nous définissons l'intervalle de TEMPS (NON PHYSIQUE)
comme une grandeur discrète définie par deux IBOZOO UU; De
sorte qu'il n'y a pas de sens métaphysique de faire référence
à un intervalle de temps nul, comme il serait absurde de faire référence
à une distance nulle. Puisque dans l'un ou l'autre cas, les intervalles
minimums de temps et d'espace sont des quantités définies,
quand on les évalue avec un étalon, comme non nulles.
Et cependant (contradiction insurmontable avec les bases logiques binaires) il existe un UWAAMM dans lequel la vitesse de la lumière, en l'absence de perturbation de masse, sera infinie. Dans ce cosmos tout ce réseau d'IBOZOO UU s'est réduit à un seul IBOZOO UU, autre absurdité apparente si nous le transposons à notre cadre tridimensionnel, dans lequel un seul IBOZOO UU isolé n'a pas de signification physique.
Et cependant ce UAAMM, analysé d'une façon simpliste, paraîtrait d'une simplicité déconcertante. Que peut représenter un seul IBOZOO UU isolé ? Il possède une importante transcendantale pour nous les OEMII de différentes provenances galactiques.
Avant de poursuivre : Peut-être pourriez-vous
Senor Dominguez, nous poser une question parmi d'autres? Qu'en est-il du
réseau d'IBOZOO UU qui composerait le UAAMM-UAAMM ? Pour le visiteur
utopique de ce cosmos: une telle structure s'est-elle désintégrée
? Non: simplement cet IBOZOO UU est l'image de tout le RÉSEAU (constatable
dans le reste du COSMOS).
En utilisant de nouveau une métaphore didactique puérile,
c'est comme si l'observateur de la statue visite une nuit le musée
pour la photographier et la trouve seulement illuminée par un spot
lumineux. Sur la plaque photographique ne s'enregistrerait qu'un point brillant.
Nous vous l'indiquions quelques paragraphes
auparavant, un tel UUAAM est transcendant pour nous les humains. En effet
: nos processus télépathiques : l'information contenue dans
le BUUAUAA (ÂME) et dans le BIAEYEE IUEOO DOO (Esprit du RÉSEAU
SOCIAL) ne seraient pas possible sans son existence. C'est à lui
que nous faisions référence, quant nous vous parlions antérieurement
de "composant" physique de l'âme.
Le BUUAUAA lui-même ne peut encoder l'information.
Il est adimensionnel. "IL N'EXISTE PAS DANS L'ESPACE NI DANS LE TEMPS".
Les théologiens de la Terre ont commis une erreur quand ils ont considéré
que l'ÂME, selon la conception animiste qui les inspire, peut "connaître"
ce que le corps réalise. Elle entraine la contradiction que l'âme
serait capable d'accumuler de L'INFORMATION et en même temps d'ÊTRE
INDIVISIBLE.
Dans le UUAMMM que nous mentionnons, vous pouvez
considérer que la VITESSE DE LA LUMIÈRE, mesurée en
son sein, est INFINIE. Bien que précisément dans ce cosmos
le concept de VITESSE de la LUMIÈRE manque de signification, comme
il serait aussi faux de définir en lui un quanton de longueur ou
une mesure d'énergie. Cependant il possède des caractéristiques
qui justement le définissent :
Il est capable d'accumuler de L'INFORMATION
Le flux d'information se réalise dans un temps NUL
L'augmentation de L'INFORMATION n'a pas de signification (Δt) Le mot espagnol dans l'original est "significado" qui peu se traduire en français par "signification" ou "sens". Cependant le mot "sens" qui se traduit généralement plus souvent par "sentido" en espagnol est polisémique (en français comme en espagnol) et peut indiquer soit le concept "d'orientation" ou soit le concept de "signification". Une source inconnue nous suggère que l'emploi du terme "significado" est une erreur à la place du terme "sentido" qui aurait dû être employé pour signifier le concept "d'orientation". Le phrase semble faire plus de sens avec l'idée "d'orientation" qu'avec l'idée de "signification", mais nous avons laissé le terme "signification" par respect pour l'original.